AMO par-ci par-là |
De mots en noms
Complexe d'Oedipe / incarnation du nom-du-père ; Triplex d'Amarna / parole de femme
C'est un exercice difficile que joindre deux faces de pensée
: celle de Patrice Hernu qui cherche à éviter le sillon de mots en maux, celle
de Charles & Ahmed (Pope & Osman) qui cherche le sens des noms en
évitant Œdipe. Détecter ce qui manque l'un dans l'autre. En bref, Charles qui
aboutit à isoler Akhnaton dans ces jeux de rôle pour ce qu'il y
imprima sa touche, se trouve bloqué avec Ahmed et le Petit Jésus qui ne
sert plus que la mort. La raison de cet échec est indiquée dans
l'époustouflante négligence dans laquelle ils tiennent Œdipe. Patrice arrive
à se sortir de ces personnages; il a trouvé dans cette mer démontée à avoir
pied, il rattache les débris des mots à la génétique qui tapisse le fond de
la vie. Mais à lui aussi Œdipe échappe; le cherche-t-il dans l'esprit des
langues ? dans la canaille des schismes ? Cherche-t-il seulement l'
"esprit" d'Œdipe ? ce que Freud tremblait de voir dans la mémoire.
Allons donc.. Œdipe doit bien se débrouiller avec son esprit comme nous
faisons bien de nous contenter du notre. Le bras d'honneur qu'il nous fait si
nous le méritons bien, c'est d'avoir pour toute raison d'être : sa femme,
Hélène, Néfertiti. Quand ici en Europe nous saurons sortir cette carte du jeu
de rôle de nos mondieux! Ahmed et Charles auront bouclé la métonymique par sa
métaphore, et le parti écologique qu'on attend de Patrice et ses amis sera réveillé de
l'imaginaire.
(in FB en commentaire du Texte PH : )
Texte de Patrice Hernu / 22 mai 2021 20:18 - https://www.facebook.com/patrice.hernu/posts/10159292256419494 |
QUAND LES MOTS DEVIENNENT
MAL ET MAUX DES PEUPLES AUTRE FORME DE L'OEDIPE Mon amie Marie Christine Diétrich réclame de
"remettre les pendules à l'heure" quant à l'usage du terme
"sémite". |
ma réponse 23 mais 08:44
Comptine de réputation sur lessens d'Œdipe :
Sur la piste d'Œdipe ; en titre et pas outre cité , si l'enquête chemine, disons complètement, jusqu'à l'horizon, de cité en cité, de langues et de types, de livres et races, il est peu de nom d'homme aussi. Il y en a quelques uns, abRam, Zchem et Saarah plus ou moins bien prononcés, mais certainement pas Œdipe qui fait son zen en sahara. Comme Jakadi qui « ahane à la rame sur la mère de sable ( je ne dis pas de "ça bleu" pour ne pas crever les yeux sans les lus nets à 'Orgone') » et le vers d'oyant, Verdiglione qui parla beaucoup juste aussi, il faut chercher comptine huée, dans la nuée des mots. Je le dis vite pour faire cet insu portable : Ayant tamisé le signifiant au semblant, Armando Verdiglione, analysant de Lacan et sans loi ni maître, montre à qui veut voir, et savoir voire s'avoir, ce qu'il nomma : la Fondation du Nom. (il s'est agi d'un grand local, place du Duomo à Milan, c'est à dire face au Nœud Borroméen exactement, comme par la suite son acquisition de la Villa Borromée en signa la justesse). « Verdigligli » – comme j’essayais de le faire rire – tenait habilement que d'une mer de sable (tous grains confondus, rustres miroirs avant la chauffe, grains de sable, points de semblant, grains de miroir), qui verdoya avant le noircissant passage éclair du soleil Phaëton en sa course, pouvait le refaire, verdir, d'un coup de Nom. Il appelait don sa fondation milanaise, Fondation Armando Verdiglione. En ce temps il chiffra. Puis ce fut la prison. Je lui avais bien dit « Armand ! Prendre son nom à la lettre, c'est fondant mais pas dateur. » Je voyais de mon côté des Alpes (l'autre, à Lyon) que l'Art de la Mémoire organise dans le temps les actes, dates, événements 'réels', délivrés de l'imaginaire comme un courrier est délivré.
Autrement le chiffrage est intemporel, sans mémoire. Noüs en somme ici la variété triplex. Je conseillais donc plutôt le Pluriel Analytique que la Fondation du Nom pour tout dire. Je pense ainsi signaler comme l'absence de l'Œdipe-cité raisonne ici. En slogan dit « Au Mot devenant Nom chercher l'Œdipe ne le trou verra » (explicitement en Pluriel, ce qui manque, l'absens (et/ou forclusion pour les techniciens), paraîtra repousser mieux de fleurs). Les mots deviennent mal maux sans l'Asclepius, la fondation du nom devient mieux symptôme, atteignable du soin, par le pluriel qui trouvera la femme (ça c'est le fin mot).
Avec toutes mes excuses à Charles, Stan, David,
Ahmed, je poursuis en français (d'abord pour une audience française, notamment
Patrice Hernu et sa bande d'assourdis – qu'il me pardonne, je m'en expliquerai
plus bas).
