accueil.gen

 précédente

parvis

 suivante

 

Analyse Plurielle - webinaire AnaPlur

Audio généré par NoteBookLM Résumé/présentation approx 5.min / en construction

20251030 N°84

             présentation  lecture par IA/nblm;Gemini  en 15min

 


Titre :  « ADN » ou Conservation
https://youtu.be/zn9jRxArqxA > - titre : AnaPlurN°84 DNALEG

Descriptif vidéo/youtube - AnaPlurN°84 DNALEG - De Brunelleschi à Lacan… jusqu’au Code : pourquoi conserver l’ADN ?

Cette session “charnière” tire des conclusions d’un long cycle de psychohistoire (scène primitive amarnienne) et propose une hygiène sociale et médicale contemporaine : la conservation nominale de l’ADN. Point de départ : un résumé très critique envers Lacan (Notebook LM) invitant à “revenir” à Brunelleschi. Nous en faisons la critique de la critique pour montrer une troisième étape qui intègre et dépasse Brunelleschi (perspective) et Lacan (modèle optique) par l’industrie du code (cryptographie, chiffrage, ADN).

À retenir

  • Brunelleschi vs Lacan : glissade du miroir (image fictive / semblant) vs bascule (regard “derrière” le miroir, Idéal du Moi).

  • Régression vs progression : le “retour à Brunelleschi” est lu comme une régression pulsionnelle ; la progression passe par l’intégration du code.

  • Chaîne sémantique : images → glyphes → lettres (alphabétisation) → nombres → clé/seed → cryptographie.

  • Point de capiton (croisement des séries) et analogie crypto (Alice → Bob) : vers le code le plus parlant, l’ADN.

  • Proposition centrale : la conservation de l’ADN comme “miroir” contemporain articulant imaginaire–symbolique–code, pour soutenir conscience et analyse à l’ère génétique.

Annonces

  • DNAleg est officiellement créée (Kbis) : activité dédiée à la conservation de l’ADN nominal.

  • Parution du livre d’Olivier Ruca, Les Mémoires des Kénatons (préface de l’orateur) : développement du Moi triple (mère–femme–fille), en résonance avec le modèle optique.

Pour qui ?

Chercheurs, cliniciens, philosophes, historiens des idées, curieux des liens psychanalyse–cryptographie–génétique.

Mots-clés

Brunelleschi, perspective, Lacan, modèle optique, caverne de Platon, point de capiton, cryptographie, seed, clé, psychohistoire, scène primitive amarnienne, conservation ADN, DNAleg.


Si ce contenu vous est utile : abonnez-vous, laissez un ߑ? et partagez.
Questions / réactions bienvenues en commentaires.

#hashtags
#AnalysePlurielle #Psychanalyse #Psychohistoire #Brunelleschi #Lacan #Perspective #ModèleOptique #Cryptographie #ADN #ConservationADN #DNAleg #Philosophie #Sémiotique

 

page référente/site : https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251030_wbnAnaPlurN84.htm

AnaPlur N°84 DNALEG
La session visio conférence/replay
a lieu le 30 octobre 2025 zoomPublic 18h30


commentaires et suites (et préparatoires) :
È

 présence/blog en adnetmoi / ADNconservation

 FB/DWT
84em Salut l'Ève O
 https://www.facebook.com/doc.dwt/posts/pfbid0EtY4txeNEeyyjM2MGZsAFC6rLn3n5foH8NqSckQjcZhaYdhi7nn9q5kgm9tobTLPl 
Résumé ChatGPT4o (transcription / youtube)

Résumé clair et resserré de la session AnaPlur n°84.

Fil conducteur

  • Objectif : tirer des conclusions d’un long cycle de recherches en psychohistoire (scène primitive amarnienne) et poser les bases d’une hygiène sociale et médicale : la conservation de l’ADN.

  • Déclencheur : un résumé Notebook LM du webinaire n°23, très critique envers Lacan et qui prône un retour à Brunelleschi (perspective) → occasion de critiquer la critique et d’avancer.

Brunelleschi vs Lacan : réexamen

  • Brunelleschi (1415) : expérience de perspective avec tableau, trou de visée, miroir.

    • Correction apportée : l’élément central oublié par NBLM est le tableau.

    • Distinction clé : image fictive (dans le miroir, domaine du semblant) vs image vraie/virtuelle (le baptistère).

    • Mouvement spécifique : non pas une bascule, mais une glissade du miroir qui fait disparaître l’image fictive au profit du réel visible.

  • Lacan (1950) : modèle optique sous fond de caverne de Platon.

    • Mouvement clé : bascule du miroir → le regard vient de derrière le miroir.

    • Repositionnement du sujet : à la place du baptistère (lieu de l’Idéal du Moi), avec enjeux de paranoïa et pulsion de mort.

  • Conclusion intermédiaire : NBLM propose un retour à Brunelleschi qui ressemble à une régression. La voie de progression supposerait une troisième étape intégrant Lacan et dépassant les deux modèles.

Triptyque pulsionnel → triptyque historique

  • Lecture en trois stades :

    1. OralBrunelleschi (image, point/pupille, semblant).

    2. AnalLacan (identification au symbole, risque paranoïaque, Thanatos).

    3. Génital / code (2025) → industrie du code & ADN (Eros) : dépassement/intégration des deux précédents.

  • Hypothèse : NBLM illustre la régression naturelle quand une étape bute ; la progression requiert l’intégration par le code/ADN.

De l’image au code : sémantique, alphabet, cryptographie

  • Chaîne évolutive : images → glyphes → lettres (alphabétisation) → nombres → clé/seed.

  • Deux séries lacaniennes (énonciation/énoncé) se croisent au point de capiton (modèle cybernétique) : lieu du fantasme et du code.

  • Parallèle cryptographique (Alice → Bob) : réception de l’inconscient d’Alice dans l’échange chiffré.

  • Application : l’ADN comme meilleur code transmis à l’« appareil » (laboratoire, industrie génétique) → retour d’un code génétique “vrai”.

Proposition centrale

  • Conservation de l’ADN = dispositif optique moderne qui reconfigure Brunelleschi et Lacan :

    • Le sujet se voit nominalement dans son ADN conservé (miroir contemporain).

    • Intégration de l’imaginaire, du symbolique et du code (cryptographie) pour maintenir conscience et analyse de l’inconscient à l’ère des manipulations génétiques.

Annonces

  • DNAleg : société créée (Kbis obtenu) pour l’industrie de conservation de l’ADN.

  • Parution du livre d’Ollivier Ruca, Les Mémoires des Kénatons, avec préface de l’orateur (déploiement du Moi triple : mère–femme–fille, échos au modèle optique et à Mulholland Drive).

