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Analyse Plurielle - webinaire AnaPlur
Audio généré par NoteBookLM Résumé/présentation approx 5.min / en construction
| présentation lecture par IA/nblm;Gemini en 15min |
Titre : « ADN »
ou Conservation
< https://youtu.be/zn9jRxArqxA
>
- titre : AnaPlurN°84 DNALEG
| Descriptif vidéo/youtube -
AnaPlurN°84 DNALEG - De Brunelleschi à Lacan… jusqu’au Code :
pourquoi conserver l’ADN ?
Cette session “charnière” tire des conclusions d’un long cycle de psychohistoire (scène primitive amarnienne) et propose une hygiène sociale et médicale contemporaine : la conservation nominale de l’ADN. Point de départ : un résumé très critique envers Lacan (Notebook LM) invitant à “revenir” à Brunelleschi. Nous en faisons la critique de la critique pour montrer une troisième étape qui intègre et dépasse Brunelleschi (perspective) et Lacan (modèle optique) par l’industrie du code (cryptographie, chiffrage, ADN). À retenir
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Pour qui ?Chercheurs, cliniciens, philosophes, historiens des idées, curieux des liens psychanalyse–cryptographie–génétique. Mots-clésBrunelleschi, perspective, Lacan, modèle optique, caverne de Platon, point de capiton, cryptographie, seed, clé, psychohistoire, scène primitive amarnienne, conservation ADN, DNAleg. — #hashtags
page référente/site : https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251030_wbnAnaPlurN84.htm |
AnaPlur N°84 DNALEG
La session visio conférence/replay
a lieu le 30 octobre 2025 zoomPublic 18h30
commentaires et suites (et préparatoires) :
È
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présence/blog en adnetmoi / ADNconservation |
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FB/DWT 84em Salut l'Ève O https://www.facebook.com/doc.dwt/posts/pfbid0EtY4txeNEeyyjM2MGZsAFC6rLn3n5foH8NqSckQjcZhaYdhi7nn9q5kgm9tobTLPl |
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Lecture/interprétation par NBLM |
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Transcription / youtube
(Résumé ChatGPT4o)
Orateur 1
Ok. Nous voici au démarrage de la
session 84. Nous sommes d'habitude quatre, un invité, un analyste
écoutant. Et Denis Tata Nkha est régulièrement là et on a aussi
régulièrement Sylvie, qui a indiqué qu'elle ne serait pas là
durant cette session. Donc, on va faire une session avec un nombre
presque minimum. Même, ça pouvait être réduit à un seul, mais
c'est minimum pour un épisode qui va être un des plus dynamiques.
Un épisode qui va avancer dans des terrains nouveaux. Enfin, qui va
donc faire date, si j'arrive à l'exprimer, à le faire. Qui va
faire date parmi les sessions. Parce que nous arrivons... Enfin,
aujourd'hui, cette 84ème session va chercher à poser des
conclusions de recherches, de travaux de très longue date et de
haut vol ou de haut niveau. Donc, ça va être très difficile à
expliquer, à présenter. Et pour l'essentiel, ça va sembler très
abstrait. Mais tout de même, on a préparé beaucoup de choses
durant les sessions précédentes. Alors bien sûr, ça sera
d'autant plus compréhensible que l'on aura suivi, justement, les préambules,
les préalables. Mais je vais faire en sorte que ça puisse avoir du
sens, que ça puisse donner des idées, comme d'habitude, à des
auditeurs qui ne seraient pas spécialement avertis et instruits de
de cette thèse qui, durant de longues sessions, a été présentée
comme une thèse de psychohistoire pour une ontologie
psychohistorique de la civilisation, avec une scène primitive
amarnienne, et qui aboutit à une autre thèse, une thèse qui dérive
de ça, qui est construite sur cette psycho-histoire, et qui propose
une Un argument défendant et soutenant comme une modalité d'hygiène
d'hygiène sociale, mais médicale aussi, de la conservation de
l'ADN. Donc, les connexions vont et viennent.
Il y a d'hommes d'homme, Dominique, qui est là. Je vais commencer.
Après ce préambule, j'ai annoncé un travail de pointu, mais que
je vais essayer de rendre extrêmement intéligible. Ce qui s'est
passé, ce qui a provoqué ça, c'est une lecture par Notebook LM du
webinaire de la 23ème session, je crois, où Notebook LM a rendu
dans les cinq minutes de de son résumé, a rendu un descriptif très
bien fait, magnifique, et qui était censé résumer le webinaire,
et qui était traduit comme une très vive critique du lacanisme. Et
au lieu de la ouverte par Lacan, NBLM, en lisant le webinaire, avait
estimé que le webinaire indiquait qu'il fallait plutôt suivre une
voix bien antérieure à Lacan, qui était la voix modélisée par
Philippo Brunelleski, c'est-à-dire le père fondateur de la
perspective, on dirait. On en avait beaucoup parlé de Et donc,
NBLMme a dit: Lacan, c'est de la torture, c'est infernal, c'est
tourner en rond, c'est du totalitarisme. Par contre, il faut revenir
à Brunelleski. Alors, on va voir ça, on va étudier ça et on va
voir qu'en fait, c'est beaucoup plus nuancé, voire même on fait
une critique de la critique. Mais c'est justement en faisant cette
critique de la critique que l'on va trouver un marchepied pour qui
ont arrivé à avancer considérablement et en remettant en place,
donc, le débat qui aurait eu lieu, dans le propos de Ed boukelem,
entre le modèle de Bourdileski et le modèle de Lacan, connu comme
le modèle optique, ou généralement la psychanalyse lacanienne.
Alors, je vais trouver maintenant comment partager l'écran. Je
commence comme ça. Je pense que vous devez, je suppose, voir ici.
