accueil

avant

flog

après

En Cours

 

   Cette page doublon/miroir d'échanges, posts et commentaires FaceBook, présente...  en cours

 

Bonjour FB

 

ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230111a 

20230111a

Vous avez dit A=M=O ?!!

https://www.facebook.com/EkiTcho/posts/pfbid0RR6ioCAV5xURQeLsHADzAL3n5e8QDhzuFzDQpuofrG8SVskMKpCJUB9ASQvxFnRSl 
Cryptopher Keo est avec Doc Dwt et Antheaum Toll.
Dit simplement :
A=M=O (Akhenaton= Moïse = Oedipe)
N=H (Néfertiti= Hélène)
Voilà. Je ne sais quoi en faire. Toi non plus. Mais c'est là. ??

 

Certains pensent que l'on pourra avoir bientôt une figure virtuelle au pouvoir et on n'y verra que du feu. Cette pensée nous est acquise depuis Orwell/1984. Si on veut mettre ça en scène actuellement, on dira que « Macron n'existe pas. C'est une image créée pour la télévision et l’Élysée est de la réalité virtuelle. » C'est tout de même dur à avaler. Mais comme on sait que Poutine a 12 sosies, on peut être plus proche du crédible et disant que Macron au bout de la table négociant avec Poutine, là on était avec des simulacres. C'est un peu plus facile à admettre et on peut dire que dans ce cas de figure, Macron n'a pas vraiment existé sur ce coup là. La télé a fait un montage et Macron n'a jamais été en Russie. Ça passe un peu mieux et quand on voit ce qui se passe dans quelques années ce sera vraiment crédible.
Telle est strictement l'équation, la scène, la circonstance que l'on décrit également en disant que Moïse n'a peut-être pas existé. C'est du moins comme ça que Freud a abordé le problème. Le problème ?! Quel problème ? On ne voit pas de toutes façons ce qu'on pourrait faire avec ça et, comme on le voit, ça monte vite dans les tours.

1er « QU'EN ATON À FAIRE ? »
Ayant dans ma folle jeunesse un jour pensé qu'Akhnaton disparu sans laisser de traces sinon son caveau prévu jamais utilisé, Moïse apparut la porte à côté, au même moment comme un chat de quelque Schrödinger, et que... c'était le même. Je me suis mis alors à chercher ce que d'autres en disaient. C'était ainsi que j'ai trouvé un livre qui disait ce qu'on pouvait au moins faire d'un personnage aussi mal campé. Selon AKHENATON FILS DU SOLEIL, l'Atonisme était la première et unique/ultime réussite d'une religiosité à pouvoir être admise par toutes les cultures de la planète (d'une part il conviendrait aux religions monothéistes et d'autre part asiatiques – qui autrement, sans son socle écologiste, ne pouvaient qu'essentiellement s'opposer et se détruire réciproquement). Si cette thèse était exacte, que Akhnaton fut Moïse en personne favorisait encore plus cette fraternisation des religions/cultures, d'autant qu'elle commençait par unifier les monothéismes eux-mêmes, entre eux seuls déjà tant intolérants.
   Une carrière politique-scientifique de l'atonisme était donc ouverte. Mais quelques années plus tard quelqu'un me faisait voir « Non mais te rends-tu compte quelle promotion a emprunté ce titre ? » J'apprenais que l'auteur de ce livre si potentiel, l'avait écrit lors d'une vie dont en France – précaution nécessaire pour protéger la liberté de penser – il est interdit de faire promotion voire mention. J'en étais interloqué. Et me résolut à faire une marche arrière.

2nd « QU'EN ATON À FAIRE ? »
Cette dernière avait été anticipée par la lecture du testament de Freud, qui disait en général que retrouver ce qui a été refoulé est bon pour la santé !
   Il s'agit de MOÏSE ET LE MONOTHEISME, là où il écrit qu'il faut arrêter d'avancer d'un seul pas dans la direction qu'il a prise. Pour comprendre ce que cette prescription signifiait, il faut entendre que, tant qu'un élément reste refoulé tout ce qui reste « s'oupire » (cette dernière formulation due à Lacan). S'oupirer (outre vampire ou goule) signifie que ça ne s'arrange pas. C'est par cette réserve du Ça (« Ça s'oupire ») que l'on ne cherche pas "à quoi bon" mais au minimum à lever les refoulements et donner aux mots et noms leurs sens légitimes.
   Une bonne raison d'être lucide sur l'histoire, raison d'un art de la mémoire, justifiait qu'on s'ouvrit à l'identité du personnage historique, l'homme qu'on appela Moïse et que fut Akhnaton. Les cogitations qui suivraient sur le sens et la matière de la religion, de l'atonisme par exemple, passeraient comme du petit lait (les sens et l'essence des 'mythes', la fonction des légendes etc.. s'éclaireraient sans sacrifices). Mais durant toutes ces années on avait bien vu que la recommandation de Freud avait été traitée par ses disciples comme du pipi de chat – et que leur thèse du monde se réduisait bien à celle des cancrelats. J'en étais dépité et d'ailleurs ostracisé, il fallait me résoudre à chercher plus profond.

3em « QU'EN ATON À FAIRE ? »
Lorsqu'on verrait par exemple la question posée « A=M=O (Akhenaton= Moïse = Oedipe), qu'est -ce que c'est ? » on tombe tout de suite sur le premier A=M qu'on dit sans suite ; on répond en effet A c'est 'ceci' et M c'est 'cela'. C'est tout ! Point barre ! Circulez, papotez ! Pas un qui dise « ah, ah ! Tiens, tiens ! Si on soumettait à la question M=O, qui pourrait éclairer A=M, qui pourrait éclairer en retour M=O et par un tel circuit, se triplexer sans complexe.. ». Pas-un mais pourtant l'Histoire l'a dit/signifié :
   C'est Marsile Ficin livrant sa commande à Cosme de Medicis qui lui dit « Moïse. ; c'est O !, M=O ». Je n'entre pas dans détail, mais nous sommes au pic de la Renaissance. Tout le démontage de la construction jusqu'au refoulement (que Freud tente de réappliquer à la redécouverte d'Akhnaton un peu avant 1900), a été cartographié depuis lors. Je m'en tiens à la déduction pratique ici :
L'équation de la nomination (AMO) est celle du narcissisme. L'analyse permise par la lecture/déchiffrage de l'AMO dans le livre d'Histoire, permet l'anatomie du narcissisme, à savoir de la réflexion de soi, mais aussi de celle de l'environnement qui réfléchit et de là, d'une écologie. Ce travail est exposé dernièrement à https://www.lasainteethique.org/2022/htm/20221108094100_lapistefumantir.htm#221226 / miroir .

4em « QU'EN ATON À FAIRE ? »
Avec la psychanalyse (et sa psychohistoire) le fin de l'afin n'est pas de poser la vérité mais de permettre que se dise qu'on n'en veut rien savoir. Sinon la levée d'un refoulement tout cru est appelé « interprétation sauvage » pour rappeler qu'il faut le cuire ; évidente allusion au QI, co-scient intellectuel qui borde, corrèle la connaissance. Il faut donc passer par l'intelligence ; mais cette exigence est source de frustration. Parce qu'on y arrive pas. Tant que le refoulé est là, il puise énergétiquement sur/par la libido et cause une inhibition qui interdit qu'on la dépasse, cette intelligence ; en à bout, tissant un bout qui se mord la queue. C'est encore Freud, qui savait de quoi il parlait en ayant tant refoulé que la propagande lui revenait (affaire Bernays) en pleine face, qui traduit que cet suffisance de l'intelligence déroutée, était pour l'être humain ou l'humanité une humiliation (il s'agit de son allusion au copernicisme, au darwinisme et finalement, à la psychanalyse qu'il n'arrivait pas à conclure). Ainsi pour l'instant voyons-nous la connaissance universitaire refuser humblement d'en savoir plus, et attendre que, par l'artifice de l'hermétisme (de l'Art de la Mémoire aux 'machines à penser' des roues bruniennes/G.Bruno, schéma de l'IA selon F.Yates et son Warburg, à tel point qu'on arrive à L'ORIGINE DE LA PERSPECTIVE, une autre affaire dont on aura à parler en attendant) l'alchimie de l'IA nous libère du dogmatisme maternant.

