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Petit court de psychiatrie

Défense de la Médecine

Art de la Parole

 

   Je ne donne pas de cours, mais je livre un court résumé de ma conception de la psychiatrie que j'exerce depuis 1978 diplômé de la Faculté de Médecine de Paris.

   La psychiatrie a pour objet la santé mentale. La santé mentale peut être celle de la foule parce qu'elle donne une norme statistique (on la compare en physique aux ondes, courbe de Gauss etc..) et, la même santé mentale, celle des particuliers (que l'on compare ibid aux particules) de tradition plus classique. La première est connue sous l'acronyme DSM - 'Diagnostique Statistique Mental ' ; on peut par défaut et légitimement appeler l'autre PSY parce c'est là ou reste le facteur psy qui est exclu du DSM.
   C'est ainsi que PSY et DSM sont intriqués l'un l'autre, car ils étaient en fusion à l'origine du DSM. À ses origines en 1962 ce dernier a fixé les éléments qu'il allait baratter en statistiques en puisant dans la terminologie de la Psychanalyse freudienne. Dans un second temps, une fois extraite la crème de ces termes arbitraires, un système de Codes a pu être structuré sur leurs probabilités. Le ou la DSM devint ainsi autonome et la psychanalyse en fut éliminée (comme d'une égalité on supprime de part et d'autre un même élément ; par exemple a+b=a+c >> b=c ou a*b=a*c >> etc.. ).
   Telle est une façon rapide et imagée de figurer la coexistence des deux psychiatries. Cette dualité est ainsi harmonieuse à la science de deux points de vue, relativiste et quantique, statistique et psychologique, ici distingués la DMS et la PSY.

   De cette partition on voit paraître les conséquences appliquées aux objets sur lesquels l'une l'autre de ces deux variétés l'emportent : la DSM briguera les traitements des individus symptomatiques avec ses " plus hauts niveaux de preuves " mais ne pourra rien prétendre au soin de la santé mentale de la foule puisqu'elle en est la déduction. À l'opposé la PSY, qui se paralyse dans le soin individuel selon sa loi reconnue " transfert-contre-transfert " devra prétende à l'inverse au soin de la foule. Ceci avait été déjà la conclusion de Freud annonçant qu' " on peut s'attendre à ce qu'un individu s'enhardisse à traiter les nations comme des individus. ". Il annonçait cependant l'instant d'après que personne n'en aurait l'autorité ; mais les nouvelles technologies qui assistent l'Intelligence Artificielle aujourd'hui autorisent à réviser ce constat négatif.
   On peut légitimement appeler aujourd'hui "psychohistoire" cette activité PSY par excellence. Elle a pour objet la foule (horde, communauté, collectivité, société etc..) et par ce détour permet de traiter l'individu, par le contour qu'elle en réfléchit de son environnement.

   La Psychohistoire ressort de quatre sources : européenne, indienne, américaine et cybernétique ; elles allient toutes théorie & pratique et ma description, de ma psychiatrie doit maintenant figurer la seconde. Du fait de concerner le plus manifestement la médecine, ce sont les circonstances de l'actualité qui s'y présentent forcément :
   La direction, qu'on appelle courtoisement présidence, de la nation, appartient à la biographie de son leader, avant tout de son enfance/éducation (ce théorème est particulièrement redevable de la psychohistoire américaine). Le résumé wikipedia/11sept2020 la renseigne ainsi (j'y souligne les parties relevant de la médecine) : " Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron est le fils de Jean-Michel Macron, né en 1950, médecin, professeur de neurologie au CHU d'Amiens4 et responsable d'enseignement à la faculté de médecine de cette même ville, et de Françoise Noguès, médecin conseil à la Sécurité sociale. Leur premier enfant, une fille, est morte à la naissance. Ils ont ensuite eu trois enfants : Emmanuel, Laurent (né en 1979, radiologue, marié à Sabine Aimot, gynécologue-obstétricienne, née en 1980) et Estelle (née en 1982, néphrologue, mariée à Carl Franjou, ingénieur). Après leur divorce en 2010, Jean-Michel Macron épouse Hélène Joly, psychiatre au CHS Pinel-Dury. "
   La psychiatrie statistique elle-même ne peut rester ignorante du fait ! C'est une alliance communautaire hors-norme qui se mesure à l'examen du représentant unique de la nation ; et pour la PSY, dont la psychohistoire susdite, c'est un cas d'école. Père, mère, belle-mère, frère, belle-sœur, sœur, seconde sœur et beau-frère sont liés à la médecine jusqu'au cœur de son serment ; de cet échantillon il n'a d'autre frère ou sœur qu'une décédée. La médecine y est donc dans la famille une compulsion et un exclusivisme qui ne peut pas ne pas trôner au complexe fondateur de la personnalité du chef de l'État.
   Deuxièmement l'examen statistique et psychologique de la communauté doit être complété. S'agissant de l'individu, il est certainement inévitable aussi et nécessaire de relever les signes du particularisme qui caractérise la fondation sexuelle de l'organisation personnelle (c'est la règle qui découle de ladite psychiatrie PSY). Dans le cas présent, l'allusion au 'cas d'école' dans l'analyse ci-dessus se rencontre à nouveau dans une seconde déviation de la norme statistique. Les deux versions de la psychiatrie sont donc à nouveau accordées. Cette formation sexuelle du directeur, président actuel, s'est caractérisée lorsqu'à l'école, à l'âge de quatorze ans il rencontre une femme de vingt-cinq ans titrée son enseignante. S'engage alors dans l'ordre de l'éducation nationale un cas de détournement de mineur, qu'on appelle actuellement pédophilie. Il est généralement sévèrement blâmé mais donne lieu à une troisième exception ; dans le cas présent il faudra noter les facteurs d'influence des notables médecins pour sauver le couple déviant.