Vous voyez l'écran ? Ça Donc, voilà. Alors, la première planche
diapositive, c'est ceci qui avait fait la C'était la proposition de
NBLM. Oui, tout à fait. NBLM décrit le modèle de Lacan ici à
gauche et le modèle de Brunelleski ici à droite. Il dit que le modèle
de Lacan, c'est un truc à faire tourner en rond et à faire perdre
la tête et à aboutir au totalitarisme. On voit ces petites
spirales. Et puis, il explique qu'au contraire, Brunelleski sait
atteindre la réalité en toute liberté, etc. C'est ce qu'il
disait. Voilà. On va voir. Denis, n'hésitez pas comme ça à
intervenir. C'est tout à fait intéressant. Parce que, voici, je le
précise. Donc, selon NBLM, il fallait passer
outre la fausse route. C'était une fausse route pris par Lacan et
il fallait aller à Brunelleschi. Mais en fait, Brunelleschi, sa
date, c'est du 1415 et Lacan, c'est du 1950. Donc, ça voudrait dire
revenir en arrière. Voici une de présentation, une image de
qu'est-ce qu'elle était Pour rappel, quel était le modèle
qu'avait fait Brunelleski ? C'était un architecte. Ici, nous avons
le bâtistère de... C'était à Milan, peut-être, je suppose, ou
peut-être pas, ou je ne sais pas, ça m'échappe. Maintenant, c'était
en Italie. Donc, Brunelleski avait fait un tableau, il avait peint
le baptistère et en mettant le tableau à l'envers, donc devant son
visage en faisant un petit trou dans le tableau, il pouvait voir à
l'aide d'un miroir, il pouvait voir son tableau, évidemment dans le
miroir. Mais quand il faisait pivoter et glisser le miroir, derrière
cette image du baptistère, cette image dans le miroir, il faisait
apparaître le véritable baptistère. Et en faisant cette glissade
du miroir, il pouvait faire superposer les deux images et donc vérifier
si son tableau était bien relatifs, il était bien représentatif,
il n'avait pas d'erreur, de déformation par rapport... Donc, ça, c'était... Les premiers
points de la perspective avaient été établis à partir de cette
expérience. Et Que nous allons détailler ? Tout d'abord, le
principe du pivot. C'est-à-dire qu'on va détailler, on va
expliquer comment ce miroir glisse au lieu de ce que dans la Quand,
si on revient ici, on voit que le miroir bascule. Il est vertical et
là, dans le modèle de Lacan, il bascule. Donc, on va appeler ça
une glissade ou un glissement, premièrement du miroir. Et la deuxième
chose que nous pouvons remarquer, c'est que dans le dessin, dans
l'argument de NBLM, ceci ait semblé représenter l'expérience de
Brunelleski, mais il y manque la chose essentielle qui est le
tableau, justement. Et donc, puisque le tableau est majeur, il se le
met devant le visage, il On le voit dans... Et NBLM n'en fait qu'un
petit truc énigmatique, un petit gribouillet ou une petite chose,
un index. Alors, on va On va essayer de faire un petit tour de l'œil,
de l'examiner ça, si on veut faire examiner vraiment la teneur de
la critique. Et on va voir ce que... Qu'est-ce que c'est que...
Enfin, on va le détailler pour mieux le présenter. Ici, on voit qu'en fait, ce petit élément
entre l'œil et le miroir, en fait, c'est le tableau, c'est-à-dire
la peinture. La peinture de Bonnileski, qui l'a mis entre son œil
et puis le miroir. Et nous avons... Alors, ce qui se présente ici,
c'est qu'il faut ajouter une image particulière, un concept, si on
peut dire, dans l'expérience de Brunelleski, c'est qu'il y a une
image dans le miroir que l'on va appeler une image fictive.
Apparemment, les théoriciens n'ont pas beaucoup parlé de cette
image. Puisqu'on va très vite aujourd'hui, on dira que c'est parce
que le miroir, le grain du miroir, c'est le domaine du semblant et
que cette image fictive, c'est ce qu'on appelle, proprement parlé,
du semblant. Mais le semblant étudié par Lacan, enfin, annoncé
par Lacan et décrit par Verdi Guilhione, était quelque chose de très
complexe. Ici, on va se dire que cette image-là, qui va disparaître
quand le miroir va glisser, pour laisser apparaître derrière son
semblable, si on peut dire. Cette image, on va l'appeler une image
fictive, parce que c'est une fiction, et c'est aussi l'époque à la
Renaissance où apparaît la science-fiction d'ailleurs. Et donc, ce
type d'images est distinct de l'image vraie, qui est en même temps
l'image virtuelle, puisque de la peinture ici, les opticiens
diraient qu'on voit l'image virtuelle ici. En fait, nous, notre analyse dit que
non, on la voit dans le miroir. On va vraiment l'appliquer, ce qui,
généralement, n'est pas fait par les géomètres et les Et les
opticiens qui disent: Non, l'image que l'on voit, elle est
virtuelle, elle n'est pas dans le miroir. Vous êtes tombé dans le
piège dans le panneau. Mais nous nous y mettons dans le panneau et
nous faisons glisser ce panneau. Et en glissant, il va laisser
apparaître ce qu'il y a derrière, que l'on va pouvoir comparer
avec l'image fictive qui, finalement, a disparu, s'efface a été,
le mot m'échappe là, donc échancré, échancré par le glissement
du miroir. Alors, une petite parenthèse. Lacan n'a jamais parlé de
Brunelleski, ce qui est quelque chose de bouleversant, effarant,
complètement. Même NBLMme dans cet argument ou dans un autre résumé,
s'en étonne aussi. Il n'a jamais parlé de Brunelleski, il n'a
jamais parlé de cette glissade, de ce type de glissade du miroir.