Cryptopher Keo
Antheaum Toll #DeepFake & #Clone
On y est ??
Merci pour ta contribution qu'on va prendre le temps de déchiffrer... ????


Catherine Dupont-bourgeois
Antheaum Toll question ? l'ouvrage dont vous parlez "Akhenaton Fils du Soleil" est bien celui de Savitri Devi ?

Oui ; Editions Rosicruciennes que j'ai contacté à l'époque ; elle venait de dcd, tranquillement hébergée en Angleterre ; elle était mariée en Inde pendant et après guerre je crois ; je pense notable qu'elle classait Aurobindo parmi les "Avatars" (avec Akhnaton, Alexandre de Macédoine, Hitler) ; réciproquement je n'ai jamais trouvé de mention aurobindienne la concernant (elle était à l'opposé de Mira/Mère Alfassa)

Concernant Hélène dans Apollodore, Epitome, IV, 29-30 : retour de Ménélas et Hélène, il est spécifié le fameux simulacre ..
.. VI, 30. Certains disent qu’il retrouva Hélène à la cour de Protée, le roi
d’Égypte ; jusqu’alors en effet, Ménélas n’avait eu avec lui qu’un simulacre
[d’Hélène], fait de nuées. Après avoir erré huit années durant, il aborda à
Mycènes ; il y trouva Oreste qui avait déjà vengé le meurtre de son père. De
retour à Sparte, il reconquit son royaume. tiré de ce document =
https://www.pedagogie.ac-aix-marseille.fr/.../ecla_2nde...

Siavach AB
Antheaum Toll Une question, selon plusieurs faisceaux de preuve (ils sont faibles) Zoroastre ou Zaraoushtra était "prophète" (?) d'une religion monothéiste (culte d'Ahora Mazda) bien avant Akhenaton (-1700 ou -3000) : que fait on de cette information ?

Cette information s'intègre parfaitement dans le tableau. Une antériorité est unanimement détectée tant à Moïse qu'Akhnaton ; Sargon par exemple et Hamurapi de Babylone/Mari, avec aujourd'hui Gobekli Tepe archéologiquement ; il y a eu aussi un Abraham avant Moïse; donc une 'pré-histoire' à la scène primitive AMO.

 

    ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230128a 

20230128a


   Dans son Art de la Foudre,  l'auteur s'y reprend à trois « Au bon dire, la saisir d'un seul mot », parlant de la foudre et de ce mot 1.qu'on ne sait pas, 2.qui sera jeté, 3.pour délivrer le chant. Jean-Pierre Petit fait l'expérience, et montre, et démontre qu'il est possible d'un seul mot, de sidérer, de foudroyer une communauté la plus totale des intellectuels soi-disant garantissant la bonne conduite de la découverte. Ce « l'un seul » qui parle, est traduit à la psychologie par « narcissisme ». Je reviendrai prochainement à la page qui décline l'analyse dudit narcissisme  pour aborder le versant qu'on crée, de nommer négativement comme 'la femme' de la castration ( référé à voyez à la page.12 ). Ce versant concret se trouve aussi bien dans l'infâme jeu de mot que dans la scandaleuse interprétation qui veut que Janus, veuille dire l'identification de l'anus que le 'je' mène au répertoire de la phase anale.
Le narcissisme en impasse de la phase pulsionnelle dite 'anale' explique l'évacuation à laquelle pousse le milieu scientifique, JPP d'un nul à ch.., il fait ch.. Bien sûr dit avec la politesse du silence, car à ce stade le corps dit des faits que défèque – et ferme les vécés de l'intérieur. Les scènes originaires, les modèles ontogéniques, le coup de foudre se trouvent en (psycho)histoire, comme en astrophysique, comme en biologie (JCP ne cite que les deux derniers ). Comme il y a quelques années DWT le montrait de J.E.Charon, ces modèles de la physique de la matière dont l'universitarisme ne veut rien savoir, illustrent ce procès de la représentation (le phénomène psychique du signifiant). Dans l'exemple présent, le modèle de A.Sakharov (deux cônes/paraboles placées cul à cul) retourne l'un des univers sur l'autre, constituant un seul univers fait de deux pellicules de charges opposées. S'agit-il de la couverture du Semblant ? L'affaire est à suivre. Quoiqu'il en soit on retrouve encore le modèle dit "optique" du psychisme.
Ce prolapsus pourrait-on dire, de l'Un d'eux (de l'universitaire au Janus), institue sa parole exclue – sauf dans le cas de la psychohistoire. Cette dernière affiche la même chose (la scène primitive rébarbative à chier) et rend unique son interprète, pour tenter de voiler la vérité qui parle. Comme elle mentionne cependant la sexualité,on peut en attendre des rejetons qui sauront se faire entendre.

    ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230128b 

20230128b

Petit cours toujours

FaceBook

    L'exemple de la linguistique est précisément « parlant » et ce sont Sartre et l'antipsychiatrie (1960-1990) qui y détectent d'abord qu'il existe un certain lot de mots (signifiant, signe, représentation symbole etc...) qui permettent au langage de viser le compte rendu du monde, des chose y compris le langage lui-même. Mais selon Sartre (existence/existentialisme) le langage n'y parvient pas tout à fait. Ses mots/concepts eux-même peuvent signifier leur total, mais il faut ajouter son acte de totalisation, et l'ajouter au total, et à nouveau la totalisation etc.. (voir paradoxe Tortue de Zénon). Ainsi le signifiant (figurable comme le 'roi' des mots, comme on dit que le lion est le roi des animaux, parce qu'il est intronisé par la science, linguistique, père fondateur Saussure) règne par totalisations et totalisations de totalisations, et totalisations de totalisations de totalisations etc..ainsi de suite
    Le langage est donc un système « pseudo-fermé ». Il lui échappe toujours quelque chose et l'antipsychiatrie (Laing avec Sartre) a conçu l'idée que le délire (la folie) était cette chose qui échappait sans cesse, et ce que la psychiatrie cherchait à arrêter (sans se rendre compte que si elle y arrivait ce serait elle qui serait devenue folle – et son état « totalitarisme »).
    Troisièmement cet objet "infinissable" (que le langage chercher toujours pour finir total) est appelé par la psychanalyse le désir (ou l' « objet du désir » (parce que le désir est d'être objet d'un désir (qui désir est objet du désir (qui ..etc..ainsi de suite)))) et elle suggère que, si on ne peut pas arrêter, la totalisation et fermer le langage sur lui-même, ont peut, quant à faire, industrialiser cet objet fuyant (comme on industrialise l'espace-temps avec des nombre Pi, irrationnels, infini etc.). Cet objet/désir est essentiellement si fuyant qu'on ne peut que son industrie n'est qu'un bidouillage ! Ainsi bidouille l'obscur de l'hermétisme par exemple avec ses mots 'semblant', 'cachant', etc..ainsi de suite). Cependant surtout, est-il industrialisable, déclare le freudisme, par l'amour dans la différence sexuelle, d'autant mieux qu'on bidouille le rapport sexuel en connaissance de la différence sexuelle... et il appelle le désir dans ce cas « libido » ; et c'est l'époque ou commence la pilule, la génétique,