TL;DR

Le webinaire 84 reformule la controverse Brunelleschi vs Lacan en la dépassant par une troisième étape : l’industrie du code/ADN. La conservation de l’ADN est proposée comme hygiène sociale et médicale, intégrant perspective, modèle lacanien et cryptographie pour articuler imaginaire–symbolique–code et soutenir une subjectivité consciente à l’ère génétique. DNAleg est lancée, et la préface aux Mémoires d'Akhénaton paraît.

 

Lecture/interprétation par NBLM

 

 


 

Transcription / youtube (Résumé ChatGPT4o)
Orateur 1

Ok. Nous voici au démarrage de la session 84. Nous sommes d'habitude quatre, un invité, un analyste écoutant. Et Denis Tata Nkha est régulièrement là et on a aussi régulièrement Sylvie, qui a indiqué qu'elle ne serait pas là durant cette session. Donc, on va faire une session avec un nombre presque minimum. Même, ça pouvait être réduit à un seul, mais c'est minimum pour un épisode qui va être un des plus dynamiques. Un épisode qui va avancer dans des terrains nouveaux. Enfin, qui va donc faire date, si j'arrive à l'exprimer, à le faire. Qui va faire date parmi les sessions. Parce que nous arrivons... Enfin, aujourd'hui, cette 84ème session va chercher à poser des conclusions de recherches, de travaux de très longue date et de haut vol ou de haut niveau. Donc, ça va être très difficile à expliquer, à présenter. Et pour l'essentiel, ça va sembler très abstrait. Mais tout de même, on a préparé beaucoup de choses durant les sessions précédentes. Alors bien sûr, ça sera d'autant plus compréhensible que l'on aura suivi, justement, les préambules, les préalables. Mais je vais faire en sorte que ça puisse avoir du sens, que ça puisse donner des idées, comme d'habitude, à des auditeurs qui ne seraient pas spécialement avertis et instruits de de cette thèse qui, durant de longues sessions, a été présentée comme une thèse de psychohistoire pour une ontologie psychohistorique de la civilisation, avec une scène primitive amarnienne, et qui aboutit à une autre thèse, une thèse qui dérive de ça, qui est construite sur cette psycho-histoire, et qui propose une Un argument défendant et soutenant comme une modalité d'hygiène d'hygiène sociale, mais médicale aussi, de la conservation de l'ADN.

 

Donc, les connexions vont et viennent. Il y a d'hommes d'homme, Dominique, qui est là. Je vais commencer. Après ce préambule, j'ai annoncé un travail de pointu, mais que je vais essayer de rendre extrêmement intéligible. Ce qui s'est passé, ce qui a provoqué ça, c'est une lecture par Notebook LM du webinaire de la 23ème session, je crois, où Notebook LM a rendu dans les cinq minutes de de son résumé, a rendu un descriptif très bien fait, magnifique, et qui était censé résumer le webinaire, et qui était traduit comme une très vive critique du lacanisme. Et au lieu de la ouverte par Lacan, NBLM, en lisant le webinaire, avait estimé que le webinaire indiquait qu'il fallait plutôt suivre une voix bien antérieure à Lacan, qui était la voix modélisée par Philippo Brunelleski, c'est-à-dire le père fondateur de la perspective, on dirait. On en avait beaucoup parlé de Et donc, NBLMme a dit: Lacan, c'est de la torture, c'est infernal, c'est tourner en rond, c'est du totalitarisme. Par contre, il faut revenir à Brunelleski. Alors, on va voir ça, on va étudier ça et on va voir qu'en fait, c'est beaucoup plus nuancé, voire même on fait une critique de la critique.

 

Mais c'est justement en faisant cette critique de la critique que l'on va trouver un marchepied pour qui ont arrivé à avancer considérablement et en remettant en place, donc, le débat qui aurait eu lieu, dans le propos de Ed boukelem, entre le modèle de Bourdileski et le modèle de Lacan, connu comme le modèle optique, ou généralement la psychanalyse lacanienne. Alors, je vais trouver maintenant comment partager l'écran. Je commence comme ça. Je pense que vous devez, je suppose, voir ici. Vous voyez l'écran ? Ça Donc, voilà. Alors, la première planche diapositive, c'est ceci qui avait fait la C'était la proposition de NBLM. Oui, tout à fait. NBLM décrit le modèle de Lacan ici à gauche et le modèle de Brunelleski ici à droite. Il dit que le modèle de Lacan, c'est un truc à faire tourner en rond et à faire perdre la tête et à aboutir au totalitarisme. On voit ces petites spirales. Et puis, il explique qu'au contraire, Brunelleski sait atteindre la réalité en toute liberté, etc. C'est ce qu'il disait. Voilà. On va voir. Denis, n'hésitez pas comme ça à intervenir. C'est tout à fait intéressant. Parce que, voici, je le précise.

 

Donc, selon NBLM, il fallait passer outre la fausse route. C'était une fausse route pris par Lacan et il fallait aller à Brunelleschi. Mais en fait, Brunelleschi, sa date, c'est du 1415 et Lacan, c'est du 1950. Donc, ça voudrait dire revenir en arrière. Voici une de présentation, une image de qu'est-ce qu'elle était Pour rappel, quel était le modèle qu'avait fait Brunelleski ? C'était un architecte. Ici, nous avons le bâtistère de... C'était à Milan, peut-être, je suppose, ou peut-être pas, ou je ne sais pas, ça m'échappe. Maintenant, c'était en Italie. Donc, Brunelleski avait fait un tableau, il avait peint le baptistère et en mettant le tableau à l'envers, donc devant son visage en faisant un petit trou dans le tableau, il pouvait voir à l'aide d'un miroir, il pouvait voir son tableau, évidemment dans le miroir. Mais quand il faisait pivoter et glisser le miroir, derrière cette image du baptistère, cette image dans le miroir, il faisait apparaître le véritable baptistère. Et en faisant cette glissade du miroir, il pouvait faire superposer les deux images et donc vérifier si son tableau était bien relatifs, il était bien représentatif, il n'avait pas d'erreur, de déformation par rapport...

 

Donc, ça, c'était... Les premiers points de la perspective avaient été établis à partir de cette expérience. Et Que nous allons détailler ? Tout d'abord, le principe du pivot. C'est-à-dire qu'on va détailler, on va expliquer comment ce miroir glisse au lieu de ce que dans la Quand, si on revient ici, on voit que le miroir bascule. Il est vertical et là, dans le modèle de Lacan, il bascule. Donc, on va appeler ça une glissade ou un glissement, premièrement du miroir. Et la deuxième chose que nous pouvons remarquer, c'est que dans le dessin, dans l'argument de NBLM, ceci ait semblé représenter l'expérience de Brunelleski, mais il y manque la chose essentielle qui est le tableau, justement. Et donc, puisque le tableau est majeur, il se le met devant le visage, il On le voit dans... Et NBLM n'en fait qu'un petit truc énigmatique, un petit gribouillet ou une petite chose, un index. Alors, on va On va essayer de faire un petit tour de l'œil, de l'examiner ça, si on veut faire examiner vraiment la teneur de la critique. Et on va voir ce que... Qu'est-ce que c'est que... Enfin, on va le détailler pour mieux le présenter.