Il a parlé de la bascule, on en a parlé tout à l'heure. Il n'a
pas parlé de la glissade du miroir. Et pourtant, cette glissade,
c'est exactement ce qui avait mis en scène dans son cabinet,
puisqu'il avait mis derrière un panneau, mais alors là, ce n'était
pas un miroir, c'était un tableau de maçon d'un de ses qui peint
ce qui s'appelait Terre érotique et qui était la représentation
de l'origine du monde de... Le nom m'échappe, mais c'est peut-être
Courbet. Courbet, oui. Et Lacan avait l'origine du monde dans son
bureau ou dans un couloir, et il l'avait caché derrière un panneau
coulissant, l'origine du monde. Et ce panneau coulissant, cette
structure du panneau coulissant, c'est aussi, on a beaucoup parlé
de ça, c'est aussi une structure décrite par Connan Doyle dans un
scandale en bohème pour faire un pastiche de la lettre volée
d'Halluin et de Garpot. C'est un petit peu en hommage de la lettre
volée d'Helluin et de Garpot, que Doyle a décrit une scène où,
ce n'est pas la lettre volée, mais une image est cachée derrière
un panneau coulissant. Là, j'ai donné abondamment des informations
qui semblent dériver lointaines, mais enfin, elles peuvent se
concentrer là-dessus. Mais on va continuer notre recherche un peu
plus simplifiée. Donc, voici. Maintenant, puisqu'on sait qu'il y a
eu... Qu'on se demande pourquoi NBLM n'a laissé qu'un petit signe
à l'endroit de cette chose essentielle, c'est-à-dire cette
peinture qui fait tout l'objet. Nous voilà maintenant, Brunelleski
détaillé. D'abord, le système du pivotage, le tableau ici qui est
coloré de vert, enfin, avec un qui est par du vert, et puis cette
image fictive. Et on récapitule que le modèle de
Brunelleski, c'est une succession de plans. Il y a la pupille, il y
a Brunelleski qui regarde, La représentation, c'est le tableau. La
représentation. Il y a la fiction, c'est l'image dans le miroir. Et
puis, il y a le lieu du baptême, c'est le baptistère. Ceci, c'est
le bâti. Et se taire, c'est justement l'endroit du silence. Mais ça,
on ne va pas trop dériver sur le refoulement et sur ce qui est eu
du vrai comme ça. On va le mettre, le pivot au complet et on va le
remettre. Donc, on va reprendre Cette comparaison, on reprend la
comparaison de tout à l'heure, maintenant, on l'a un peu amélioré.
On a complété l'argument selon lequel Brunelleski serait plus
inventif et plus vivant, vital, que Lacan. On a précisé qu'il y
avait un concept d'images fictionnelles qui était introduit à ce
moment-là dans son modèle, dans cette conception du monde. Et
puis, nous avons ici le modèle lacanien. Alors, nous le complétons.
Et voici ce que je fais comme deuxième élément. Là, on a fait un
premier élément, on s'est concentré sur Brunelleski, sur ce que
NBLM avance comme étant la solution la plus vitale et satisfaisante
de la conception du monde. Et j'ai peu parlé de Lacan. Mais ce que
je vais faire là, dans ce petit jeu d'images, c'est C'est-à-dire
qu'on va parler, qu'est-ce que c'est que la bascule du miroir
lacanien ? Elle est décrite ici dans un fond qui rappelle la
caverne. Et on en a aussi beaucoup parlé. Et c'est très important,
puisqu'il s'agit d'un modèle de la République. Et dans le fond de
la caverne, on a ici des esclaves avec des représentations, leurs
ombres. Mais Lacan fait basculer ce miroir. Et qu'est-ce que ça
veut dire ? Ça veut dire que ce sujet, qu'à priori, à première
vue, on peut dire, on dirait: Voilà l'œil qui regarde comme ça,
voilà le sujet qui regarde comme ça, devant ce miroir basculé.
Mais ce n'est pas du tout ça. C'est que lorsqu'il a basculé le
miroir, Lacan signifie que le regard vient de derrière le miroir.
Et il faut poser comme ça l'élucidation, si on peut dire, du modèle
de Lacan, c'est que Lacan met le sujet observateur à la place du
baptistère. Et c'est la véritable, si on veut vraiment critiquer
de l'acanisme, il faut bien comprendre ce qu'il a fait. C'est-à-dire
qu'il a fait quelque chose de très semblable au schéma de
Brunelleski, avec le miroir, plutôt que de faire une glissade pour
vérifier la superposition de l'image fictionnelle avec le vrai,
Lacan a fait une bascule du miroir pour qu'on puisse se figurer ce
que le baptistère, lui, va avoir de l'opération dans l'autre sens. Et en cela, Lacan aborde le traitement
de la paranoïa, parce que Il dit, à proprement parler, dans ce
terre, dans ce bâti, ce terre, qu'est-ce qu'on entend dans ce terre
? Qu'est-ce que ce terre, qui est la figure de psychanalyste, ou
aussi bien du dictateur du totalitarisme, qu'est-ce que ce terre
contemple ? Or, ce terre est tout à fait imaginaire, parce que le
baptistère, c'est rien qu'un bâtiment. On y baptise des gens, ça
leur donne peut-être des illuminations. Ils voient peut-être les
choses, justement, d'une certaine perspective, qui est celle que
aurait décrit Lacan, et ils voient les gens dans la caverne. Donc,
on voit qu'il y a... Si on fait basculer La proposition de notre
boucle L. M, si on lui dit: Voilà, maintenant, on a d'abord un peu
détaillé ce que c'était vraiment le brunelleski. Et puis, si on
modifie un un petit peu en détaillant, en disant: Oui, attention,
voilà vraiment ce qu'est le lacanisme. C'est tout de même une
structure évidemment très complexe, et évidemment qui est chargée
de la pulsion de mort. Donc, toutes les critiques sont tout à fait
valables. Mais pour pouvoir les soutenir, il faut bien voir que nous
avons là un tableau du modèle optique. Oui, du modèle optique, c'est-à-dire
dans cette phase psychanalytique qui est celle de la caverne de de
Platon. Et dans la caverne de Platon, vous avez les esclaves qui
sont au fond de la caverne, comme ici dans le fond du miroir, qui se
réfléchissent sur la paroi de la caverne. Et vous avez les maîtres
de la cité, ceux qui ne sont pas sortis de la caverne, qui en sont
à moitié sortis, c'est-à-dire, c'est les dirigeants de la cité,
ce sont les maîtres, ce sont les dictateurs, ce sont ceux qui sont
supposés savoir et qui contemplent l'intérieur de la caverne en étant