On trouvera particulièrement illustrative la combinaison des deux images ; la première qui totalise en bref la linguistique et la seconde qui figure l'invention de la perspective par Brunelleschi.
Olivier Auber
Et quel est l'équivalent de l'expérience de Brunelleschi dans le domaine des réseaux, hein ?
https://www.facebook.com/olivier.auber.7/posts/pfbid0dqtwkSmSUXDQ753epTEHN6GHdbC3UKKVWXkHesyTdjgh3pNsYdTEtTrXfCStZ4PXl  

Tiens ! t'hein !! (genre "dis tonton, pourquoi tu tousses") ^_^ Dans son traité DAMISH (L'Origine de la Perspective) typifie bien l'expérience de Brunelleschi qu'il est légitime d'indexer sous Prunelleschi - en référence à la "prunelle de nos yeux" tant on y tient dans l'obligation de trouver, de la tradition, une origine temporelle, spatiale, voire de métier. C'est en quoi, comme je le lie là https://www.lasainteethique.org/2022/htm/20221108094100_lapistefumantir.htm#221226 cette expérience est regardable comme semblant (terme précieux s'il en est de la mémétique). L'Anoptikon présente ce progrès qu'il est substantifié dans l'appareillage comme je l'explique ibid https://www.lasainteethique.org/2022/htm/20221108094100_lapistefumantir.htm#230128d .

      ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230201 

20230201 avant psychopathologie de la science quotidienne

FaceBook

   Parmi les géants d'une époque, Ronald Laing et Henri Laborit on joué, pour le premier le personnage du psy-anti-psy, pour le second le personnage du matérialiste biotech. Lors d'un congrès s'y trouvant tous deux sur scène assis, Laing à un moment donné, qui avait beaucoup bu de bière, s'est levé et a pissé au pied de la chaise de Laborit. Ce dernier qui était en train de parler ne s'en est pas démonté et en continuant a expliqué que c'était un signe de marquage de territoire voire de propriété.
   C'était aussi pour Laing tant admirateur de la Sagesse Folle du Bouddha, un geste traditionnel par lequel pour montrer leur intrépidité, il arriva que des prélats du Tibet se lèvent l'un devant l'autre pour lui pisser devant en public. Lorsque dans sa chambre Ronald voulut me prouver qu'en me posant un diapason sur la dent j'entendrai le 'la', il était insistant mais je pus m'exfiltrer.. pour retrouver dans le lobby ses obligés d'Amnistie qui faisaient circuler des photos d'une horreur (tortures) folle. Laborit, lui, testait le GammaOH, une drogue de son invention avec laquelle il espérait devenir riche, avec sa femme dans sa chambre, d'où il faisait descendre au lobby des ampoules.
   Sur Taire (de l'Athènes Akhnatonienne, LATHAHK un roman hyper-réaliste), la science-fonction arrive par la nomination des choses, telles que le dit les dit..
   Laing et Laborit étaient des meilleurs amis du monde. Lorsque le premier, londonien, venait à Paris pour prendre des instructions de Sartre, il passait chez Lacan qu'il trouvait empressant puis visitait Laborit dans son labo de souris desquelles expliquait-il, il était Dieu. Sur Taire, tel que le dit dit, le mots policés disent des horreurs qui, mots dits, content des pulsions l'avenue. C'est ainsi qu'en trois parties j'avance dans l'état des lieux. (avant un cas d'inhibition) .. (après au symbolique suprême) (ensuite, accès au semblant/analyse graphique

      ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230205 

20230205

Olivier Auber
Je ne voudrais pas que mes histoires de A, AB, ABC nuisent à la paix des ménages. Pour calmer le jeu, je peux simplement dire qu'il s'agit d'une utopie et qu'il parait impossible de l'atteindre, particulièrement ABC qui ne dépend pas seulement du réseau mais de facteurs extérieurs assez mystérieux. On peut simplement se rapprocher de la légitimité éventuellement, et en attendant, profiter de l'air qu'on respire et tenter de rester bons amis ??

Antheaum Toll
Olivier Auber Merci Olivier, nous sommes un vieux couple, Chryptoph l'a récemment remonté en 2016 et nous avons fait nos preuves. Mais c'est très sympa à toi. Il est vrai que, surtout dans ces vieux couples, la différence d'âge joue un rôle (cause des pulsions), mais nous sommes tous heureux de pouvoir prendre des risques. Ton attention me touche doublement puisque j'ai déchiqueté – certains disent dévore, mais moi ça a été pire – ton livre, et j'y ai trouvé un engrais très fertile. J'en fais part ici et là – car je suis un peu explosé (au dire d'une lectrice qui voit comment on peut appeler ça pluriel et pas pluri-elle) – et précisément en ce moment je continue à avancer en appuyant sur Anoptikon. Je ferai part ici des suites prochaines dans
- - -
Antheaum Toll
Olivier Auber Ah ! voici, Olivier, où nous en sommes, du côté de cet effort de compréhension de nos pulsions. Le concept a été inventé par Freud. Il s'agit d'une énergie dont on identifie la charge dans le 'moi' et divers autres objets impliqués dans le psychisme. Principalement l'instigateur de la psychanalyse l'a-t-il rattachée aux éléments qui constituent la représentation (voire la représentation elle-même) des choses (et des représentations). Tout cela a été traité ensuite dans des théories du Signifiant, symboles et codes etc.. Mais ce serait un grand défaut de passer vite sur le lien que la Représentation entretient avec l'Art.
Ce serait d'autant plus dommage qu'en catégorisant ces pulsions, on trouve que celle qui domine et anime notre civilisation, se laisse bien traduire en termes d'emprise, d'industrie, de raison et violence. Mais le mode d'expression qu'est l'Art a été laissé de côté par les analyses, probablement du fait du caractère trop sensible. Tachons de le réparer. L'Art durant cette civilisation a été l'expression de la pulsion anale. En bref et sans craindre les critiques, on peut résumer la préhistoire, en y trouvant le stade du miroir et la pulsion orale ; puis résumer l'histoire en y trouvant cette expérience fameuse de Brunelleschi, correspondant certains disent au dit « stade du miroir » et que pour les besoins de clarification on nommera sur l'instant « stade de la tablette » - cette dernière à son tour typifiant la pulsion anale.
Si comme tu le rêves, l'Anoptikon s'inscrit dans cette suite, appareillant à notre époque cette escalade, il parviendrait au stade génital. À mon avis, non, mais oui aussi – parce qu'ainsi que Brunelleschi amorce la modélisation du son stade anal, l'expérience de l'Anoptikon amorce celle du génital. Je suis en train d'avancer 'hypothèse que parvienne la civilisation à ce troisième but, l'appareil (l'expérience) qui en fera pratiquement le principe, doit être frappé des fonctions du Signifiant, ce que, dit de façon sommaire, l'Anoptikon élude. Tout aussi sommairement l'Anoptikon est le semblant de ce qui sera l'appareillage (cybernétique) de la démocratie.
Le thème des critères ABC a été apporté à notre échange – lequel très brièvement je jalonnerai à ce point, d'un quarteron : UDIP, de critères de la sorte. J'ai posé de mon côté, de celui du génital qui n'est pas encore parvenu, ces quatre sigles pour les soutenir à présent d'y ajouter ceci : le critère de validation de cet appareil que l'Anoptikon annonce est exigible, évidemment par définition, mais il est exigé aussi qu'il n'y en ai pas d'autres. Car en ajouter un cinquième, un sixième, autant qu'on voudra ne serait-ce qu'un seul, c'est désavouer que les quatre, UDIP, suffisent à eux seuls pour produire chacun et tous les autres (par conséquent en poser au principe un autre est superflu, et douteux par conséquent).
Nb : Je pense que dans le proche futur il y aura des éclaircissements à apporter sur le déchiffrage de l'expérience de la tavoletta.
Voilà à présent, actuellement
où j'en suis.