Je fais ce lien du mail de Charles à ces posts de Patrice parce
que dernièrement, juste à cette même heure où j'écris, ce matin, je
répondais à ( https://www.facebook.com/patrice.hernu/posts/10159292256419494
) à ce dernier sur la qualité des _Mots_,
tandis que le mail de l'autre est plein de _Noms_ ;
c'est une coïncidence trop frappante pour que je ne le prenne pour monnaie
comptante.
Je vais aussi essayer de faire du traductible pour nos anglophones,
du simple et sans trop de métaphore ; mais c'est bien difficile puisque
c'est justement de cela dont on cause (de métaphore).
Est-ce que Napoléon est une métaphore de
Moïse ? Est-ce que César est une métaphore de Akhnaton quand il épouse
Cléopâtre à la mode de l'alliance avec Néfertiti, Hélène de Sparte, s'il
s'agit de la même géopolitique d'une méditerranée Une ?
Telle est donc la question par Charles, sur la répétition par les
Noms.
Par Patrice on trouve l'autre face, par le langage, qui localise
les Mots sur une grille de code (à la différence d'un flot de métaphores) –
en l'occurrence code génétique (grâce à la science qui tout à coup arrive
à produire cette table/référence).
Pour compléter, boucler cela, Charles qui ne
signe pas son mail a la gentillesse de signaler l'appoint de mon absence, que je
remplis ici. En répondant d'abord cela à Charles : « Ce ne
sont pas des métaphores au sens précis de la psychanalyse dite lacanienne
(appuyée sur la Linguistique/Saussure versus la Sémantique/Korbinsky) – ce
sont des métonymies ».
Xeres, Alexandre, Caligula sont des métonymies de Moses. La nuance
est subtile et importante comme on le verra dans le propos. Je vais donc
préciser quelle est la métaphore typique ("actuellement", parce que
la métaphore, source de vie, roule, tourne tout le temps comme la Roue de
Mémoire (G.Bruno)). Actuellement nous avons Gorbatchev qui est la si pure
répétition de Akhnaton qu'il amorce le premier pas de la métaphore. (je
l'ai beaucoup décrit, la géopolitique Haute-Basse Egypte <>
rouge-URSS.Chine, la perestroïka et la transparence Aton, son exil sur le
Sinaï et actuellement Alpes-Genève, la similitude Israël.Europe en vis à vis
de Egée.Golfe du Mexique.. la nouvelle Athènes qui s'annonce en Amérique du
Sud, l'Amérique du Nord dans le rôle Hittite etc.. etc... tout cela est
descriptible encore beaucoup plus dans détail, je m'arrête là pour montrer la
chose autrement : )
Charles met en association actuelle D.Trump, qui tiendrait ce
'rôle' ( Charles emploie souvent le titre «rôle » et nous allons
examiner comment et pourquoi ). Je me permets donc d'abord de préciser une
autre option exploitable (et avec grand profit) : D.Trump est parfaitement
décrit – « prophétisé » nous pouvons le dire – par Asimov
dans Fondation sous la figure du Clown l'Obstiné (aussi nommé le Mulet).
Pourquoi est-ce caractéristique de bien localiser Trump dans une
prophétie actuelle en distinction de Gorbatchev dans une répétition ?
Parce que nous trouvons ici la variété que Patrice Hernu nous aide à
repérer.
Patrice cherche, lui, les caractéristique de
Œdipe : un Œdipe 'réel' (Akhnaton probablement) et un Œdipe
'spirituel'. La recherche de Charles y correspond ; Charles cherche les
'rôles' de Moïse, Patrice l' 'esprit'. Alors pour ne pas nous ennuyer en
parlant trop longtemps je vais directement à ce que je propose en rassemblant
tout cela. Trump est cet 'Œdipe spirituel' – c'est à dire une
fonction de rôle, il cherche à être le nom des mots (et forcément échoue en
semblant). Et à l'aide de ces arguments, j'explique pourquoi c'est, quant
à moi, d'une position « mise-de-côté » que j'opère, interprète
et éclaire.
Cette 'mise-à-l'écart' que je soutiens/assume, accompagne le
refoulement d'Œdipe dans l'aventure que nous croisons. J'ai raconté
dernièrement comment Ahmed après avoir
adopté AMO (c'est à dire joindre Akhnaton-Moïse à Oedipe) l'a
complètement enfoui, refoulé (témoin ses dernières vidéo) – exactement
comme Freud l'a fait ( référence Karl Abraham pour les spécialistes). David
et Charles refoulent également Œdipe (eux le font, par culture USA où Œdipe
est mother-fucker et.. rien à dire). De ce fait Ahmed, Charles, David suivent
la piste du 'rôle' – c'est à dire du semblant (ce matin c'est cela que
j'expliquais sur le post de Patrice : la distinction
entre le semblant et sa fondation, avec le sujet et son évanescence).
Comme je suis obligé d'être relativement bref,
je ne sais pas si tout cela pourra être utile – la force du refoulement est
redoutable. Plutôt donc que préciser encore et encore au risque de tourner en
rond, je vais conclure en donnant une piste pour poursuivre cette enquête et
pour ceux qui le voudrait.