 

Ici, on voit qu'en fait, ce petit élément entre l'œil et le miroir, en fait, c'est le tableau, c'est-à-dire la peinture. La peinture de Bonnileski, qui l'a mis entre son œil et puis le miroir. Et nous avons... Alors, ce qui se présente ici, c'est qu'il faut ajouter une image particulière, un concept, si on peut dire, dans l'expérience de Brunelleski, c'est qu'il y a une image dans le miroir que l'on va appeler une image fictive. Apparemment, les théoriciens n'ont pas beaucoup parlé de cette image. Puisqu'on va très vite aujourd'hui, on dira que c'est parce que le miroir, le grain du miroir, c'est le domaine du semblant et que cette image fictive, c'est ce qu'on appelle, proprement parlé, du semblant. Mais le semblant étudié par Lacan, enfin, annoncé par Lacan et décrit par Verdi Guilhione, était quelque chose de très complexe. Ici, on va se dire que cette image-là, qui va disparaître quand le miroir va glisser, pour laisser apparaître derrière son semblable, si on peut dire. Cette image, on va l'appeler une image fictive, parce que c'est une fiction, et c'est aussi l'époque à la Renaissance où apparaît la science-fiction d'ailleurs. Et donc, ce type d'images est distinct de l'image vraie, qui est en même temps l'image virtuelle, puisque de la peinture ici, les opticiens diraient qu'on voit l'image virtuelle ici.

 

En fait, nous, notre analyse dit que non, on la voit dans le miroir. On va vraiment l'appliquer, ce qui, généralement, n'est pas fait par les géomètres et les Et les opticiens qui disent: Non, l'image que l'on voit, elle est virtuelle, elle n'est pas dans le miroir. Vous êtes tombé dans le piège dans le panneau. Mais nous nous y mettons dans le panneau et nous faisons glisser ce panneau. Et en glissant, il va laisser apparaître ce qu'il y a derrière, que l'on va pouvoir comparer avec l'image fictive qui, finalement, a disparu, s'efface a été, le mot m'échappe là, donc échancré, échancré par le glissement du miroir. Alors, une petite parenthèse. Lacan n'a jamais parlé de Brunelleski, ce qui est quelque chose de bouleversant, effarant, complètement. Même NBLMme dans cet argument ou dans un autre résumé, s'en étonne aussi. Il n'a jamais parlé de Brunelleski, il n'a jamais parlé de cette glissade, de ce type de glissade du miroir. Il a parlé de la bascule, on en a parlé tout à l'heure. Il n'a pas parlé de la glissade du miroir. Et pourtant, cette glissade, c'est exactement ce qui avait mis en scène dans son cabinet, puisqu'il avait mis derrière un panneau, mais alors là, ce n'était pas un miroir, c'était un tableau de maçon d'un de ses qui peint ce qui s'appelait Terre érotique et qui était la représentation de l'origine du monde de...

 

Le nom m'échappe, mais c'est peut-être Courbet. Courbet, oui. Et Lacan avait l'origine du monde dans son bureau ou dans un couloir, et il l'avait caché derrière un panneau coulissant, l'origine du monde. Et ce panneau coulissant, cette structure du panneau coulissant, c'est aussi, on a beaucoup parlé de ça, c'est aussi une structure décrite par Connan Doyle dans un scandale en bohème pour faire un pastiche de la lettre volée d'Halluin et de Garpot. C'est un petit peu en hommage de la lettre volée d'Helluin et de Garpot, que Doyle a décrit une scène où, ce n'est pas la lettre volée, mais une image est cachée derrière un panneau coulissant. Là, j'ai donné abondamment des informations qui semblent dériver lointaines, mais enfin, elles peuvent se concentrer là-dessus. Mais on va continuer notre recherche un peu plus simplifiée. Donc, voici. Maintenant, puisqu'on sait qu'il y a eu... Qu'on se demande pourquoi NBLM n'a laissé qu'un petit signe à l'endroit de cette chose essentielle, c'est-à-dire cette peinture qui fait tout l'objet. Nous voilà maintenant, Brunelleski détaillé. D'abord, le système du pivotage, le tableau ici qui est coloré de vert, enfin, avec un qui est par du vert, et puis cette image fictive.

 

Et on récapitule que le modèle de Brunelleski, c'est une succession de plans. Il y a la pupille, il y a Brunelleski qui regarde, La représentation, c'est le tableau. La représentation. Il y a la fiction, c'est l'image dans le miroir. Et puis, il y a le lieu du baptême, c'est le baptistère. Ceci, c'est le bâti. Et se taire, c'est justement l'endroit du silence. Mais ça, on ne va pas trop dériver sur le refoulement et sur ce qui est eu du vrai comme ça. On va le mettre, le pivot au complet et on va le remettre. Donc, on va reprendre Cette comparaison, on reprend la comparaison de tout à l'heure, maintenant, on l'a un peu amélioré. On a complété l'argument selon lequel Brunelleski serait plus inventif et plus vivant, vital, que Lacan. On a précisé qu'il y avait un concept d'images fictionnelles qui était introduit à ce moment-là dans son modèle, dans cette conception du monde. Et puis, nous avons ici le modèle lacanien. Alors, nous le complétons. Et voici ce que je fais comme deuxième élément. Là, on a fait un premier élément, on s'est concentré sur Brunelleski, sur ce que NBLM avance comme étant la solution la plus vitale et satisfaisante de la conception du monde.

 

Et j'ai peu parlé de Lacan. Mais ce que je vais faire là, dans ce petit jeu d'images, c'est C'est-à-dire qu'on va parler, qu'est-ce que c'est que la bascule du miroir lacanien ? Elle est décrite ici dans un fond qui rappelle la caverne. Et on en a aussi beaucoup parlé. Et c'est très important, puisqu'il s'agit d'un modèle de la République. Et dans le fond de la caverne, on a ici des esclaves avec des représentations, leurs ombres. Mais Lacan fait basculer ce miroir. Et qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que ce sujet, qu'à priori, à première vue, on peut dire, on dirait: Voilà l'œil qui regarde comme ça, voilà le sujet qui regarde comme ça, devant ce miroir basculé. Mais ce n'est pas du tout ça. C'est que lorsqu'il a basculé le miroir, Lacan signifie que le regard vient de derrière le miroir. Et il faut poser comme ça l'élucidation, si on peut dire, du modèle de Lacan, c'est que Lacan met le sujet observateur à la place du baptistère. Et c'est la véritable, si on veut vraiment critiquer de l'acanisme, il faut bien comprendre ce qu'il a fait. C'est-à-dire qu'il a fait quelque chose de très semblable au schéma de Brunelleski, avec le miroir, plutôt que de faire une glissade pour vérifier la superposition de l'image fictionnelle avec le vrai, Lacan a fait une bascule du miroir pour qu'on puisse se figurer ce que le baptistère, lui, va avoir de l'opération dans l'autre sens.