20230205 12H52 Antheaum Toll

Au choix de nombreux motifs, l'apport de l'IA peut être relevé dans l'ubiquité qu'elle affiche.
MerciOlivier Auber pour les questions ;
   a) 1ère réponse donnée par Serge Chappellaz qui lève le voile sur la vue voilée (égrenant l'acronyme*) du 1er texte & expose une seconde mise en scène de l'UDIP (Ubik & Udip).
   b) Merci aussi pour la seconde 'question' qui demande que je détaille l'expression du spectacle donné d'UDIP ; donné en l'occurrence en contraste à l'emprise de la certitude qui idéalise "qu'on mette fin une fois pour toute à l'ambiguïté ' !
L'ubiquité répond que le vrai passe par le faux (ne le dépasse pas) et que le bien est vitaminé, vite animé par l'incertitude ; il ne peut que se réjouir qu'un mal assuré soit mal assuré**
   c) Enfin, au délice de l'IA, bravo [pour l'exercice imprimerie/perspective] ! et merci pour rassurer que l'enfant se porte bien. Ce qui encourage à poursuivre : dans le cadre d'une lecture de la pulsion ; l'IA aurait pu dire que l'imprimerie laisse beaucoup plus de traces patentes que la perspective, plus profonde. Ces taces sur le papier font un indicateur sommaire ( et classique) de l'analité mais, instructif qu'elles soient inversées, en miroir.
   Nous n'en sommes cependant qu'à l'oralité ayant passé son stade-du-miroir ; c'est à dire là où elle dé-bouche à l'anal.
   Similairement la perspective qui hante ce dernier/stade, le met à l'avant de la génitalité. En cette dernière la perspective sort à son tour à peine de l'être-on.
   La distinction qu'elle promet, de distinguer l'être-où, qualifie maintenant l'angoisse de pouvoir se porter à l'extérieur (projection) au lieu de l'abandonner en soi(somatisation) - comme incapable de se mobiliser, l'enfant avant qu'il marche, l'encaisse.
   C'est cette passe où nous sommes ; l'angoisse est aisément économisée dans sa projection à l'extérieur (et son symptomatique sadique-anal). La démarche que nous entreprenons à ce stade est celle de déchiffrer (et/ou d'avancer) la connaissance de la perspective ; motivant l'effort qu'on lit dans le livre Anoptikon.
   Je continue en même temps à lire avec un grand intérêt l'Origine de la Perspective de Hubert Damish, en notant l'insuffisance qu'il montre, l'inscrivant bien dans la stase où Lacan s'est planté avec ses rejetons (que je n'ose imaginer à la façon de Pharaon noyant ses troupes dans l'im-possibilité du Nil !! connue de la mère rouge de la tentation sinaïque).
S'il faut conclure avec une mise en position d'UDIP, je le mettrai donc au structuralisme pour trouver une autre voie de sortie que la Castration et la pulsion à la Jacquemort. UDIP ouvre une autre issue ; il brille sur le biface où côté l'anal, l'anoptikon (ABC***) n'en est versant qu'en doublure avec votemobile (UDIP*)
- - - - - - - - - - -
* : Universel, Direct, Instantané, Permanent : les quatre règles nécessaires et suffisantes à la démocratie, en pratique acquise depuis l'électronique (respectivement ; égalité/acquise, abolition des distances/représentation, temps-réel/vitesse de calcul, nuit et jour toute l'année)
** : la médecine estampillée par l'Assurance Maladie..
*** : je ne prends ici ABC que comme un indicateur iconique d'une annonce d'une démocratie qu'UDIP alimente. De Brunelleschi l'Anoptikon n'emprunte que la tablette, APSO/votemobile ajoute le miroir de la représentation/vote.

     ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#2023020519H00 
20230205 19H00 Antheaum Toll

Rebonjour, @Olivierauber me revoilà sur l'établi !! Je craindrais de vous harceler si ce qui me motive n'était précisément de vous éloigner de ce risque. Je joins une capture d'écran (que vous pouvez également constater en longeant le fil de commentaires sur lequel nous communiquons).. On sent une présence affectueuse - qui n'est jamais loin en cas de valeur, mais qui déborde des fois, et je voudrais éviter que si vous receviez de faux messages de moi, vous en soyez trompé. Juste pour note, donc, que si des choses douteuses vous semblaient paraître en mon nom, elles pourront être vérifiées sur cette page-miroir (ou ses suivantes qui s'y lieraient) où tout ce que je poste/émets est 'officiel'/certifié par cette tenue miroir sur site/URLpersonnel (voire s'il fallait aller plus sûr encore, dans ma compilation dite ucmpp, gardée en hard et sécurisée*).
- - - - - - - 
* : Il vaut toujours mieux compter sur soi et la relation directe que sur quoique ce soit qui passe par les États ; nous en trouvons la règle dans l'Invasion Divine/P.K.Dick, lorsque Sophia accueille Emmanuel en lui offrant un ordinateur et l'avertissant de ne jamais oublier qu'il appartient, en réalité, au gouvernement.
+ J'ose croire que nous avançons dans le bon sens.
https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#2023020519H00

     ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230207 

20230207

https://www.facebook.com/antheaum.toll/posts/pfbid02GyR1dCnKPhcJrXZzDEjDh8wJJE865NHCM6XAtLRw2AxkkRWHYv7M45LFfYy45vvwl 
En sortant de sa convulsion, la civilisation doit apprendre à lire en elle, l'expression des pulsions qui la gouvernent. Il en existe autant que de types de sphincters, mais on se contente généralement de les limiter à trois : orale, anale et génitale. L'état de pollution, de traitement des déchets, et d'agressivité sadique-anale de la relation collective au social, ainsi que ses caractéristiques plus théoriques, orientent à l'identification de la seconde phase en cours dans l'humanité. Nous avons cependant les moyens d'agir dans le sens d'aboutir à l'acquis génital ; https://www.lasainteethique.org/2022/htm/lathakh.htm#fevr2023