   D'un point de vue psychodynamique, le cas pourrait être celui d'un complexe familial hyperaliénant secondairement éclusé par une déviation borderline, l'un compensant l'autre dans un équilibre restauré et un amortissement dans le cours du temps - mais pas dans le cas d'une réactivation par une épreuve sociale, notamment celle d'une élection au grade qui se prétendit Jupitérien, de cette gravissime entorse aux préjugés de l'époque.
   Tandis que l'abus sexuel est instrumenté comme une des dernières ressources morales d'une société qui révise actuellement ses fonctions religieuses, la personne préalablement soumise à une aliénation familiale écrasante, a été distinguée le premier contempteur de son tabou !
   Toutes les conditions requises sont alors disposées à réaliser une hécatombe visant la symbolique familiale. Le déchaînement des conflits primaires n'a dès lors plus trouvé d'autre alternative : Emmanuel Macron devait devenir l'icône de la destruction de la médecine hippocratique.
   La mise en danger de sa population, le record de létalité dans la gestion de l'épidémie en France, l'acharnement de l'oppression par l'étouffement sous des masques infectés, l'abolition de la reconnaissance sociale au moyen la défiguration, la tentative délirante de réaliser par des leviers psychosomatiques le premier rebond d'une épidémie, jamais vu mais imaginé suivant des théories mathématiques - tels sont d'abord les actes. Ensuite pour qu'ils se scellent à l'ordre symbolique, le cygne noir de la famille en blouse blanche se sera distingué dans l'avilissement de la déontologie hippocratique (confiscation de la liberté garantie du médecin jusqu'à l'interdiction de soigner, humiliation jusqu'à la trahison du serment). Ainsi l'observation de la psychologue Laurence Leroy " J'observe un comportement de toute-puissance, s'auto-proclamant « état thérapeute », se permettant de passer au-dessus des lois, bafouant serment d'Hippocrate et codes de déontologie."

   Cette analyse du cas clinique de la gestion politique de l'année 2020 en France n'a ni début ni fin idéologique. Elle rend compte d'une sémiologie d'extinction qui est par ailleurs annoncée et observée par les ressources de l'écologie. Nous sommes donc dans la figure générale d'une agonie, appelant au syndrome de mélancolie délirante, des mieux répertoriées au glossaire de la psychiatrie, ou bien à celui d'une ressource radicale de survie. On trouve cette dernière dans un autre élan mondial qui s'atteste avec les nouvelles technologies intervenant sur une science de l'évolution.
   C'est à ce motif que j'ai annoncé ci-dessus que le versant PSY de la psychiatrie, se validerait quant à son application à la foule, par le secours de l'Intelligence Artificielle autorisant la révision d'une incurabilité de la paranoïa où l'espèce humaine s'abîme. La présentation de mon cabinet de psychiatrie se prolonge par conséquent avec le moyen de la cybernétique dont ci-dessus également j'ai parlé. <ici lien/construction conduisant à une seconde page DéfenseDeLaMédecine>

DWT@20200911235500

Annexe 20201027012400 ; dans la perspective par ailleurs d'une psychohistoire qui s'est documentée de la Psychanalyse à la Dianétique il est flagrant à la biographie du couple présidentiel, que l'épouse est issue d'une famille célèbre pour ses macarons - et que sa connaissance au titre de Professeur de Lettres savait strictement lire ce que la négation - non-A - sur le mac a ron signifiait ; notamment la dignité du nom qu'elle allait prendre.