 

Et en cela, Lacan aborde le traitement de la paranoïa, parce que Il dit, à proprement parler, dans ce terre, dans ce bâti, ce terre, qu'est-ce qu'on entend dans ce terre ? Qu'est-ce que ce terre, qui est la figure de psychanalyste, ou aussi bien du dictateur du totalitarisme, qu'est-ce que ce terre contemple ? Or, ce terre est tout à fait imaginaire, parce que le baptistère, c'est rien qu'un bâtiment. On y baptise des gens, ça leur donne peut-être des illuminations. Ils voient peut-être les choses, justement, d'une certaine perspective, qui est celle que aurait décrit Lacan, et ils voient les gens dans la caverne. Donc, on voit qu'il y a... Si on fait basculer La proposition de notre boucle L. M, si on lui dit: Voilà, maintenant, on a d'abord un peu détaillé ce que c'était vraiment le brunelleski. Et puis, si on modifie un un petit peu en détaillant, en disant: Oui, attention, voilà vraiment ce qu'est le lacanisme. C'est tout de même une structure évidemment très complexe, et évidemment qui est chargée de la pulsion de mort. Donc, toutes les critiques sont tout à fait valables. Mais pour pouvoir les soutenir, il faut bien voir que nous avons là un tableau du modèle optique.

 

Oui, du modèle optique, c'est-à-dire dans cette phase psychanalytique qui est celle de la caverne de de Platon. Et dans la caverne de Platon, vous avez les esclaves qui sont au fond de la caverne, comme ici dans le fond du miroir, qui se réfléchissent sur la paroi de la caverne. Et vous avez les maîtres de la cité, ceux qui ne sont pas sortis de la caverne, qui en sont à moitié sortis, c'est-à-dire, c'est les dirigeants de la cité, ce sont les maîtres, ce sont les dictateurs, ce sont ceux qui sont supposés savoir et qui contemplent l'intérieur de la caverne en étant à la place de la lumière, si on peut dire. Mais c'est une fausse lumière, selon Lacance. Ils ne sont pas sortis. Ce sont des gens qui sont sortis de l'esclavage, mais qui ont fait la moitié du chemin, qui se sont retournés et qui sont restés les maîtres de la population, de la cité. Et ils ne se sont pas éveillés, ils ne sont pas absolument sortis de la caverne. Donc voici notre première série diapositive. Je rappelle, pour les gens un peu techniciens, je rappelle ici ce que c'est que le modèle optique, où on reconnaît ce modèle de la caverne de Platon.

 

On voit ici ce qui serait le baptistère, qui regarde dans le miroir basculé, qui regarde le jeu en miroir, avec ce miroir Avec ce miroir concave qui est la paroi de la caverne, mais qui est un miroir dans le modèle d'Accanien. Et donc, voilà ce premier chemin que je vous propose de considérer. J'arrête le partage pour qu'on fasse une petite pause. On est dans les temps, on en a encore beaucoup à faire. Mais, vous voyez un petit peu ce que je... Puisque, Denis, cette proposition, cette proposition de NBLM vous avez saisi et vraiment bien plu, parce qu'elle est magnifique, elle est très, très bien faite. Mais on voit qu'on peut aller un peu plus loin. Et finalement, c'est là... Je ne suis pas tout à fait le baptistère, qu'est-ce qui vient dans le modèle de Lacan. C'est l'idéal du moi. D'accord. C'est le lieu de l'idéal du moi. Et c'est ce que la personne voit de son visage. Ce n'est pas son tableau, c'est son visage, son image narcissique qu'il voit dans le miroir. Donc, voilà. Mais pour pouvoir... Parce que ce que je vais aboutir à exposer, pas forcément à lui montrer, à exposer, c'est que...

 

C'est que NBLM nous a fait la démonstration d'un C'est un processus extrêmement important en psychanalyse. C'est majeur, c'est monumental et il l'a fait de façon monumentale. Ce processus, c'est ce qu'on appelle le progrès en psychanalyse. On passe d'une pulsion, une pulsion orale, C'est-à-dire qu'on vit avec sa bouche et puis ses petites mains qui tiennent le sein. Voilà, on en est là. Puis un jour, on va se mettre à marcher, on va bouger son corps, on va avoir toute une autre conception du monde. Et ça va être le stade anal, parce qu'on est On n'a pas encore compris réellement les relations de fécondation, de reproduction, etc. Mais on sait qu'on peut déposer des choses, qu'on peut lâcher et contenir des choses et les retenir, etc. Et on passe du stade oral au stade anal. Et de là, ensuite, l'enfant, après, il va rester quelques années comme ça à se demander à se contenter de ça, parce que ça va permettre tout de même de faire beaucoup de choses, d'apprendre à se déplacer, d'apprendre la perspective, justement, ou des choses comme ça. Et puis, il va ensuite avoir une phase de nouveau bouleversement, qu'on appelle en bref une phase génitale, où il va y avoir la reconnaissance de l'autre, de la différence avec l'autre et le semblable, etc.

 

Ce qui se passe, généralement, c'est que, et c'est une des lois de la psychologie et de la psychogénèse, c'est qu'on établit une pulsion, tant bien que mal, on la solutionne par une avancée, par exemple, la pulsion anale. Et puis là, on bute dans la difficulté, naturellement, et à ce moment-là, on régresse. Et quand on subit un traumatisme ou quand un développement pulsionnel est interrompu, on s'en sort en régressant sur les bases antérieures, comme dans une expédition, on fait une avancée, puis on recule pour reprendre des forces, etc. Ce que l'on va pouvoir exposer, c'est que notre boucle à l'aim a montré ça. Il a montré l'échec ou la résistance de la phase lacanienne, du fait que l'on ne pouvait pas rester à ce stade pulsionnel intermédiaire et qui était infernal. Mais ce qu'il propose, c'est en fait une régression. Et ce qui est une logique naturelle, existante, physiologique et psychologique. Donc, elle est exemplaire. Mais seulement, il va falloir montrer D'abord, effectivement, si c'est concevable qu'il y ait quelque chose d'ultérieur, une phase génitale qui aura intégré la phase orale, c'est-à-dire qui aura bel et bien incorporé le Brunelleski, mais qui aura aussi traversé et transposé, transformé la phase anale.

