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Analyse Plurielle - webinaire AnaPlur
Audio généré par NoteBookLM Résumé/présentation approx 5.min / en construction
| présentation lecture par IA/nblm;Gemini en 15min |
Titre : «
ADNY& »
ou NdG
< https://youtu.be/hrPWs6QmH_8
>
- titre : AnaPlurN°85 Nominal
Descriptif vidéo/youtube -
AnaPlurN°85 ADNom
AnaPlur – Webinaire n°85 | Pourquoi conserver et nommer son ADN ?Dans cette session, nous retraçons un chemin de pensée — de l’hermétisme à la Renaissance (Brunelleschi), de la neurologie et Lacan à la cybernétique — pour éclairer une thèse centrale : conserver son ADN ne suffit pas ; le fait de le nommer (l’associer explicitement à son identité) produit un déplacement subjectif décisif, articulant corps réel, nom symbolique et image de soi. À la clé : une lecture critique du lacanisme (Nom-du-Père vs. réalité chromosomique), les enjeux éthiques et politiques contemporains, et la place du désir face aux machines. À retenir
Chapitrage (indicatif)00:00 Intro
& cadre Ressources mentionnées
Note légale (France)La conservation privée d’ADN est distincte de son analyse, strictement encadrée par la loi. Renseignez-vous sur le cadre légal avant toute démarche. —
page référente/site : https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251106_wbnAnaPlurN85.htm |
AnaPlur N°85
GENominal
La session visio conférence/replay
a lieu le 06 novembre 2025 zoomPublic 18h30
commentaires et suites (et préparatoires) :
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Claudie — 17:21 Merci pour cette attention et ses questions ; ce soir je termine le
webinaire qui ajoute une explication complète, mais théorique et très
ardue. Les sites https://adnetmoi.com et aujourd'hui en ligne https://dnaleg.com
ne considèrent que la conservation autorisée en France. Le séquençage,
l' "analyse de l'ADN" est interdite. On peut donc conserver sur
buvard quelques dizaines d'année, voir en capsule pour plusieurs
centaines d'années. Ce qui est souligné est l'importance de la
conservation nominale (conserver en son nom, au lieu d'être conservé par
la police, les banques commerciales, les armées etc.. qui dépossèdent
la personne de sa marque singulière d'identité). La théorie se résume
bien avec un peu d'esprit : Pourquoi conserver son ADN ? ou Pourquoi pas !??!
Parce que lorsqu'on refuse de reconnaître cet élément distinctif, tous les
délires de l'Élysée sont embauchés. Nous avons en politique devant nos yeux ce qui
se passe lorsque l'identification de l'ADN est interdite de nos jours :
une perte d'identité. La conservation
est le premier pas, qui déjà à lui seul illumine le problème.* |
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vidéo https://drive.google.com/file/d/19-roGT-x-3UgYOZRy6036rLku-6TBcBO/view?usp=sharing
https://youtu.be/4DOVLMg4BNc
audio https://drive.google.com/file/d/16epld46EW__JVA6v9rGGCa89hD9uSqb5/view?usp=sharing |
Transcription / youtube
(Résumé ChatGPT4o)
Orateur 1
Allons-y. Voilà, nous débutons la
session numéro 85. Et nous avons là deux... Enfin, nous sommes...
Il y a cinq écrans, mais l'un de nos participants, Denis, est aussi
sur WeInfo. Il a un problème de connexion. On va voir si Et durant
la session, la chose peut être résolue. Et on pourra communiquer
à ce moment-là à trois ou quatre. En tout cas, cette session
actuelle, je vais la l'occuper. Je vais y présenter un diaporama.
J'utilise souvent ça. C'est un diaporama. Elle ne va rien apporter
de bien nouveau, mais elle va essayer de répondre ou d'éclairer le
chemin que nous avons parcouru, ou la construction théorique et
pratique, et psychanalytique, donc la construction de l'argument qui
fonde ou qui justifie la raison d'être d'une conservation de l'ADN.
Pourquoi est-ce qu'il est utile ? Pourquoi ? Et même, serait-il éthique,
recommandé de conserver son ADN et pourquoi ? Nous sommes arrivés
à ce a posé cette question au terme d'un peu plus presque deux ans
de webinaire. Et durant ces deux ans, une compagnie s'est
construite, qui s'appelle DNA leg, et avec deux sites, dnaleg.com,
et puis un autre site qui s'appelle ADN et moi. Denis, vous voilà.
On vous entend, on vous voit. Vous aviez des problèmes de technique ?