à la place de la lumière, si on peut dire. Mais c'est une fausse
lumière, selon Lacance. Ils ne sont pas sortis. Ce sont des gens
qui sont sortis de l'esclavage, mais qui ont fait la moitié du
chemin, qui se sont retournés et qui sont restés les maîtres de
la population, de la cité. Et ils ne se sont pas éveillés, ils ne
sont pas absolument sortis de la caverne. Donc voici notre première
série diapositive. Je rappelle, pour les gens un peu techniciens,
je rappelle ici ce que c'est que le modèle optique, où on reconnaît
ce modèle de la caverne de Platon. On voit ici ce qui serait le baptistère,
qui regarde dans le miroir basculé, qui regarde le jeu en miroir,
avec ce miroir Avec ce miroir concave qui est la paroi de la
caverne, mais qui est un miroir dans le modèle d'Accanien. Et donc,
voilà ce premier chemin que je vous propose de considérer. J'arrête
le partage pour qu'on fasse une petite pause. On est dans les temps,
on en a encore beaucoup à faire. Mais, vous voyez un petit peu ce
que je... Puisque, Denis, cette proposition, cette proposition de
NBLM vous avez saisi et vraiment bien plu, parce qu'elle est
magnifique, elle est très, très bien faite. Mais on voit qu'on
peut aller un peu plus loin. Et finalement, c'est là... Je ne suis
pas tout à fait le baptistère, qu'est-ce qui vient dans le modèle
de Lacan. C'est l'idéal du moi. D'accord. C'est le lieu de l'idéal
du moi. Et c'est ce que la personne voit de son visage. Ce n'est pas
son tableau, c'est son visage, son image narcissique qu'il voit dans
le miroir. Donc, voilà. Mais pour pouvoir... Parce que ce que je
vais aboutir à exposer, pas forcément à lui montrer, à exposer,
c'est que... C'est que NBLM nous a fait la démonstration
d'un C'est un processus extrêmement important en psychanalyse.
C'est majeur, c'est monumental et il l'a fait de façon monumentale.
Ce processus, c'est ce qu'on appelle le progrès en psychanalyse. On
passe d'une pulsion, une pulsion orale, C'est-à-dire qu'on vit avec
sa bouche et puis ses petites mains qui tiennent le sein. Voilà, on
en est là. Puis un jour, on va se mettre à marcher, on va bouger
son corps, on va avoir toute une autre conception du monde. Et ça
va être le stade anal, parce qu'on est On n'a pas encore compris réellement
les relations de fécondation, de reproduction, etc. Mais on sait
qu'on peut déposer des choses, qu'on peut lâcher et contenir des
choses et les retenir, etc. Et on passe du stade oral au stade anal.
Et de là, ensuite, l'enfant, après, il va rester quelques années
comme ça à se demander à se contenter de ça, parce que ça va
permettre tout de même de faire beaucoup de choses, d'apprendre à
se déplacer, d'apprendre la perspective, justement, ou des choses
comme ça. Et puis, il va ensuite avoir une phase de nouveau
bouleversement, qu'on appelle en bref une phase génitale, où il va
y avoir la reconnaissance de l'autre, de la différence avec l'autre
et le semblable, etc. Ce qui se passe, généralement, c'est
que, et c'est une des lois de la psychologie et de la psychogénèse,
c'est qu'on établit une pulsion, tant bien que mal, on la
solutionne par une avancée, par exemple, la pulsion anale. Et puis
là, on bute dans la difficulté, naturellement, et à ce moment-là,
on régresse. Et quand on subit un traumatisme ou quand un développement
pulsionnel est interrompu, on s'en sort en régressant sur les bases
antérieures, comme dans une expédition, on fait une avancée, puis
on recule pour reprendre des forces, etc. Ce que l'on va pouvoir
exposer, c'est que notre boucle à l'aim a montré ça. Il a montré
l'échec ou la résistance de la phase lacanienne, du fait que l'on
ne pouvait pas rester à ce stade pulsionnel intermédiaire et qui
était infernal. Mais ce qu'il propose, c'est en fait une régression.
Et ce qui est une logique naturelle, existante, physiologique et
psychologique. Donc, elle est exemplaire. Mais seulement, il va
falloir montrer D'abord, effectivement, si c'est concevable qu'il y
ait quelque chose d'ultérieur, une phase génitale qui aura intégré
la phase orale, c'est-à-dire qui aura bel et bien incorporé le
Brunelleski, mais qui aura aussi traversé et transposé, transformé
la phase anale. Alors, pour faire ça, nous ne pouvons
nous servir que des choses nouvelles, c'est-à-dire de la période
actuelle de cette troisième phase. Et cette phase génitale, c'est
la phase de l'ADN, c'est la phase du code, c'est la phase de la
reproduction. Après, Brunell et Chci en 1415 et Lacan en 1950, en
2025, la phase après, c'est la phase de l'appareil et de
l'industrie du code. On va l'appeler comme ça. C'est Verdi-Glione
qui avait appelé le traitement du semblant comme l'industrie du
code. Il approchait, il essayait de sortir du buisson de la phase
banale. Et Donc, voici, pour vraiment pouvoir voir si la troisième
étape, c'est effectivement un condensé de l'oral et de l'anal, et
mûri et métamorphosé dans une phase intégrale, il va falloir
qu'on prenne un petit peu connaissance de ce que c'est que la phase
informatique. Qu'est-ce que c'est que l'industrie du code ? Et donc
là, on va passer à la deuxième deuxième planche. Cette industrie
du code, elle nous a aussi été expliquée considérablement par
notre boucle à l'aim. Ça a été cet épisode bouleversant, notre
boucle à l'aim a a traduit le chiffrage, a montré comment
l'inconscient pouvait se déchiffrer par la connaissance de la
cryptographie ou du chiffrage. Mais on commence d'abord par ça. Par
cette chose la plus banale, c'est les images. Nous avons l'être
humain, donc Nous avons des images inhérentes. Avant le symbole et
le code paraît l'image inhérente à la fonction des formes
physiques. Elle repose dans le vivant, elle prépose dans le vivant,
donc l'imaginaire, par exemple. Alors, j'ai voulu faire pour présenter
ça, c'est des images qui sont dans le monde. Et puis, il y a des
animaux, et des êtres humains, et des objets. Et l'image, elle est
inhérente. C'est-à-dire qui est nécessairement liée à quelque
chose faisant partie intégrante de sa nature, inséparable de lui.