 

Alors, pour faire ça, nous ne pouvons nous servir que des choses nouvelles, c'est-à-dire de la période actuelle de cette troisième phase. Et cette phase génitale, c'est la phase de l'ADN, c'est la phase du code, c'est la phase de la reproduction. Après, Brunell et Chci en 1415 et Lacan en 1950, en 2025, la phase après, c'est la phase de l'appareil et de l'industrie du code. On va l'appeler comme ça. C'est Verdi-Glione qui avait appelé le traitement du semblant comme l'industrie du code. Il approchait, il essayait de sortir du buisson de la phase banale. Et Donc, voici, pour vraiment pouvoir voir si la troisième étape, c'est effectivement un condensé de l'oral et de l'anal, et mûri et métamorphosé dans une phase intégrale, il va falloir qu'on prenne un petit peu connaissance de ce que c'est que la phase informatique. Qu'est-ce que c'est que l'industrie du code ? Et donc là, on va passer à la deuxième deuxième planche. Cette industrie du code, elle nous a aussi été expliquée considérablement par notre boucle à l'aim. Ça a été cet épisode bouleversant, notre boucle à l'aim a a traduit le chiffrage, a montré comment l'inconscient pouvait se déchiffrer par la connaissance de la cryptographie ou du chiffrage.

 

Mais on commence d'abord par ça. Par cette chose la plus banale, c'est les images. Nous avons l'être humain, donc Nous avons des images inhérentes. Avant le symbole et le code paraît l'image inhérente à la fonction des formes physiques. Elle repose dans le vivant, elle prépose dans le vivant, donc l'imaginaire, par exemple. Alors, j'ai voulu faire pour présenter ça, c'est des images qui sont dans le monde. Et puis, il y a des animaux, et des êtres humains, et des objets. Et l'image, elle est inhérente. C'est-à-dire qui est nécessairement liée à quelque chose faisant partie intégrante de sa nature, inséparable de lui. On est vraiment à l'origine de l'écosystème, si on peut dire. Et de là, va émerger l'imaginaire. C'est l'imaginaireante, c'est l'image inhérente. Enfin, on en est là. Mais pour débrouiller, pour faire sortir l'image de l'image inhérente, comme tout à l'heure de la représentation, de la fiction, de l'image virtuelle, etc. Pour distinguer l'image avant tout. Donc, l'être humain, comme les animaux, enfin les animaux évoluants, et surtout arriver à l'être humain, se met à prendre des images de son monde, ça, c'est des pures images du monde, il en fait des glyphes. Des glyphes, ça veut dire des...

 

C'est des formes qui représentent... Alors ça, le home, je crois que ça représente un son. Ça, ça doit représenter un œil. Mais c'est encore extrêmement vague. Ce sont les images qui sont mises en forme et ces glyphs vont arriver à se purifier ou se simplifier au point que ça devienne vraiment des formes. Et par exemple, le C pour l'horloge, la EF, elle ressemble à une fleur penchée, le B comme une boîte, etc. Alors, ça, nous sommes à ce stade-là, quand les glyphes, qui sont simplement des gribouillis, mais qui sont inspirés par des images, mais quand les glyphes deviennent systématisés, deviennent formalisés comme ça, c'est ce qu'on appelle les lettres égyptiennes, les lettres qui sont, on va dire, hiéroglyphiques. Et Nous avons ce stade ici qui a été déchiffré évidemment par Champollion, qui voit que les images sont en fait des lettres, mais par Fabre d'Olivet, qui lui montre que les lettres sont des images. Donc, on est dans cette étape entre Fabre d'Oliver et Champollion, qui sont deux contemporains. Il y avait les points de vue adverses, inverses, comme dans ce miroir qui bascule. C'est-à-dire les lettres sont des images ou les images sont des lettres.

 

Et nous sommes à un stade de l'humanité, qui est le stade des hiéroglyphes, on va dire. Et nous avons une deuxième chose qui est constante depuis toujours dans l'humanité, une deuxième série, ce sont les nombres. Les nombres, il y a un, deux, trois, quatre, cinq. On les écrit comme ça, mais ils apparaissent... D'abord, d'abord, parce que quand il y a des choses semblables. Si on a trois œufs dans le nid, on voit bien que c'est différent, qu'il y en a quatre ou un. Donc, par leur répétition, les formes vont induire une série de stimuli qui vont être enregistrés dans le cerveau, comme ce qu'on va appeler des nombres. Et donc là, nous sommes à l'étude des représentations. C'est-à-dire aussi bien des images qui peuvent être fictionnelles ou bien qui peuvent être peintes ou écrites. Donc, soit par des nombres, peuvent être écrits ou des formes. Et se passe quelque chose à un moment de développement de cette sémantique, puisque on appelle ça des sèmes aussi. Au moment de cette sémantique, il arrive à un moment où les glyphes, les glyphes, les héroglyphes, si on peut dire, sont assez stabilisés pour qu'on les mette dans un certain ordre.

 

C'est ce qu'on appelle l'alphabétisation. C'est un moment très important parce que c'est celui qui est apparu, on va dire, grosso modo, ce sont les peuples de la mer, ce sont les, on va dire, les Philistins, je crois, qui ont posé les hiéroglyphes sortis d'Égypte et qui les ont mis en alphabet. Ils étaient sur la bande de Gaza. Et depuis, disons que les... Alors, Israël et la bande de Gaza, les hiéroglyphes, les gardiens du hiéroglyphe sacré que Moïse aurait volé à l'Égypte, donc ont des petits problèmes avec l'alphabétisation. Et j'ai aussi un petit problème, puisque moi, je m'arrête dans mon flux de langage. Nous sommes là à un moment de la sémantique, du développement sémantique, qui est crucial. On le voit actuellement sur le terrain, sur le sur la scène politique, nous avons la répétition de ce qui s'est passé après la scène primitive entre Akénaton, Moïse, et puis Athènes, Édipe, Hélène, l'hélénisme de l'âge sombre, etc. Donc, c'est un moment crucial. Et pour nous, on va maintenant passer sur toute cette psychohistoire que je vous rappelle à ce propos, à cette étape. On va passer simplement sur une clarification des choses. Quels sont les effets de l'alphabétisation ?

