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         Oedipe 
         
        ou 
         
         le réchauffé planétaire
           -  une pièce
        manquante  - 
        par DWT
              " Le Signifiant qui
        enchaînait les signes en déclin.. " - prophétie à
        l'imparfait, interprétation qu'on voit, des gens en masse se
        tournant vers les marques, étiquettes et logos. Les marques sont les
        attestations de la propriétés. Il y a un siècle on vérifiait déjà
        le pressentiment que les gens ne sauraient volontiers gagner leur
        liberté. Cela se traduisait par l'orientation du prolétariat soit vers
        la bourgeoisie, soit vers la tyrannie - du pareil au même quand à
        l'identification de la personne à son corps. 
           Le bourgeois et propriétaire d'objets - le tyran occupe en
        vis à vie l'Idéal. Entre les deux oscille la possibilité de l'art -
        c'est à dire du comble du refoulement - qui s'exprime de la scatologie
        au maquillage. Quant au corps.. ce n'était pas vraiment le sujet. 
           Aujourd'hui, dans l'ombre de toutes ces formes de la
        résistance, l'absence de l'identification physique brille de plus en
        plus nettement : là où La Lettre Volée   (le Signifiant) se
        déchire, la nomination laisse paraître une nuée de chiffre, des
        gènes qui papillonnent ; on
        appelle ça la génétique. La génétique est une science
        brillante. 
           Chiffrage, code, c'est à ce chiffre que l'être humain est appelé à
        s'identifier - non pas au détriment mais en pluss de son passage signifiant
        au sein de tel ou tel environnement. Néanmoins c'est encore dans l'ombre que l'ADN brille ; le
        chiffre par lequel l'individu accède à l'écologie est interdit 
        - s'il n'y avait le neuf de l'Internet il faudrait encore l'autorisation
        du Préfet, ou autre Procureur pour avoir le droit d'analyser son ADN - tout
        du moins telle est l'aliénation qu'on a voulu identifier à l'Histoire
        ; identité de l'esclave, propriété du prolétaire etc..  
         
          
          
            
                
        Mais 'interdit' ne veut pas dire 'empêché' quand on
        parle du chiffre ; au contraire, il foisonne entre les lignes,
        entre-dits il est même pré-dit : avant qu'on en parle il prédit les
        mot qui, eux prédisent le retour du chiffre. Ceci s'appelle la scène
        primitive qui, elle, est égale à zéro - chiffre, ziffra. C'est
        aussi le code du chiffrage ; c'est à dire ce sans quoi on ne
        déchiffrera rien de la nature. C'est dire l'importance de
        l'identification du chiffre.    On le voit dans
        l'histoire amarnienne, rayée des tables et de la carte, ignorée. Elle
        se révèle point zéro de l'histoire, postule au Chiffre de l'histoire.
        Même si - et à la fois parce qu'on imagine tout sauf
        ça.. 
           Mais pourquoi est-ce arrivé là et comme ça ? Parce que
        c'est  une logique de la globalité qui conditionne que le zéro
                s'affiche. 
           Amarna fut un siège politique visant, pour l'époque, une globalisation,
        mondialisation. Une configuration culturelle logique en résulte.
        Quand il n'y a plus d'Autre, il reste à faire du Neuf. Tant qu'on est dans le plus ou
                moins ça, le nombre suffit (le
        nombre 'romain' qui ne connaissait pas le zéro) - mais lorsqu'un
        gouvernement
        couvre tout (rien de pluss) et que tous les états se mettent à
        faire un (rien de moins), cet  un-tout n'est calculable que du
        représentant zéro - adresse du Thoth  à la figure de l'Une. 
           Ce zéro n'est pas dire qu'Akhnaton fut nul - mais dit à
        quel point son identité ne peut être ré-identifiée que dans une
        logique de chiffre - c'est à dire dans un système et/ou une société
        qui connaisse l'identification au chiffre, le code, le chromosome. L'époque
        actuelle en est plutôt à la
        convulsion de ce côté là, on frise la violence plutôt que de passer
        à l'être génétique - on pollue, massacrant nos gènes de chimies
        innombrables et plutôt immondes, nous n'en sauvegardons rien. Nous
        aimons nos jeunes, ils nous le rendent bien. Reculant
        sur l'identification du corps, les universitaires en tête chantent en chœur
        : Oedipe est un mythe. 
        et  Marlbrough s'en
        va-t-en guerre  ! par la même occasion   
        Faire d'un corps un mythe, c'est encore soutenir le  mythe de la
                mort.
        C'est la voix des nations. 
                 
                L'écriture d'une idée politique égale au monde, non seulement
        précipita Amarna à la fonction du chiffre, mais initia aussi
        l'industrie appropriée à la logique planétaire de la vie : l'écosystème global sans lequel il n'y a pas d'écologie. L'écologie
        est Toute, ou n'est pas. 
        Naturellement son signe sera la reconnaissance
        du rôle historique d'Amarna, 
        une piste dans le désert effacée  à
        suivre..
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        .
         en suite / conséquence 
        
          
          
            
              
                
                  
                    
                      
                          
                          Quand un être s'identifie dans la nature tout
                          simplement et à tous bouts de champs c'est bien.
                          Quand il s'identifie à sa forme, à une image de
                          lui-même et qu'il s'abstrait  c'est mieux, c'est
                          plus chic, maquillage et chichis, et puis surtout, ça
                          supporte la propriété & ça entraîne une
                          industrie. Mais quand il s'identifie à son chiffre,
                          c'est à dire à sa situation dans un système de
                          choses - bien plus qu'à sa signification pour un
                          autre, c'est top ! quand l'être humain s'identifie à
                          son génome, il est apte à vivre dans un
                          éco-système. Avant cela, il vit dans un imaginaire ;
                          c'est à ce point de passage où nous sommes en 2005
                          que nous voyons les restes du passé repousser
                          l'identité génomique d'Oedipe, refuser
                          l'identification de l'être humain à son ADN. 
                             Pourtant il
                          s'est passé quelque chose à Amarna, et Amarna n'est
                          pas le Sinaï.
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                  Amarna n'est pas une
                  légende - c'est un thème proscrit qui détient une clé du
                  destin de l'humanité 
                  
                    
                      
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                           Oedipe est un Complexe ? 
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                           Oedipe est un Sphinx ? 
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                           Oedipe est un
                          mythe ? 
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                  Oedipe est un 
                  Chiffre ? 
                  
                    
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                         Amarna,
                        en fin de compte avait bien pour Roi :  Oedipe  | 
                     
                   
                 | 
               
            
           
          
         
          
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