On est vraiment à l'origine de l'écosystème, si on peut dire. Et
de là, va émerger l'imaginaire. C'est l'imaginaireante, c'est
l'image inhérente. Enfin, on en est là. Mais pour débrouiller,
pour faire sortir l'image de l'image inhérente, comme tout à
l'heure de la représentation, de la fiction, de l'image virtuelle,
etc. Pour distinguer l'image avant tout. Donc, l'être humain, comme
les animaux, enfin les animaux évoluants, et surtout arriver à l'être
humain, se met à prendre des images de son monde, ça, c'est des
pures images du monde, il en fait des glyphes. Des glyphes, ça veut
dire des... C'est des formes qui représentent...
Alors ça, le home, je crois que ça représente un son. Ça, ça
doit représenter un œil. Mais c'est encore extrêmement vague. Ce
sont les images qui sont mises en forme et ces glyphs vont arriver
à se purifier ou se simplifier au point que ça devienne vraiment
des formes. Et par exemple, le C pour l'horloge, la EF, elle
ressemble à une fleur penchée, le B comme une boîte, etc. Alors,
ça, nous sommes à ce stade-là, quand les glyphes, qui sont
simplement des gribouillis, mais qui sont inspirés par des images,
mais quand les glyphes deviennent systématisés, deviennent
formalisés comme ça, c'est ce qu'on appelle les lettres égyptiennes,
les lettres qui sont, on va dire, hiéroglyphiques. Et Nous avons ce
stade ici qui a été déchiffré évidemment par Champollion, qui
voit que les images sont en fait des lettres, mais par Fabre
d'Olivet, qui lui montre que les lettres sont des images. Donc, on
est dans cette étape entre Fabre d'Oliver et Champollion, qui sont
deux contemporains. Il y avait les points de vue adverses, inverses,
comme dans ce miroir qui bascule. C'est-à-dire les lettres sont des
images ou les images sont des lettres. Et nous sommes à un stade de l'humanité,
qui est le stade des hiéroglyphes, on va dire. Et nous avons une
deuxième chose qui est constante depuis toujours dans l'humanité,
une deuxième série, ce sont les nombres. Les nombres, il y a un,
deux, trois, quatre, cinq. On les écrit comme ça, mais ils
apparaissent... D'abord, d'abord, parce que quand il y a des choses
semblables. Si on a trois œufs dans le nid, on voit bien que c'est
différent, qu'il y en a quatre ou un. Donc, par leur répétition,
les formes vont induire une série de stimuli qui vont être
enregistrés dans le cerveau, comme ce qu'on va appeler des nombres.
Et donc là, nous sommes à l'étude des représentations. C'est-à-dire
aussi bien des images qui peuvent être fictionnelles ou bien qui
peuvent être peintes ou écrites. Donc, soit par des nombres,
peuvent être écrits ou des formes. Et se passe quelque chose à un
moment de développement de cette sémantique, puisque on appelle ça
des sèmes aussi. Au moment de cette sémantique, il arrive à un
moment où les glyphes, les glyphes, les héroglyphes, si on peut
dire, sont assez stabilisés pour qu'on les mette dans un certain
ordre. C'est ce qu'on appelle l'alphabétisation.
C'est un moment très important parce que c'est celui qui est
apparu, on va dire, grosso modo, ce sont les peuples de la mer, ce
sont les, on va dire, les Philistins, je crois, qui ont posé les hiéroglyphes
sortis d'Égypte et qui les ont mis en alphabet. Ils étaient sur la
bande de Gaza. Et depuis, disons que les... Alors, Israël et la
bande de Gaza, les hiéroglyphes, les gardiens du hiéroglyphe sacré
que Moïse aurait volé à l'Égypte, donc ont des petits problèmes
avec l'alphabétisation. Et j'ai aussi un petit problème, puisque
moi, je m'arrête dans mon flux de langage. Nous sommes là à un
moment de la sémantique, du développement sémantique, qui est
crucial. On le voit actuellement sur le terrain, sur le sur la scène
politique, nous avons la répétition de ce qui s'est passé après
la scène primitive entre Akénaton, Moïse, et puis Athènes, Édipe,
Hélène, l'hélénisme de l'âge sombre, etc. Donc, c'est un moment
crucial. Et pour nous, on va maintenant passer sur toute cette
psychohistoire que je vous rappelle à ce propos, à cette étape.