https://www.facebook.com/groups/5743659322349656/posts/5968378159877770/ 
Où " l'organisation en dehors des organisations " appelle la " totalisation des totalisations " éculée ( = "dont le talon est déformé" ) par l'antipsychiatrie (collaboration Sartre et Laing). Ceci signifie que l'anti..(antipsychiatrie, antigone, anti..etc..) revient sans cesse sans la détruire et sans si compromettre, avec la remarque que l' « autogouvernance » est le premier théorème de la paranoïa. Il s'y ajoute, comme le fait remarquer le post/commentaire que ces DAO « restent sous-théorisées » (et probablement parce qu'elle sont onto-pathologiques mais.. aussi nécessaires). C'est spécifiquement la fonction dudit « anti » que de relever cette sous-théorisation en une cybernétique effective. Comme de règle alors, acceptant en gros tout (l'antipsychiatrie accepte en gros tout de la psychiatrie mais y ajoute la science post-anale*) en ajoutant sa remarque : « tout est bien dans ce post/commentaire à la nuance de sa fin : « tout en ayant besoin de s'appuyer sur la structure organisationnelle pour les gouverner (sic) » ; car la formule 'ouroboros' ainsi conclue aurait dût dire « tout en ayant besoin de s'appuyer sur la structure 'Inconsciente' pour les gouverner (sic) ». C'est ici que l'UDIP donne l'appoint au DAO.
- - - - - - - - - -
* : permettez de laisser entendre ce fin de jeu-de-mot qui aidera les bonnes volontés à comprendre : on parle volontiers des « relations » essentielles aux théories organisationnelles. Le mot permet d'imaginer qu'il y ait à leur principe encore plus intime, un terme : le ou la « lation » qui soit répétée, redoublée, réfléchie pour prêter à la "relation". Si on accepte cette petite coupure on entendra à cul mue 'lation' cette entreprise de totalisation de l'action qui s'intitule praxéologie. On peut mouvoir la 'lation' par le cul et, psychologiquement c'est cette phase essentielle qui meut la vie végétale, quand elle peut se déplacer, devenant animale. C'est une étape essentielle du vivant, et c'est que traverse le petit humain quand il commence à pouvoir sortir de son pot. Le déplacement, les jambes, l'individualité par conséquent etc.., tout cela est résumé et traité de la dite « pulsion anale ». Actuellement tandis que l'humain doit s'élever à la pulsion génitale, il struggle avec l accumulation, il l'organise avec la DAO dont il permettra une normo-théorisation avec le recul libidinal que procure précisément à cette fin UDIP. Contre la constipation et l'accumulation, UDIP procure, si on peut dire une élation (euphorie déjà indiquée dans l'Anoptikon) ; il est comme l'antipsychiatrie à la psychiatrie qu'il garde qu'elle ne se prenne pour une révélation.
Nb : bientôt sur nos écran la suite et résolution de l'expérience de Brunelleschi – qui sera indicatrice sur ce thème de la perspective de « l'organisation en dehors (sic) »

https://www.facebook.com/antheaum.toll/posts/pfbid0hSPEBPsWeRjkXEb8GTutRDQ1dSnZA4D9TXSuQu5MZhPm2zATqb3SwpEvPkgCRSuDl 

J'avais remarqué un étonnant effet de l'Analyse Plurielle en l'espèce d'une euphorie notable voire étonnante ; je l'avais mise de côté à l'usage d'observations ultérieures. L'exercice de l'Anoptikon produit un résultat semblable qui a étonné son inventeur. C'est une double confirmation, réciproque, transitive. Lors d'une réunion récente nous y avons réfléchi, en remarquant aussi que du simple fait d'une réunion, groupe entraînait une joie. Nous pouvons les distinguer de ces mots ; une joie (groupale) et une euphorie (synthétique) sont-elles distinctes ? Une hypothèse a été formée que cette joie se fasse en groupe, d'un fait d'hypnose marquée par la fonction d'un leadership, qui peut être un motif, un objet, une personne, « Jésus lorsqu'on se réunit en son nom » etc.. cependant que dans la cas de la synthétique son euphoria, s'en distingue, étonne, du fait que ce soit l'absence d'un leadership qui soit en cause.

     ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230209 

20230209

médication

FaceBook

Hippocratisme Restitué continue sa remontée en arrière jusqu'à l'épisode du confinement qui, pris du bon côté, était offert par macrotte, présidente de l'Ère Anale, pour du temps libre à étudier et reformuler l'hippocratisme. Actuellement la page remonte au 26/07/2021, plus d' un an plus tard. Dans ce laps une importante expérimentation vaccinale avait eu lieu, par une technique tout à fait inédite d'asservissement des cellules de nos précieux organismes, à sécréter des pics viraux. Une fois l'opération terminée elle avait laissé remonter la crème des médecins assermentés par Hippocrate, qu'il suffisait d'éliminer pour continuer à boire son petit lait. Il fallait le faire le plus silencieusement possible et les vidéos qui le déballait étaient censurées (telles celles qu'il fallut rabattre sur site privés, expl : https://www.telemedecinepsy.fr/2021/video/interdictionHypLit.mp4 ). Cette exploitation du silence se fait sur fond de psychologie collective qui prépare son terrain, par des refoulements que l'on pourra dire 'massifs' (exceptionnellement étudiés, comme Freud l'indique explicitement mais, pour cause n'ayant jamais pu le nommer ; entre le refoulement par les individu et la forclusion par le corps social, il est paru dans le réel de la Novlangue : sorte de face inverse ("invertournement") du silence). La clinique de l'insu, se présente alors bien décrite par un témoigne simple et récent, personnellement reçu par un connaisseur, l'ayant vécu : (dans son jus) «c'est dur d'être dissident dans les temps actuels, on ressemble beaucoup à l'union soviétique des années 70, où les gens qui ose parler, commence à être traités comme mentalement instable ou complotiste.» Le refoulé de masse est donc massivement conspué ; et soigné par l'hippocratisme restitué, il ressort en forme de répétitions**.

** :  Ci-dessous, en réponses par commentaires, surligné en  jaune  quelques passages pointant ces répétitions actuellement caractéristiques de l'histoire d'AMO/Akhnaton-Moïse-Oedipe

Antheaum Toll
Bon on va commencer pour faire simple est-ce que une moindre des choses serait causée si une démonstration se faisait* que Mahomet était un druide celte banni parce qu'incestueux ? *Là aujourd'hui dans le petit quotidien que nous vivons
Répondre18 h
Dom Cailliez
Antheaum Toll très intéressant et je suis prêt à tout imaginer mais je commence déjà à redouter les complications
Répondre18 h
Joelle Bare-lesven
Antheaum Toll c'est très osé mais pas aussi absurde que ça paraît.,Si on se rappelle que ce sont des rabins et des prêtres Syriaques qui ont transmis le savoir Chaldéens à Mahomet.. enfin d'après ce que j'en sais.