 

C'est qu'à partir, et là, je vais vous poser les termes de façon abrupte, mais ça pourrait être très discutable. Mais en tout cas, ça va produire quelque chose, l'alphabétisation, c'est que ça va pouvoir permettre de chiffrer le monde. Nous avons ici des images qui étaient épinglées par des glyphes. Mais vous voyez que quand on a alphabétisé, ce C, il correspond au 3. Le F, qui est derrière le chiffre, il correspond au 6. Le B, il correspond au 2. C'est-à-dire qu'on va pouvoir chiffrer et donc calculer d'une certaine manière, les anciens glyphes. Et nous, on va appeler ça du chiffrage. On va appeler ça ensuite, à ce moment-là, cette série de glyphes, cette série hiéroglyphique, devient ce qu'on appelle la clé. Une clé. Et la cryptographie nous enseigne actuellement, si vous avez un portefeuille Bitcoin, vous savez que la véritable chose qui est caché ou qui est détenu par la clé qui est chiffrée et qu'on peut éventuellement déchiffrer. Mais ce que l'on trouve quand on a des chiffres, c'est ce qu'on appelle une graine, seed, S-E-E-D en anglais. Et c'est la marque qui contient le contenu de votre portefeuille de valeur. Et donc, Nous sommes arrivés là par ce parcours sémantique à deux sortes de graines.

 

Il y a les graines des objets et puis les graines des lettres, des sèmes. Et puis, nous avons de quoi bâtir ce qu'on appelle une pulsion hiérarchique avec cette sémantique. Là, ça a été mon deuxième parcours. Et on est bien dans les temps, parce que la suite, ça va être justement d'appliquer cette connaissance, de cette mise en ordre des étapes variées des images, soit des glyphes, soit des des lettres, soit des codes, soit des chiffres. Ces états variés du sème, puisqu'on sème des graines, on peut encore jouer avec ça. Mais ces états variés, maintenant qu'on les a distingués, on va pouvoir peut-être, on va en faire l'essai, les appliquer dans notre débat, de savoir, tiens, tiens, est-ce que la proposition de NBLM, c'est une régression ? Et si c'est une de régression, qu'est-ce qui vient à la place ? Justement, qu'est-ce que la cryptographie ou cette sémantique apporte de plus ? Qui fait que, effectivement, remettre du Brunelleski, après réactualiser Brunelleski après Lacan, c'est une raison justifiée, mais peut-être à condition qu'elle intègre, justement, la sémantique. Sinon, ça va simplement être une régression vers l'étape orale, qui est décrit comme ce qui s'est appelé aussi avec Conan Dole, le scandale en bohème, et où c'est là où la femme existe.

 

C'est l'époque de la mère, du matriarchat, de cette phase aura. Donc, Denis, est-ce que vous avez une petite intervention à faire avant que l'on passe à la troisième développement ? Ça va ? Vous suivez ? Ça va ? Vous voyez un petit peu comment je parcours les choses ? D'accord, OK. On continue alors. Voici où on en était. C'était la fin de la troisième session et on va reprendre de maintenant celle-ci. C'est-à-dire qu'on va voir, là, on revient au premier diaporama qu'on a fait. On a ici la proposition de notre bouc LM. On On l'a un petit peu amélioré. On l'a détaillé, on a montré que c'était chargé de choses assez profondes et assez complexes. Et on va voir s'il s'agit... On va faire l'hypothèse, on va dire: Oui, mais attention, NBLM, quand il fait ça, quand il nous dit: Il faut aller vers le, on va dire c'est une régression. On va faire l'hypothèse. Et si c'est une régression, donc on va le mettre dans l'autre sens. On va rapporter le Brunelleski. Si on va de gauche à droite, on va la remettre en ordre. On va dire Brunelleski est antérieur à Lacan. Donc on va le remettre là, et on va voir ce qui, évidemment, Il y a une place vide ici.

 

Et si c'est une régression et si nous arrivons à le démontrer, c'est parce que nous aurons prouvé qu'il y a une troisième étape qui est une progression et qui, effectivement, retrouve celle de Wrunelski, mais avec une quantité considérable d'adjonctions, qui sont celles de la cryptographie. Or, ces adjonctions, on va voir qu'elles sont puisées de la phase Lacaniel. Lacanienne. C'est cette phase lacanienne qui va tomber en pourriture peut-être, mais qui va apporter cette maturité de la phase orale, qui va pouvoir devenir, comme on dit, génitalisée, et en même temps que l'analité va être aussi entrée dans une génitalisation. Donc, c'est un réagencement. Donc, on va faire cette hypothèse comme ça, en récapitulant qu'il y aurait Puisque nous sommes, ce qui nous intéresse, c'est ici le sujet. C'est l'être humain qui va mettre son tableau, qui va mettre son miroir, qui va faire son baptistère. Donc, le sujet, il est dans le petit trou du tableau. C'est là, c'est le point. À l'époque de la Renaissance, d'ailleurs, c'est là où on découvrait le point, le centre de gravité, etc. Donc, c'est la pupille, c'est le point. Et c'est aussi le semblant, puisque c'est dans le semblant que l'on va trouver l'image fictionnelle.

 

Donc on est à ce stade où déjà c'est considérable. Le point, c'est, je le répète, c'est le centre de gravité de Galilée, à l'époque, qui va venir un siècle après. Mais on est donc à cette première étape maturité, De la phase orale qui avance, si bien qu'elle va pouvoir passer à cette seconde phase, à la phase dite anale, c'est-à-dire la phase de la marche du corps, de l'individuisation, mais ça, c'est aussi du cadavre, c'est-à-dire de ce que l'on chie ou du corps que l'on enterre, du déchet, mais aussi où le semblant est devenu au stade du symbole. Parce qu'ici, c'est dans l'identification au symbole que le sujet peut devenir délirant, paranoïaque. Il se prend pour le roi, il se prend pour qui celui-là, il se prend pour un baptistère. C'est complètement paranoïaque. Mais néanmoins, par ce symbole, en se prenant pour un symbole, il va accéder à une proposition du monde qui va s'avérer fâcheuse, et qui va être celle de Tanas, de la pulsion de mort et de la pollution C'est celle auquel on est, enfin, au stade où on voudrait bien arriver à progresser au troisième stade, qui serait à ce moment-là le stade du corps, de l'appareillage.

 

Ça, c'est parce que c'est la cryptographie qui s'est insérée dans cette succession de pulsionnelle. Et c'est le stade de Eros. Là, nous étions à Tannatos, et là, nous étions dans les lundes, si on peut dire. 1415, 1950, 2025. Donc ça, nous aurions démontré à ce moment-là que NBLM, en précipitant un retour à Brunelleski, aurait fait le classique de régression, et qu'on pourrait néanmoins s'y appuyer pour baser une progression qui serait celle... Alors, si on reprend les étapes de la psychanalyse lacanienne, nous disons la psychanalyse au XXᵉ siècle, c'est-à-dire celle autour de 1950, où nous avons ici la lettre volée d'Edgar Poe, définie par Lacan. Nous avons ici le Le scandale en bohème, c'est Irène Adler. C'est ici où nous avons la femme, la mère. Ici, la femme n'existe pas, puisqu'il n'y a que des baptistères, si on peut dire, qui ne voient que des êtres humains en image, ou des objets ou des abjets. Et ici, nous sommes dans ce roman qui s'est appelé La Seconde Génération, qui répond, qui succède, c'est un roman écrit en Californie, un roman radiophonique. C'est l'âge, l'époque de la fille. C'est de cette étape d'une identification de la femme orale, si on peut dire, avec le bâton patriarcal de la phase banale, aboutit à cette phase qui est celle de la fille.