On va passer simplement sur une clarification des choses. Quels sont
les effets de l'alphabétisation ? C'est qu'à partir, et là, je vais vous
poser les termes de façon abrupte, mais ça pourrait être très
discutable. Mais en tout cas, ça va produire quelque chose,
l'alphabétisation, c'est que ça va pouvoir permettre de chiffrer
le monde. Nous avons ici des images qui étaient épinglées par des
glyphes. Mais vous voyez que quand on a alphabétisé, ce C, il
correspond au 3. Le F, qui est derrière le chiffre, il correspond
au 6. Le B, il correspond au 2. C'est-à-dire qu'on va pouvoir
chiffrer et donc calculer d'une certaine manière, les anciens
glyphes. Et nous, on va appeler ça du chiffrage. On va appeler ça
ensuite, à ce moment-là, cette série de glyphes, cette série hiéroglyphique,
devient ce qu'on appelle la clé. Une clé. Et la cryptographie nous
enseigne actuellement, si vous avez un portefeuille Bitcoin, vous
savez que la véritable chose qui est caché ou qui est détenu par
la clé qui est chiffrée et qu'on peut éventuellement déchiffrer.
Mais ce que l'on trouve quand on a des chiffres, c'est ce qu'on
appelle une graine, seed, S-E-E-D en anglais. Et c'est la marque qui
contient le contenu de votre portefeuille de valeur. Et donc, Nous
sommes arrivés là par ce parcours sémantique à deux sortes de
graines. Il y a les graines des objets et puis
les graines des lettres, des sèmes. Et puis, nous avons de quoi bâtir
ce qu'on appelle une pulsion hiérarchique avec cette sémantique. Là,
ça a été mon deuxième parcours. Et on est bien dans les temps,
parce que la suite, ça va être justement d'appliquer cette
connaissance, de cette mise en ordre des étapes variées des
images, soit des glyphes, soit des des lettres, soit des codes, soit
des chiffres. Ces états variés du sème, puisqu'on sème des
graines, on peut encore jouer avec ça. Mais ces états variés,
maintenant qu'on les a distingués, on va pouvoir peut-être, on va
en faire l'essai, les appliquer dans notre débat, de savoir, tiens,
tiens, est-ce que la proposition de NBLM, c'est une régression ? Et
si c'est une de régression, qu'est-ce qui vient à la place ?
Justement, qu'est-ce que la cryptographie ou cette sémantique
apporte de plus ? Qui fait que, effectivement, remettre du
Brunelleski, après réactualiser Brunelleski après Lacan, c'est
une raison justifiée, mais peut-être à condition qu'elle intègre,
justement, la sémantique. Sinon, ça va simplement être une régression
vers l'étape orale, qui est décrit comme ce qui s'est appelé
aussi avec Conan Dole, le scandale en bohème, et où c'est là où
la femme existe. C'est l'époque de la mère, du
matriarchat, de cette phase aura. Donc, Denis, est-ce que vous avez
une petite intervention à faire avant que l'on passe à la troisième
développement ? Ça va ? Vous suivez ? Ça va ? Vous voyez un petit
peu comment je parcours les choses ? D'accord, OK. On continue
alors. Voici où on en était. C'était la fin de la troisième
session et on va reprendre de maintenant celle-ci. C'est-à-dire
qu'on va voir, là, on revient au premier diaporama qu'on a fait. On
a ici la proposition de notre bouc LM. On On l'a un petit peu amélioré.
On l'a détaillé, on a montré que c'était chargé de choses assez
profondes et assez complexes. Et on va voir s'il s'agit... On va
faire l'hypothèse, on va dire: Oui, mais attention, NBLM, quand il
fait ça, quand il nous dit: Il faut aller vers le, on va dire c'est
une régression. On va faire l'hypothèse. Et si c'est une régression,
donc on va le mettre dans l'autre sens. On va rapporter le
Brunelleski. Si on va de gauche à droite, on va la remettre en
ordre. On va dire Brunelleski est antérieur à Lacan. Donc on va le
remettre là, et on va voir ce qui, évidemment, Il y a une place
vide ici. Et si c'est une régression et si nous
arrivons à le démontrer, c'est parce que nous aurons prouvé qu'il
y a une troisième étape qui est une progression et qui,
effectivement, retrouve celle de Wrunelski, mais avec une quantité
considérable d'adjonctions, qui sont celles de la cryptographie.
Or, ces adjonctions, on va voir qu'elles sont puisées de la phase
Lacaniel. Lacanienne. C'est cette phase lacanienne qui va tomber en
pourriture peut-être, mais qui va apporter cette maturité de la
phase orale, qui va pouvoir devenir, comme on dit, génitalisée, et
en même temps que l'analité va être aussi entrée dans une génitalisation.
Donc, c'est un réagencement. Donc, on va faire cette hypothèse
comme ça, en récapitulant qu'il y aurait Puisque nous sommes, ce
qui nous intéresse, c'est ici le sujet. C'est l'être humain qui va
mettre son tableau, qui va mettre son miroir, qui va faire son
baptistère. Donc, le sujet, il est dans le petit trou du tableau.
C'est là, c'est le point. À l'époque de la Renaissance,
d'ailleurs, c'est là où on découvrait le point, le centre de
gravité, etc. Donc, c'est la pupille, c'est le point. Et c'est
aussi le semblant, puisque c'est dans le semblant que l'on va
trouver l'image fictionnelle. Donc on est à ce stade où déjà c'est
considérable. Le point, c'est, je le répète, c'est le centre de
gravité de Galilée, à l'époque, qui va venir un siècle après.