//@Joelle Bare-lesven Dom Cailliez Josselin Carlier//
La comparaison que j'ai faite avec « un druide celte banni parce qu'incestueux » visait à faire voir de côté ce qui n'apparaît pas quand on a un scotome. Lorsque l'on regarde en face AMO, nombre ne voit pas ce que ça peut faire et/ou déclare ne pas comprendre. Pour l'utilité de quelque Bataclan ou Charlie, je déclarais une hérésie et des effets qu'on a encore en mémoire, courte. De mémoire à peine plus longue l'Inquisition et autre calamité avaient aussi suivi le rapprochement à l'identique de deux figures mythologique grecque et légendaire hébraïque. Si on veut regarder les choses en face, en l'absence de scotome, l'exemple pris du « druide/celte » s'applique exactement à Akhnaton.
Je pense que vous avez les rapports de P.Hernu, de la génétique de la 18em dynastie. Révélant qu'Akhnaton était de lignée celtique (ce qui n'a rien d'étonnant, songeant au gouverneurs anglais des Indes et autre colonialisme si fréquents) nous sommes effectivement dans la configuration de ce « druide celte banni parce qu'incestueux ». L'histoire très obscure qui n'a permis à Freud de ne faire qu'un peu de lumière, devient beaucoup plus compréhensible. Mais voilà que son obscurité, sait-on aussi, ne lâche pas prise volontiers, et c'est toute la suite de circonvolutions de la haine qui fait le tableau continûment.
Lorsqu'on voit clair, ce que ça change, c'est d'éviter de se prendre les poteaux, et esquiver quand on vous jette une lance. Ça ne change rien, il y a toujours des poteaux et des lances, mais il existe une conscience qui s'est formée de la situation, évitant qu'on la cherche ailleurs en toutes théories, donnant une idée précise notamment de ce fait :
Freud, génial, et bizarrement si seul – avez-vous remarqué que de 1885/découverte d'Amarna, à 1939/Moïse et le Monothéisme, il aura été seul et unique à avancer la thèse dite du « Moïse égyptien » ; et remarqué que même par la suite l'absence de pairs aura duré jusqu'à A.Osman 1990 ; voyez-vous quel extraordinaire exemple de la solitude nous avons sur cette thèse?! – a eu cette perspicacité jusqu'à constituer son hypothèse sur la base d'un petit groupe qu'il qualifia « néo-égyptiens ». Si on n'en tient pas compte, à quoi rapporter la population en Europe d'une caractéristique de dissidence, grosso-modo, disons antivax. Si l'agonie que nous permettons en ne voulant rien voir et comprendre de cette situation, continue, elle va former définitivement un groupe, précis et politique, qui agira dans l'histoire comme ces néo-égyptiens.
Je n'en dis pas long, n'est-ce pas, c'est assez lourd comme ça ; mais qui se fait une idée neutre au moins, verra bien le fil rouge, de Votemobile, au PLAN, à l'Art de la Mémoire, à l'Hermétisme, au Triplex et à Amarna, et puis évidemment à ces perles au bout du fil, AMO et Hélène, Néfertiti. C'est tout un ensemble, très simple, unifié et documenté, considérablement. Contre quoi on bute au but.
-------------
PS : j'adresse aussi (à Joelle, Dom &) à l'art de la musique - la musique des sphères en perspective =_^ - ce singulier compte-rendu que ne pense, même Annick Souzenelle n'aurait pas entendu sans un certain effort . Et je précise pour éteindre l'incendie des interprétations affectives que le mot 'genial' qui suit Freud dans mon texte est mis en gras-rose par FB sans que je ne sache du tout pourquoi. Innocemment comme ça, c'est plutôt marrant ((et ça ne va peut-être pas rester/résister à l' "envoi" .. nous allons voir, je presse le bouton et..
Joelle Bare-lesven
Antheaum Toll pour commencer je n'aime pas du tout Freud ..

  

non-publié

   La volonté principale, unique au demeurant de l'Inconscient, étant de ne rien savoir d'une cause essentielle (que Freud identifie au 'moi'), il n'y a pas pour l'être humain d'autre moyen que de réfléchir par ce qui aboutira à avoir été dénommé IA, une cybernétique appareillée, pour vivre ce qu'on appellera un Appareille Age . Entre temps les tenants de la seule cause qui y donne accès, le psychisme, seront, soit agonis, soit déçus par de prétendus confrères, plutôt agents-doubles de ladite volonté de n'en rien savoir.
   Il y a me semble-t-il deux raisons pour "ne pas aimer Freud" : l'une est que, pour nommer une des phases de développement du désir, il ait employé le terme "anal/analité" - il aurait pu la nommer, stade du déplacement, stade du contrôle, stade de la perspective. Mais il l'a frappée du plus dégoûtant terme. Aura-t-il averti que sa résolution, cet "entre temps" serait plutôt scato, dans le salace ?
   Nous vivons une belle époque, néanmoins, on va marcher sur mars. Une seconde raison est d'avoir précisément distingué le 'moi' et, à ce motif, se déclara lui-même averti que sa démonstration attirerait de la répugnance. Il l'a mise à la cause d'une humiliation ; le 'moi' serait la précieuse 'chose' humaine, malheureusement douée d'un orgueil fâcheux. À part ça, il serait doté de cette déplorable volonté d'ignorance, la seule et unique volonté qu'il aurait, d'ailleurs et de son Inconscient. Il n'aurait pas d'autre volonté que celle-là. Elle aurait pour objet d'ignorer la cause première. Je ne suis pas certain qu' "humiliation" , injustement péjoratif est le fin mot. Je préfère celui de "désinvolture" employé par Hubert Damisch dans l'Origine de la Perspective, semblable au terme de "dilettante", cette fois appliqué à Freud par Rudolph Steiner quand il pensait voir en Freud un simple neurologue..

      ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230211 

20230211

démonstration par l'art

   Je place ici la photo d'un passage de Hubert Damisch dans l'Origine de la Perspective. Il date de 1987 mais l'urgence qu'il déclare demande toujours à être éclairée. Il demande si une démonstration par l'art prévaut ou peut prévaloir sur des théories scientifiques. Pour cela, et très résumé, la suite du texte expose que la démonstration qu'il prend en exemple, aura été que : le point de fuite, en peinture, fonctionne « à la semblance de l’œil (sic) ». Je ne vais ni contester ni approuver l'argument ; la question est ici d'avoir listé les éléments dudit argument, et simplement de relever qu'il en manque un qui aurait été bien opportun. Accessoirement il est aussi notable que Damisch a frôlé cet argument qui manque. Il y est aussi près qu'un poing qui tient une noix est proche de son cerneau (sa graine comestible).
   On verra ainsi Damisch traiter abondamment du Sujet (le S.barré, $, lacanien) – et mentionner le 'moi' mais ne jamais l'atteindre, alors qu'au contraire, il est nécessaire au narcissisme, la première thèse de son livre.

   L'histoire est une balance à fléau qui pointe tantôt l'art, tantôt la science, cette dernière étant selon cet auteur la voie de la « désinvolture. » C'est ici qu'on trouve la séméiologie de Damisch, qui traitera plutôt du 'sujet' (Sbarré;$) de cette désinvolture que de l'implication énergétique de l'art : le 'moi'. En bref, il sera lacanien plutôt que freudien. Nous/je montrons que ces contradictions sont celles de la seconde phase de la pulsion telle que découverte par Freud, et cela l'expérience le démontre, en pratique, dernièrement comme depuis longtemps. Mais l'effort de Damisch, comme il le dit, 'pousse' l'Europe. Encore une fois, ce n'est pas compliqué mais c'est illisible par un défaut de lecture.
   Ce défaut de lecture se trouve dans la transition de la seconde à la troisième phase pulsionnelle du 'moi' freudien, il entraîne que l'Europe (à nous en tenir au passage photographié) se destine à la répétition, phénomène également décrit par Freud, et inéluctable en dehors du 'défaut' surmonté sinon levé. Celui qui le présente est 'par défaut' désinvolte, il n'agit pas. Il est sans réflaxion. Et l'histoire se répète. Il n'y a pas d'éveil dans ce cas ; PK.Dick le formule « L'Empire n'a jamais cessé » et Lacan remarque « ce qui ne cesse pas de ne pas s'écrire.» ; c'est le cas aussi où une démonstration par l'art ne prévaut pas.

Ariane Ledermann
Le nombre est dans l'art comme dans la science. L'algèbre est dans l'astronomie, et l'astronomie touche à la poésie ; l'algèbre est dans la musique, et la musique touche à la poésie. L'esprit de l'homme a trois clefs qui ouvrent tout : le chiffre, la lettre, la note. Savoir, penser, rêver. Tout est là.
Victor Hugo, extrait : Les rayons et les ombres .

