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Trois principes majeurs sont à l'hippocratisme :
a) Ne pas nuire,
b) ne pas trahir,
c) exercer la liberté.
Un Ordre a prétendu préserver, protéger
et défendre ces principes. Dénommé Conseil de l'Ordre des Médecins il devait
a) protéger la médecine contre la propagande qui incite à nuire,
b)
sauvegarder le secret et
c) garantir la liberté de l'acte médical.
Malheureusement, mis à l'épreuve il
a :
a) infligé la soumission à une propagande de guerre et mercantilisme
b) rendu public l'état de santé du/des citoyens (déclarer sa race Covax et
porter un QRcode)
c) interdit aux médecins de prescrire et de dire ce qu'ils pensent.
Cette bonne petite claque que la confiance aveugle a prise, demande un correction de la situation, commençant par un examen/révision de la connaissance des principes hippocratiques
cartouche / brève identité historique |
L'hippocratisme a été diversement administré
durant l'Histoire : À partir du Christianisme, Esculape/Asclepius (Hippocrate) patron de la médecine dicte ses soins dans le Corpus Hermeticum (Hermétisme) À partir de la Révolution Française, en 1803 son exercice nécessita un diplôme universitaire de médecine. En 1943 le régime de Vichy crée le Conseil de l'Ordre des Médecins, d'abord pour limiter le nombre de médecins juifs, suivi du contrôle général de l'exercice de la médecine par le gouvernement. En contrepartie le gouvernement attribue au COM l'exclusivité du droit de l'hippocratisme. En 2021 le COM contrefait l'hippocratisme (en prétendant maintenir sa prérogative d'exclusivité ; il l'interdit pour tous). En répétant son bannissement par l'Inquisition, comme l'hermétisme l'hippocratisme en sort libre et en position de régénérer la conception de ses principes. |
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argumentaire hippocratique :
La Novlangue se saisit de l'hippocratisme
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Circuit du processus d'Exode