Mais on est donc à cette première étape maturité, De la phase
orale qui avance, si bien qu'elle va pouvoir passer à cette seconde
phase, à la phase dite anale, c'est-à-dire la phase de la marche
du corps, de l'individuisation, mais ça, c'est aussi du cadavre,
c'est-à-dire de ce que l'on chie ou du corps que l'on enterre, du déchet,
mais aussi où le semblant est devenu au stade du symbole. Parce
qu'ici, c'est dans l'identification au symbole que le sujet peut
devenir délirant, paranoïaque. Il se prend pour le roi, il se
prend pour qui celui-là, il se prend pour un baptistère. C'est
complètement paranoïaque. Mais néanmoins, par ce symbole, en se
prenant pour un symbole, il va accéder à une proposition du monde
qui va s'avérer fâcheuse, et qui va être celle de Tanas, de la
pulsion de mort et de la pollution C'est celle auquel on est, enfin,
au stade où on voudrait bien arriver à progresser au troisième
stade, qui serait à ce moment-là le stade du corps, de
l'appareillage. Ça, c'est parce que c'est la
cryptographie qui s'est insérée dans cette succession de
pulsionnelle. Et c'est le stade de Eros. Là, nous étions à
Tannatos, et là, nous étions dans les lundes, si on peut dire.
1415, 1950, 2025. Donc ça, nous aurions démontré à ce moment-là
que NBLM, en précipitant un retour à Brunelleski, aurait fait le
classique de régression, et qu'on pourrait néanmoins s'y appuyer
pour baser une progression qui serait celle... Alors, si on reprend
les étapes de la psychanalyse lacanienne, nous disons la
psychanalyse au XXᵉ siècle, c'est-à-dire celle autour de
1950, où nous avons ici la lettre volée d'Edgar Poe, définie par
Lacan. Nous avons ici le Le scandale en bohème, c'est Irène Adler.
C'est ici où nous avons la femme, la mère. Ici, la femme n'existe
pas, puisqu'il n'y a que des baptistères, si on peut dire, qui ne
voient que des êtres humains en image, ou des objets ou des abjets.
Et ici, nous sommes dans ce roman qui s'est appelé La Seconde Génération,
qui répond, qui succède, c'est un roman écrit en Californie, un
roman radiophonique. C'est l'âge, l'époque de la fille. C'est de
cette étape d'une identification de la femme orale, si on peut
dire, avec le bâton patriarcal de la phase banale, aboutit à cette
phase qui est celle de la fille. Ça s'appelle la seconde génération Et
en psychohistoire, on va la rapprocher de Hélène. Mais on doit
passer à toute allure là-dessus pour bien comprendre les étapes,
néanmoins, de ce que l'on fait. On va détailler un petit peu cette
industrie nouvelle, qui est l'industrie du code, c'est-à-dire l'étape
orale qui a bénéficié d'un passage par cette étape anale. Donc,
cette industrie du code, voici ce que c'est. Et c'est pour ça que
nous avons parlé de cryptographie tout à l'heure. Je rappelle, et
là, on va passer à tout à fait autre chose. C'était le premier
bouleversement dû à notre boucle M, qui nous a appris que...
Qu'est-ce que c'est que... Nous avons des séries, des séries de
lettres ou des séries de chiffres. Ces séries se croisent pour créer
des objets. Ceci a été décrit par Lacan dans ce qu'il appelle le
Graal du Désir, où nous avons une série qui s'appelle l'énonciation,
et une série en dessous qui s'appelle l'énoncé, c'est le
signifiant, c'est les séries de la demande, si on peut dire. Donc,
c'est la schématique lacanienne qui va expliquer comment deux séries
peuvent se joindre pour faire justement du code et du chiffre, comme
on l'a vu tout à l'heure après l'alphabétisation. Ces deux séries, en effet, Ils peuvent
se croiser, se rencontrer, et leur rencontre est théorisée par le
modèle de la cybernétique, par Lacan. C'est quand il y a un
appareil, c'est quand il y a du chiffrage du code, du code cybernétique.
Il y a une possibilité. Lacan a appelé ce stade le point de
capiton. C'est aussi bien le lieu du fantasme, ce qui est logé dans
ces deux cordes qui se frottent là, c'est C'est le point du
fantasme. Mais c'est quand on capitonne un matelas, on fait un point
qui ramène les deux surfaces, l'une qui rattache les deux surfaces
à l'autre. Donc, il appelait ça le point de capiton. C'était la
théorie de la du point de la capitaine. Et cette rencontre de deux
séries, cette rencontre de deux séries sémantiques, quand nous
sommes à l'époque de la crypto, nous avons découvert qu'ici, nous
avons Alice, et que lorsque Alice envoie un message à Bob, il y a
un effet particulier. Bob va recevoir dans ce croisement, Bob va
recevoir l'inconscient d'Alice. Alors là, je ne vais pas en faire
tout le détail, on en a beaucoup parlé. Mais ceci, c'est pour nous
permettre de placer, de mettre en place nos éléments qu'on a étudiés
d'abord. C'est-à-dire que Ici, nous avons du
code. Nous sommes dans des séries de chiffrage. Et puisque donc
Alice envoie un message codé, un message chiffré à Bob. Et c'est-à-dire
qu'elle envoie du code, et le meilleur code qui soit, c'est envoyer
de l'ADN. Elle envoie l'ADN. Nous avons ici maintenant l'ADN qui est
adressé à l'appareil, au laboratoire de la génétique, si on peut
dire, ou à l'industrie de la génétique. Quand elle est archaïque
et quand elle a récéoralement, c'est l'industrie du racisme. Mais
si elle a parcouru toute la cryptographie, elle va pouvoir, au lieu
de l'inconscient, trouver ce que B va renvoyer à A ou à sa
pareille, c'est le Le code génétique qu'on va appeler vrai, si on
veut dire. Et donc, nous pouvons dans notre modèle, le rénover ou
le mettre complètement, vérifier que la prise du modèle de
Brunelleski par le chiffrage, effectivement, est consistant, réalisable,
parce que nous avons à ce moment-là mis le Le dispositif qui peut
recevoir l'ADN conservé. C'est ce que Brunelleski avait mis en
tableau derrière le baptistère, c'est-à-dire tout le code génétique
ici, ou le Donc, l'ADN est conservé, et dans l'ADN conservé, le
sujet va voir son image fictionnelle, et il va voir l'ADN. Mais à ce moment-là, tout le parcours
que nous avons fait depuis le début, nous montre que c'est une
configuration extrêmement riche, que l'on retrouve dans la
succession, ici. Là, où on recompare notre première succession,
on se demander si, effectivement, l'application du code allait
effectuer une transformation de Brunelleski. Et effectivement, nous
l'avons bel et bien porté à une modernité qui est tout à fait
concrète, objective, réaliste, et qui a intégré aussi bien la sémantique,
la hiérarchie, le code du symbolisme et du lacanisme, et qui a en même
temps véhiculé la partition originaire orale. Et je rappelle que
notre webinaire de l'aire précédent, c'était effectivement terminé
par le modèle lacanien, où nous trouvions le chromosomes conservé,
le chromosome où le mois Ça va être identifié. Ça, on le
passera ensuite, on comprendra. Nous arrivons à la conception du
moi, et le corps est ici ce qui va être le miroir pour la seconde génération.