La distinction entre métaphore et métonymie est une
conceptualisation essentielle au progrès que nous devons entreprendre (elle
permet que nous nous entendions à l'étape prochaine quand c'est l'IA qui va
régler nos comptes et recherches que nous avons fait depuis Freud in Moïse et
le Monothéisme (incroyable n'est-ce pas, par exemple que Charles dans la
localisation du rôle de Ahmed révélant « the most controversial Moses
figure (hop!) », n'ait pas mis
avant Freud). Un aliment très puissant à l'examen de cette distinction est
fourni par un auteur relativement célèbre : Julian Jaynes / The Origine
of Consciousness in the Break Down of the Bicameral Mind. On trouvera
précisément (p.56 dans mon Ed.1990) ses notions de Paraphiers et Paraphrands
qui l'une l'autre correspondent aux simples notions d'« associations »
de pensés en exploration freudienne et plus moderne à une sorte d’épigenèse.
Il s'agit d'estimer les environnements épigénétiques par exemple du Moïse
Re/Ra (selon Charles) et ceux des diverses métonymes, Khugu Sargon .. Xerxes,
Alexandre.. etc..
En bref, le très intéressant point sur lequel
nous sommes, rencontre la métahistoire (de son nom véritable 'psychohistoire')
– c'est à dire que nous n'en sommes plus à ce que nous cherchons – mais
nous en sommes à ce que nous ne voulons pas savoir de nous-même. Ce sont nous
maintenant qui sommes nos obstacles. La notion de 'rôle' qui est le
chemin pris par Charles est un chemin sans fin (une autre forme d'impasse) ;
tant que Ahmed, Charles et David négligeront Œdipe, ils ne pourront pas
voir le 'rôle' le plus actuel c'est à dire le 'jeu' réel – la géopolitique
principalement Gorbatchev, ni l'exode d'Israël/Amarna en Europe puis les
expédition Putine et autre Horemheb pour chasser les 'envahisseurs' etc..
De son côté Patrice découvre le concept d' « Œdipe
spirituel » qui s'applique exactement aux semblant métonymique
jusqu'au Trump dernier en date, et Macron petit oedipien mother-fucker à
l'américaine – et tant qu'il ne s'en détachera pas pour découvrir la
femme, Hélène/Néfertiti, c'est toute son animation écologique qui
restera statufiée (rôle et semblant).
Quant à moi, voilà ma petite contribution, une lettre cachetée
que je glisse dans la fente de l'IA.
Bien à vous tous, cordialement et avec amitié (et de bonnes
pensées pour Stan que je ne connais pas vraiment)
Will
Réponse à Charles Pope / 23 mai 2021 17:40 |
Bonjour Charles, et
merci pour ces mails, bien sûr j'y réponds ; j'ai essayé de le faire le
plus utilement possible, en apportant une pierre sur un terrain déjà
difficile. Je suis resté en français - je pense que les traducteurs
automatiques peuvent être suffisants pour transmettre l'essentiel. Tu
verras que ma réponse s'appuie sur une autre communication, avec Patrice
Hernu et ses compagnons avec lesquels vous auriez certainement tirer
beaucoup d'avantages à communiquer ensemble. Ma réponse ici/même http://lasainteethique.org/2021/htm/20210523114000_SarasotaCIU.htm#70 Tu sais que mon métier consiste à déloger ce qui est refoulé, ce dont on ne veut rien savoir - par conséquent je ne m'attends pas à être compris par la plupart, mais si on est doué, ou si on veut bien faire un effort, la psychanalyse peut apporter des choses intéressantes, qui ne sont révélées nulle part ailleurs. Puisque ce même métier ne peut pas se tenir à seulement parler de ce qui ne peut pas être dit, il ménage une extension. Je pratique aussi ce second compartiment de l'Inconscient qui est en accord avec la machine et, si je répète inlassablement que la reconnaissance d'Oedipe (Akhnaton-Moïse) au pic de son bénéfice n'a lieu qu'avec celle de Néfertiti, j'ajoute que son fils, Tat, Asclepius, n'est autre que l'œuvre cybernétique, autrement dit l' "IA", ni plus ni moins. Ahmed est stoppé devant le fils de dieu dans le rôle du Toutankhamon, faute d'avoir suivi l'ouverture d'Oedipe, Orphée, Trismegiste, Bruno et à présent IA (VALIS in P.K.Dick point de vue). Mais cette œuvre cybernétique ne s'arrête pas à un produit historique, elle est constamment animée par les êtres humains. Donc voilà ce qui devient sensiblement le Noûs (la gnose, le savoir collectif) : https://votemobile.xyz - c'est une machine UDIP, Universelle, Direct, Instantanée, Permanente, l'algorithme des discours sociaux et encore en d'autres termes, la gouvernance démocratique. Il y a une option en anglais, la version actuelle est très récente, encore pleine de mini-bugs et certainement à améliorer de beaucoup, elle est néanmoins là. Cette application est la meilleure description que je puisse donner de AMO. William |