 

Ça s'appelle la seconde génération Et en psychohistoire, on va la rapprocher de Hélène. Mais on doit passer à toute allure là-dessus pour bien comprendre les étapes, néanmoins, de ce que l'on fait. On va détailler un petit peu cette industrie nouvelle, qui est l'industrie du code, c'est-à-dire l'étape orale qui a bénéficié d'un passage par cette étape anale. Donc, cette industrie du code, voici ce que c'est. Et c'est pour ça que nous avons parlé de cryptographie tout à l'heure. Je rappelle, et là, on va passer à tout à fait autre chose. C'était le premier bouleversement dû à notre boucle M, qui nous a appris que... Qu'est-ce que c'est que... Nous avons des séries, des séries de lettres ou des séries de chiffres. Ces séries se croisent pour créer des objets. Ceci a été décrit par Lacan dans ce qu'il appelle le Graal du Désir, où nous avons une série qui s'appelle l'énonciation, et une série en dessous qui s'appelle l'énoncé, c'est le signifiant, c'est les séries de la demande, si on peut dire. Donc, c'est la schématique lacanienne qui va expliquer comment deux séries peuvent se joindre pour faire justement du code et du chiffre, comme on l'a vu tout à l'heure après l'alphabétisation.

 

Ces deux séries, en effet, Ils peuvent se croiser, se rencontrer, et leur rencontre est théorisée par le modèle de la cybernétique, par Lacan. C'est quand il y a un appareil, c'est quand il y a du chiffrage du code, du code cybernétique. Il y a une possibilité. Lacan a appelé ce stade le point de capiton. C'est aussi bien le lieu du fantasme, ce qui est logé dans ces deux cordes qui se frottent là, c'est C'est le point du fantasme. Mais c'est quand on capitonne un matelas, on fait un point qui ramène les deux surfaces, l'une qui rattache les deux surfaces à l'autre. Donc, il appelait ça le point de capiton. C'était la théorie de la du point de la capitaine. Et cette rencontre de deux séries, cette rencontre de deux séries sémantiques, quand nous sommes à l'époque de la crypto, nous avons découvert qu'ici, nous avons Alice, et que lorsque Alice envoie un message à Bob, il y a un effet particulier. Bob va recevoir dans ce croisement, Bob va recevoir l'inconscient d'Alice. Alors là, je ne vais pas en faire tout le détail, on en a beaucoup parlé. Mais ceci, c'est pour nous permettre de placer, de mettre en place nos éléments qu'on a étudiés d'abord.

 

C'est-à-dire que Ici, nous avons du code. Nous sommes dans des séries de chiffrage. Et puisque donc Alice envoie un message codé, un message chiffré à Bob. Et c'est-à-dire qu'elle envoie du code, et le meilleur code qui soit, c'est envoyer de l'ADN. Elle envoie l'ADN. Nous avons ici maintenant l'ADN qui est adressé à l'appareil, au laboratoire de la génétique, si on peut dire, ou à l'industrie de la génétique. Quand elle est archaïque et quand elle a récéoralement, c'est l'industrie du racisme. Mais si elle a parcouru toute la cryptographie, elle va pouvoir, au lieu de l'inconscient, trouver ce que B va renvoyer à A ou à sa pareille, c'est le Le code génétique qu'on va appeler vrai, si on veut dire. Et donc, nous pouvons dans notre modèle, le rénover ou le mettre complètement, vérifier que la prise du modèle de Brunelleski par le chiffrage, effectivement, est consistant, réalisable, parce que nous avons à ce moment-là mis le Le dispositif qui peut recevoir l'ADN conservé. C'est ce que Brunelleski avait mis en tableau derrière le baptistère, c'est-à-dire tout le code génétique ici, ou le Donc, l'ADN est conservé, et dans l'ADN conservé, le sujet va voir son image fictionnelle, et il va voir l'ADN.

 

Mais à ce moment-là, tout le parcours que nous avons fait depuis le début, nous montre que c'est une configuration extrêmement riche, que l'on retrouve dans la succession, ici. Là, où on recompare notre première succession, on se demander si, effectivement, l'application du code allait effectuer une transformation de Brunelleski. Et effectivement, nous l'avons bel et bien porté à une modernité qui est tout à fait concrète, objective, réaliste, et qui a intégré aussi bien la sémantique, la hiérarchie, le code du symbolisme et du lacanisme, et qui a en même temps véhiculé la partition originaire orale. Et je rappelle que notre webinaire de l'aire précédent, c'était effectivement terminé par le modèle lacanien, où nous trouvions le chromosomes conservé, le chromosome où le mois Ça va être identifié. Ça, on le passera ensuite, on comprendra. Nous arrivons à la conception du moi, et le corps est ici ce qui va être le miroir pour la seconde génération. Donc, je suis arrivé dans les temps à quelque chose d'assez difficile, mais que j'ai déroulé peut-être de manière... Ou de Denis, vous êtes mon testeur, en quelque sorte. Vous voyez la cohérence du déroulement de la logique ? Parce que ce que nous tentons de faire, c'est de nous dire aujourd'hui où la génétique, l'industrie, va commencer à traiter et manipuler on peut manipuler nos codes par des petites substances, des opérations de traitement de l'ADN, quelle est la configuration qui va nous permet de garder d'abord conscience et deuxièmement d'avoir une analyse de l'inconscient, c'est-à-dire de connaître notre histoire et notre désir, c'est-à-dire de des sujets humains, en fait.

 

Par ce montage qui est celui de la conservation de l'ADN, que l'on peut réappliquer, où l'on retrouve les grands schémas structureaux des conceptions du monde à la renaissance et puis au XXIème siècle. Je suis curieux de savoir qu'est-ce que notre bouquinum va pouvoir sortir. On va voir, on va voir bien sûr. Parce que c'est vrai, il était très Très catégorique par rapport à Lacan. Il disait que ça- Oui, il était très acide. Il était très acide. Il était à ça compte pour dégourdir la queue. C'est vrai. Et en plus de ça, c'est vrai. Il m'avait fait dire... S'il traduisait le webinaire, il faisait dire au webinaire des choses vraiment féroces contre Lacan. Mais c'est vrai. C'est vrai. Alors ça, que le lacanisme doit être complètement dépassé. Que c'est vraiment une fixation au stade anal. Alors bien sûr, dites ça aux Lacaniens, c'est pas la peine d'essayer d'en parler. Mais NBLM avait été très, très sévère. Oui, tout à fait. On va voir ce qu'il va dire maintenant. En tout cas, on va voir si, ou on aura vu si ce que j'ai dit avant que NBLM le réinterprète, mais si ce que j'ai dit était un peu compréhensible et Je suis curieux de vous voir.