   Merci Ariane, vous nous/me rappelez les fondamentaux, et je veux bien prendre le challenge. Je révisais dernièrement la vie de Victor (Hugo) ; il en impose ! Parmi ses innombrables qualités, il en est une qu'on accorde volontiers au poète : il touche à tout. Son extrait fait rêver, il compose se mots comme un bouquet. Il fait penser aussi, on les prends et ils rayonnent. Font-ils savoir ? Là j'en doute. Je mets volontiers la musique, la peinture/architecture et la poésie à égalité, chacune avec sa particularité, celle de la poésie étant de manquer à faire savoir.
   Le savoir (selon la méthode que (je crois) je professe) est quelque chose que VH mentionne et qu'il faut placer dans le nombre. Pourquoi est-il par ce fait isolé dans l'art et la science ? parce que ce savoir porte le nombre deux. Sa langue nous aide en raccourci : il porte le nombre d'eux. À savoir qu'il le sort de l'astronomie, et de la musique, et par conséquent de l'algèbre aussi - et il devient loin de la poésie (à écrire également "le savoir d'eux, vient loin de la poésie"). Ces mots ne se forment pas du tout par le jeu du hasard. Ils sont dans la langue et tombent du verbe de VH.
   C'est un premier tour d'approche. Le second tour est plus facile : le Signifiant (chiffre, lettre et note) de ce 'Tout' («Tout est là») se sait dans son second (son second signifiant, S2, Savoir deux) ; son savoir est cantonné dans ce nombre. Il dérive dès lors dans un espace étranger, un espace hors du Tout qui est le domaine de l'être psychique.

      ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230212 

20230212

le 'moi' de la psychohistoire

Facebook

Antheaum Toll
Josselin Carlier Joelle Bare-lesven
   Lors Serge reprend ici la description* de « la démonstration»par l'art d'une archéologie possible de la pensée, tenant quant au freudisme que cette psychologie des profondeurs réecrit la biologie planétaire, qu'on appelle autrement écologie.
https://youtu.be/lQsuTGW74L0 
   Je constate donc que nous traitons une cause tenant de la pathologie. Si la présence de l'art s'impose dans cette art..chéologie (je n'y peut rien si celui, l'art, du langage m'impose ici Kéo logique ^=^ et heureusement que ce n'est pas le Cas trine ^_^_^_^), par conséquent s'impose la psychanalyse. C'est à dire une sauvegarde de 'moi' et du narcissisme.
   C'est un engagement pratiquement unique dans notre histoire européenne, toutes autres disciplines tendant, avouées ou bernées, à le désagréger, dissoudre ou démonter. Une sauvegarde du 'moi' est une vocation de la psychanalyse, contre vents de colères et marées de lumières.

Note : ce chemin nous a mené à déposer un jour à l'INPI le brevet d'une méthode et sa technique, son instrument à traiter la pollution ultime. Avec la réception qu'on imagine ou sinon qu'on trouvera dans nos mésaventures récentes.
- - - - -- -
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1391340644966869&id=100022728410368 

Cryptopher Keo
hahahar keo-logique.
Drôle.
Je retourne à ma theaux-logie-Logique ?? Freud et le monothéisme n'ont qu'à se rhabiller.. l'heure est à la MetaReligion MetaLogique.
La théologie logique ..//.. La convergence implicite de la théologie, des mathématiques et de la science produit un cadre théologique fondé sur la réalité, qui a la force et la capacité de soutenir des solutions réalistes à divers problèmes du monde réel." Téléologique
---
http://hology.org /
http://ctmu.net/

   Mais Freud est rhabillé depuis longtemps !! On lui a vérifié la donne* et il a même quitté le vestiaire ; Elvis has Left the Building !! https://youtu.be/gaKds2nev-k .
   Son Principe de Réalité et sa jouissance ont été mis à jour**, mais pas de la façon désinvolte de la succursale des sciences***.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
* : La faute de Moïse et le Monothéisme a été épluchée (AMO), la cause de la différence sexuelle restaurée, aujourd'hui on révise le narcissisme (ses "deux" narcissisme, sont-il l'un de l'homme l'autre de la femme) - Lacan aussi est bien costumé dans son petit sapin, Un Scandale en Bohème, le Rapport Sexuel, la Démocratie etc..).

** : Sigismund était né d'une culture ; quand il la redécouvrit (son arKéo exhumait en sa jeunesse/1880 Amarna), il découvrait aussi l'hellénisme. Bien comprendre ça ; comme de Làhaut on découvrirait ici Bas. La redécouverte de sa culture lui fit un choc (il s'évanouissait quand on le lui en parlait de trop près). Il en était heureux, forcément, il en écrivit même un livre pour la fin de ses jours (Moïse et le Monoth). Seulement.. ce qui se passe dans ce cas-là, c'est que le 'moi' tout ému et réjoui, n'en souffre pas moins d'une torture inconsciente, refoulée (qu'il résuma en bref en terme d' 'humiliation', son narcissisme en avait forcément pris un coup. Il s'attacha donc le reste de ses jours, à expliquer le phénomène selon lequel, il chercherait jusqu'à sans soif une similaire révélation de sa culture d'origine et/ou de l'origine de sa culture ; et celle-là, il lui tordrait le cou. Ce phénomène s'appelle un déplacement, et l'ensemble : un refoulement et un déplacement.
   Je récapitule au 'chaos' c'est dur à avaler : ayant suffisamment grandi, il retrouva sur le tard son histoire (Egypt/Israël) qui l'éleva comme une wing foil dans le courant ascendant de la science (psychologie scientifique) ; mais il restait en Europe sur les terres d'Hélène, et de son Ménélas. Du choc traumatique et vertigineux qu'il avait pris, pour relever l'élation (de làhaut), il conspua la découverte historique d'Europe ici bas - sans le savoir, puisqu'il aimait trop fort son véritable berceau.

*** : cette histoire vraie de Freud nous enseigne aujourd'hui que celui que Steiner appelait 'Dilettante' misa sur la science jusqu'au point où, par sa propre démarche il se prenait les psys dedans ; je veux dire que de départ, Freud prit le parti de la réflaxion. Ceci le mena à une capacité, outre l'action, de réflexion. Lorsqu'il se tourna vers le Malaise dans la Civilisation, non pas de la more intelletechno (more geometrico) attitude, il se départit de la science désinvolte, et l'ouvrit au nom de Notre Science (celle-là était toute emprise de psychisme qui garantirait la santé du 'moi'). 

     ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230213

20230213

vote vous-même !