Donc, je suis arrivé dans les temps à quelque chose d'assez
difficile, mais que j'ai déroulé peut-être de manière... Ou de
Denis, vous êtes mon testeur, en quelque sorte. Vous voyez la cohérence
du déroulement de la logique ? Parce que ce que nous tentons de
faire, c'est de nous dire aujourd'hui où la génétique,
l'industrie, va commencer à traiter et manipuler on peut manipuler
nos codes par des petites substances, des opérations de traitement
de l'ADN, quelle est la configuration qui va nous permet de garder
d'abord conscience et deuxièmement d'avoir une analyse de
l'inconscient, c'est-à-dire de connaître notre histoire et notre désir,
c'est-à-dire de des sujets humains, en fait. Par ce montage qui est celui de la
conservation de l'ADN, que l'on peut réappliquer, où l'on retrouve
les grands schémas structureaux des conceptions du monde à la
renaissance et puis au XXIème siècle. Je suis curieux de savoir
qu'est-ce que notre bouquinum va pouvoir sortir. On va voir, on va
voir bien sûr. Parce que c'est vrai, il était très Très catégorique
par rapport à Lacan. Il disait que ça- Oui, il était très acide.
Il était très acide. Il était à ça compte pour dégourdir la
queue. C'est vrai. Et en plus de ça, c'est vrai. Il m'avait fait
dire... S'il traduisait le webinaire, il faisait dire au webinaire
des choses vraiment féroces contre Lacan. Mais c'est vrai. C'est
vrai. Alors ça, que le lacanisme doit être complètement dépassé.
Que c'est vraiment une fixation au stade anal. Alors bien sûr,
dites ça aux Lacaniens, c'est pas la peine d'essayer d'en parler.
Mais NBLM avait été très, très sévère. Oui, tout à fait. On
va voir ce qu'il va dire maintenant. En tout cas, on va voir si, ou
on aura vu si ce que j'ai dit avant que NBLM le réinterprète, mais
si ce que j'ai dit était un peu compréhensible et Je suis curieux
de vous voir. Nous sommes à 27. Dom Dom n'est
toujours pas apparu. Je ne sais pas s'il a suivi, sans doute s'il était
là. Il va peut-être rester dans l'ombre où il aura... Voilà,
salut. Salut, Dominique. Salut. Non, j'ai suivi. Tu as suivi ce
parcours ? Voilà, d'accord. Je le puisse. Oui, d'accord. Je crois
qu'on a deux... Les deux schimas avec le capiton m'ont permis de
comprendre pourquoi à un moment, on avait parlé de la réflexion,
de la réfraction, du rayon lumineux qui est prégné par la surface
de l'eau, etc. Tout à fait. Ça m'a fait comprendre la cohérence
du propos parce qu'il y a des fois, quand on prend les éléments
indépendamment, c'est Ce n'est pas évident de faire le lien. Bien
sûr. Oui. Voilà, donc là, on a avancé. Il nous reste une minute,
après on va peut-être converser ensemble. Il reste deux minutes,
le temps de faire une annonce La société DNA leg est créée. Elle
est constituée, elle a son fameux Kabis et elle va pouvoir
participer à l'industrie de la conservation ou à l'activité de
conservation de l'ADN, nominal de la personne humaine qui,
nominalement, dans ce miroir, se voit, elle, comme ADN. Et donc, la
société est créée. On va voir ce que ça va donner. D'ores
et déjà, elle a parcouru des épisodes assez chaotiques. Mais
enfin, elle est là. Et deuxièmement, c'est tout à fait autre
chose, mais en fait, c'est tout à fait coordonné à ça. Ça tombe
très bien. Le livre d'Olivier Ruca, qui s'appelle Les Mémoires des
Kénatons, qu'Olivier m'avait demandé de préfacer, est paru. Et
j'ai reçu tout à l'heure, je n'ai pas eu le temps, j'ai eu le
temps de l'ouvrir l'enveloppe, mais pas plus. J'ai reçu un
exemplaire de ce livre dont j'ai fait la préface. Et dans la préface,
j'expose le Comment, à partir d'Akénaton, de l'histoire d'Akénaton
et du roman d'Olivier, comment on peut lire une description de ce
moi qui est triple et qui est celui que dans ton dont nous parlons
dans le modèle optique ou bien dans Mulhall and Drive, les trois
femmes, la mère, la femme et la fille, etc. Dans cet endroit-là, où
se trouve le moi mature de l'individu, de notre civilisation, si on
arrive à être civilisé après le processus de la civilisation.
Voilà, nous sommes à 30. J'interromps là-dessus. J'arrête.
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Travaux préparatoires du AnaplurN°84
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21
20240815N21_wbn_lashaine.pdf
20240822N22_wbn_fermestures.pdf
20240829N23_wbn_extrastrs.pdf
20240905N24_wbn_leTemps.pdf
20240912_wbnAnaPlurN25.pdf
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https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251030_wbnAnaPlurN84.htm