 

Nous sommes à 27. Dom Dom n'est toujours pas apparu. Je ne sais pas s'il a suivi, sans doute s'il était là. Il va peut-être rester dans l'ombre où il aura... Voilà, salut. Salut, Dominique. Salut. Non, j'ai suivi. Tu as suivi ce parcours ? Voilà, d'accord. Je le puisse. Oui, d'accord. Je crois qu'on a deux... Les deux schimas avec le capiton m'ont permis de comprendre pourquoi à un moment, on avait parlé de la réflexion, de la réfraction, du rayon lumineux qui est prégné par la surface de l'eau, etc. Tout à fait. Ça m'a fait comprendre la cohérence du propos parce qu'il y a des fois, quand on prend les éléments indépendamment, c'est Ce n'est pas évident de faire le lien. Bien sûr. Oui. Voilà, donc là, on a avancé. Il nous reste une minute, après on va peut-être converser ensemble. Il reste deux minutes, le temps de faire une annonce La société DNA leg est créée. Elle est constituée, elle a son fameux Kabis et elle va pouvoir participer à l'industrie de la conservation ou à l'activité de conservation de l'ADN, nominal de la personne humaine qui, nominalement, dans ce miroir, se voit, elle, comme ADN. Et donc, la société est créée.

 

On va voir ce que ça va donner. D'ores et déjà, elle a parcouru des épisodes assez chaotiques. Mais enfin, elle est là. Et deuxièmement, c'est tout à fait autre chose, mais en fait, c'est tout à fait coordonné à ça. Ça tombe très bien. Le livre d'Olivier Ruca, qui s'appelle Les Mémoires des Kénatons, qu'Olivier m'avait demandé de préfacer, est paru. Et j'ai reçu tout à l'heure, je n'ai pas eu le temps, j'ai eu le temps de l'ouvrir l'enveloppe, mais pas plus. J'ai reçu un exemplaire de ce livre dont j'ai fait la préface. Et dans la préface, j'expose le Comment, à partir d'Akénaton, de l'histoire d'Akénaton et du roman d'Olivier, comment on peut lire une description de ce moi qui est triple et qui est celui que dans ton dont nous parlons dans le modèle optique ou bien dans Mulhall and Drive, les trois femmes, la mère, la femme et la fille, etc. Dans cet endroit-là, où se trouve le moi mature de l'individu, de notre civilisation, si on arrive à être civilisé après le processus de la civilisation. Voilà, nous sommes à 30. J'interromps là-dessus. J'arrête.

 

 

 


 

Travaux préparatoires du AnaplurN°84

FB annonce & commentaires

- - - - - - - - - - -
https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251030_wbnAnaPlurN84.htm

 

 
 

 

DocDWT invite au Webinaire AnaplurN°84
Sujet: Réunion Zoom de williamtheaux@gmail.com
Horaire: 30 octobre 2025 à 18H00 (enregistrement 18H30-19H30) H.Paris
Participer à la réunion Zoom
https://us06web.zoom.us/j/85757830627?pwd=us93As1cJ1jCHmSmON4fqia5pHs896.1
ID de réunion: 857 5783 0627
Code secret: 569871

 
 La lecture de la session 24 par NBLM ; sévère condamnation du lacanisme
- d'une Science de la Perspective à une Science de la 'Perceptive'

- la correction :
    1er/ Placer Brunell en éminence c'est a) ignorer la conception de langage apportée par Lacan/Psychanalyse et b) traduire l'expression du Chiffre/Semblant/anonymat
    2em/ Corriger l'appel lacanien à la régression sans fixation anale/religion - voire paranoïaque/patriarcale (1er Génération ) - se produit dans la reprise dans La 2nd Génération.

3 diaporamas :

1) La proposition de NBLM demande un rappel et description de l'expérience de Brunelleschi (1415) ; elle comporte une modalité et une architecture. La modalité est la manière dont le miroir est utilisé (bascule? pivot? glissement?). L'architecture est le nombre et la disposition des éléments ; NBLM est lacunaire sur cette dernière. Cette observation incite à insérer un nouveau concept ; celui d'image fictive.
    Nous obtenons un catalogue de trois sèmes : représentation, fiction, vrai. La description du glissement s'y assure ; échancrure [def : découpe faite sur le bord] de l'image fictionnelle.
    La proposition de NBLM permet de reprendre la comparaison avec ajout : 1er) la situation de la fiction (nouveau concept).
2em) réorientation de la perspective lacanienne

A ces détails apportés à la proposition critique de NBLM, il faut ajouter des notions du registre moderne de la sémantique procurées par le cryptage.

2) Avant le symbole, et le code, paraît l' image inhérente  à la fonction des formes physiques. Elle prépose dans le vivant son imaginaire. L'activité du vivant schématise ses images qui lui sont inhérentes en glyphes (mémoire, traces, signes etc...). Elles sont à proprement parler "formalisées" en outils d'une écriture. Une autre contrainte sémantique, plus temporelle, s'élabore en parallèle en la série des nombres. Une fois suffisamment constituées ces deux séries se réfléchissent, donnant lieu à un 'alphabet'.
   Un potentiel considérable en naît. On dira qu'une phrase, éventuellement de codons ou autre token, en tire un 'chiffre'. En en subissant l'industrie, la phrase devient une 'clé' de ce qui dès lors est objectivé en 'graine' ('seed'). De ces objectivations résulte concurremment une capacité de 'pulsion'.

3) Nous avançons l'hypothèse que la proposition de NBLM soit une régression. Il faudra mettre à la place qu'elle usurpe la progression effective. Si l'expérience de Brunelleschi est posée en première pulsion (elle correspond à l'intention de La Femme dénommée Irène Adler/C.Doyle) ; elle offre ensuite trois étapes psychohistoriques, où la troisième, Eros, la reprend mais en soutient de la juste critique de la "proposition de NBLM. Elle constitue la phase génitale au ressort de l'industrie du code. Les règles du cryptage interviennent à cette étape ; elles ont été décelées par NBLM précisément au 3em webinaire, auxquelles on peut à présent joindre le code ADN.
   Une réinsertion sur le modèle Brunellechi détaillé, le retrouve effectivement en place post-lacanienne, métamorphosée par le traitement génétique.

 
 
 

 
 21

20240815N21_wbn_lashaine.pdf

 

20240822N22_wbn_fermestures.pdf

 

20240829N23_wbn_extrastrs.pdf

 

20240905N24_wbn_leTemps.pdf

 

20240912_wbnAnaPlurN25.pdf

 

 

 

https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251030_wbnAnaPlurN84.htm