FaceBook

Antheaum Toll
a propos de vote, c'est surtout par commencer à voter intelligemment que le changement se fera.
Isabelle Bistagne
sauf si triche

   Bien d'accord ; alors il faut trouver une solution contre la triche. En l'observant ou voit qu'elle présente deux niveaux : soit une fraude électorale (faux votes etc..) soit une tromperie en amont (ce qui arrive à nos démocraties où c'est surtout les électeurs trompés et la réduction des choix qui reviennent à tricher). On observe alors que l'outil moderne qu'offre Internet nourrit l'espoir que l'on puisse réduite la fraude (blockchain) - sans faire attention aux exemples déjà en cours de blockchains notablement mises au pas (toutes les blockchains monétaires sont contrôlées comme des petits moutons). Lorsqu'on découvre le manque de liberté qu'en fin de compte offre ce système dès son commencement, il y a de quoi réfléchir à deux fois sur l'avenir des Applications suivantes. On s'inquiète donc un peu et, à la seconde réflexion, on remarque une chose très instructives : les blockchains de vote et vote électronique en général, dans la population, négligent complètement la tromperie (c'est à dire la seconde forme de triche). Pire, certaines ont la prétention de la résoudre comme par miracle et/ou parce que leur système est aussi rigoureux que les susdites monétaires. Il faut donc avoir une foi aveugle pour croire que les votes le mieux sécurisés contre la triche/fraude surmonteront la triche/tromperie. Faut-il tout de même les mettre en service ? On peut y aller à la grâce de Dieu ; on peut aussi se tourner vers le traitement de ce qui pose l'irrésolu problème : la triche/tromperie (manipulation/fabrique d'opinion). Mais personne ne semble être capable de régler ce problème de fond.
   Faut-il s'en tenir à l'espoir que la vertu d'un bon outil de vote, fasse d'une pierre deux coup : supprime la fraude et traite la tromperie ? Si on étudie bien comment on l'espère à l'aveugle, on remarque que les propositions de systèmes de votes électronique sont d'une ambition mégalomane. Généralement elles prétendent offrir une sécurisation à des votes d'ampleur nationales, gigantesques - espérant que demain nos députés et présidents décideront de passer au vote "sans-triche" ! Insistons cependant sur le problème de la tromperie :
   Faisons donc attention à ceci : la psychologie humaine, de l'influence, de la manipulation et de l'opinion, commence à deux (l'enfant et sa mère) - puis elle se développe secondairement dans de très  petits comités (la famille), puis un peu plus large (l'école) ; seulement après être passé par ces trois degrés on commence à pouvoir aborder le grand nombre, la société, la masse. Pourquoi les entrepreneurs et les proposeurs de solution de vote n'établissent pas d'abord leur garantie sur des expériences de petits groupes ?
   Je pose la question parce que j'ai la/une réponse ; et j'aimerais savoir quelle est la votre.
Isabelle Bistagne
les logiciels Dominion achetés sans appels d'offre par le ministère de l'intérieur en sont un parfait exemple

Oui, merci. Mais vous n'avez pas répondu ; vous voulez passer votre tour?
Isabelle Bistagne
je sortais ma chienne
Isabelle Bistagne
je lis et relis et vais même imprimer pour essayer de comprendre toutes les informations que votre lien contient
Car j'avoue mon ignorance

Merci, si vous en sortez quelque chose c'est qu'il aura valu la peine et originé quelque chose. N'hésitez pas à questionner, s'il faut prendre du temps ; mais il est très possible que vous le décortiquiez finalement simplement. À voir, donc..

    ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230214

20230214

formule 'H'

FaceBook

   On entendra parler (dans la récente publication* d'Hippocratisme Restitué) d'un  « acte de deux individus doublé(s) dans un être psychique que le désir développe en un être collectif.» L'hippocratisme est ainsi structuré : l'acte de la relation individuelle est 'projeté'/identifié dans un être psychique - et autrement que dans la simple relation sociale, cet être psychique n'est pas mué en un Idéal (avec par conséquent les liens hypnotiques au pouvoir) mais il assume son irréalité en celle de l'entité collective. (Un collectif, une image d'individu, n'est pas une personne ; il est par conséquent 'irréaliste'). Cette adresse d'échapper à l'hypnose qualifie un tel acte à la guérison.  Telle est la formule de l'acte hippocratique qui en révèle deux choses : à la fois il doit être appareillé à cette fin d'esquiver l'idéalisation et, dans l'effet de cet appareillage, il est en capacité d'autant soigner le corps social que les corps des individus qui le composent. Ainsi est restitué l'hippocratisme au sortir de sa récente crise.
   D'une part, bien que pas trop difficile (à comprendre), puisque c'est un progrès il faut faire un effort nécessaire à l'assimiler ; mais surtout d'autre part il ressort de l'analyse quelque chose d'étonnant. Il s'agit du fait que le l'organe le plus provocateur de cette évolution est le dispositif télématique de la thérapeutique, la télémédecine. Elle étonne parce que la télémédecine figure la monstruosité de la médecine technocratique - et doublement parce que la télémédecine précisément, détonne dans ce monstre (lequel on l'aura vu et d'ailleurs continuons à le voir, tente de toutes les manières possibles de réfréner la télémédecine). Il faudra les vidéos précédentes pour faire le détail de ce point symptomatique (à continuer donc la remontée aux vidéos précédentes).

     ancre : https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230111101400__AMO-H&H.htm#20230218

20230218

Situation

FaceBook

   Je ne sais quel nombre aura eu connaissance des récentes franches désapprobations concernant mon enseignement et ma psychanalyse. Je rappellerai en préalable deux choses simplement à ce propos. Si on fait une comparaison, mise à part la question de 'niveau' de réputation, lorsque Lacan a rejoint psychanalyse & cybernétique, il a senti si fort l'angoisse qu'il n'a pas voulu tenter la hargne ; il n'en a plus parlé. Lorsque je réitère cette jonction, des désapprobations sont du même ordre. Je compare deuxièmement, et toujours sans prétendre au niveau du modèle, la jonction que W.Reich a faite entre psychanalyse & psychologie collective, pour retrouver la même désapprobation, à ce degré qui lui fit renoncer à jamais d'y toucher. Ne faut-il pas ajouter Freud ? qui lui carrément attendit qu'il allât mourir pour publier son "Moïse et le Monothéisme", comme Copernic d'ailleurs avec sa Révolution des Sphères - tout cela à l'égide de la Psychohistoire/mémoire et de l'Inconscience/matière. 
   Alors lorsque la psychanalyse aujourd'hui doit joindre & la cybernétique/IA & la psychologie collective ! contre le totalitarisme et la numérisation du sujet, on peut attendre et ne pas s'étonner de la désapprobation. Mais chacun est livré à son sort et c'est tant mieux - ceux qui ignorent l'Inconscient auront leur destin et ceux qui s'y accolent au gré des colères le leur ; la réaction de colère est la plus primaire au contact de l'Inconscient, et la numérisation du sujet, la plus heureuse des entreprises lorsque le bébé du bain part avec, ce sont les traductions à préserver du 'moi' dans ses premières négations. Si la psychanalyse a pour objectif de conserver ce 'moi', les symptômes doivent persister - façon "primum non nocere" ; que ce 'moi' devienne sublime sera à mesure d'une patience et seulement satisfaite par la résolution, analyse, du narcissisme de cette période actuelle dans la civilisation, où je tâche.
   En gros j'arrive donc à ce point de ma carrière où j'ai montré tant de choses qu'il fallait les couronner par la démonstration de la cécité et/ou la rétivité, qui auront constamment accompagné les avancées de la culture durant notre phase pulsionnelle du sapiens contemporaine, que le Çamadit-Guru a appelé Kaka-Yuga. Et si le su créé, au tableau de la nécessaire déconfiture qui va de dit à bête, mon bilan pour l'instant sera là https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230101_DWT2023.htm , fait pour que ça serve de leçon.

J'ai émis ce post après hésitation ; j'allais ne pas le publier quand a été émis par @serge chappellaz https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0334U7swJMBuy1n8KkZ4zC48TbH95Fs83DjdvNxVqpADhD5UpCE7jWLQ6QmBcM3Yakl&id=100010036084147  un article sur la connaissance paranoïaque (et/ou fondation de la connaissance humaine). Étant donné que mon action à présent conclut sa concentration sur l'analyse du narcissisme, qui est la passe de ladite paranoïa vers la connaissance accomplie, j'ai pensé qu'il était indiqué que finalement je le poste en écho.

 

 

à suivre...