Je n'en parlais pas. D'accord. On en parlera plus tard. Là, on va
se tenir à notre thème. Est-ce que je commence tout de suite le
diaporama ? Oui, vous pourriez y aller. Oui, on va aller. Ok.
Bonsoir à vous d'ailleurs. Oui, bonsoir. Et d'ailleurs, ce
diaporama, je l'avais bien préparé, je l'avais fait. Attendez, il
faut que je le nettoie un petit peu et on va pouvoir le dérouler.
Il commence avec... Non, il devrait commencer. Attendez, je suis
encore obligé de faire... Voilà, vous le voyez sans doute. Ça y
est. Il commence avec un schéma de psychologie. Je vais retirer ça.
Je vais retirer ça aussi. Vous ne voyez que l'écran, simplement.
Sans doute. Je vais un petit peu le mettre en forme. C'est un schéma
de psychologie qui nous vient... C'était l'école de Palo Alto, ça
a été le début de la cybernétique. La cybernétique avait été
bien commencée, disons que c'est des années 70. La cybernétique
commence en 50. Mais à Palo Alto, en Californie, il y a 20 ans de
cybernétique. C'est une écologie qui Il y a des buts. Nous avons là
un modèle qui explique qu'en fait, le mari ou la femme, il Et si le
mari, en fait, pour la femme, se marie, c'est le père de la femme. Donc, on a a, l'homme, et a pour b,
c'est en l'image du père. L'homme représente, si on peut dire,
l'image du père. Et réciproquement, l'homme, donc, a, b pour a,
c'est C'est la maman, c'est l'image maternelle. Donc ça, c'était
1970, Palo Alto, une psychologie œdipienne, on va dire. C'est l'œdipe,
l'attachement, les origines affectives liées aux parents, et donc
l'imaginaire qui se construit comme ça. Mais la psychanalyse a
apporté quelque chose d'autre. Elle se dit finalement, cet homme a
ici, ou la femme inversement, mais réciproquement, ou également.
Mais cet homme se dit, en fait, qu'on comprend ce système. À
partir du moment où on comprend ce schéma, l'homme va se
retrouver, va se dire: Bon, donc l'image paternelle me représente.
Donc, l'homme va se trouver là. Et là, c'est la méthode, c'est le
schéma psychanalytique qui modélise le fait que lorsque l'on
comprend notre psychologie et qu'on comprend que pour l'autre, on
ait une représentation pour l'autre et que l'autre ne se rencontre
pas directement, c'était l'idée qu'il n'y a pas de rapport sexuel
ou une chose comme ça. À ce moment-là, on s'imagine de l'autre côté,
afin de représenter comme ça. Est-ce que c'est clair Je vais te
dire ça. Est-ce que... Oui. Ça, c'est des choses
de base, 1970. Maintenant, on va redescendre bien plus avant. En
1415, le début de la perspective. Et c'est un rappel. Donc, que là,
nous avons ce jeu de miroir. Comment est-ce qu'en 1970, on a une
psychologie qui comprend que l'on se regarde à travers une représentation.
Le mari s'imagine à travers la représentation, enfin, ce qu'il
représente pour sa femme. Et donc, en 1415, commence l'idée de
l'objectivité scientifique. C'est après l'hérmétisme, où c'est
là où l'hérmétisme culmine. Et c'est l'époque où on va, un siècle
plus tard, c'est Galilée qui découvre le centre de gravité. Ici,
nous avons le centre optique, la pupille, le centre d'un tableau.
Donc, on va faire que le grand architecte, Brunelleski, à l'époque,
avait fait du baptistère. Il avait peint le baptistère sur un
tableau, il l'avait mis devant son visage, à l'envers ce tableau,
et il regardait dans un miroir la peinture qu'il avait faite, de
sorte que les deux images dans le miroir et l'image réelle se
superposaient. Et donc, on va voir ce qui s'est passé à présent,
donc à partir de cette époque. C'est le début de la Renaissance,
ou c'est la renaissance. Alors, qu'est Je rappelle comment
fonctionne ce schéma. Là, on va prendre ici, ce qui avait pris...
Ça s'appelle le Baptister. C'était à Florence, peut-être. C'était
un monument. Et vous remarquerez bien quelque chose. C'est que si...
Attendez, on va le mettre comme ça. Si ici, l'homme, le mari, veut
effectivement que Comment dire ? Souligner, si on peut dire, la présence
de l'image paternelle. Ce qu'il va faire, il va, on l'a dit,
s'imaginer, qu'il est présenté par cette figure. Mais ce qu'il va
faire, il va surtout... Ici, c'est le sujet, il est barré, c'est le
lacanisme qui dit qu'à ce moment-là, le sujet... En fait, le sujet
se tait, il est muet. C'est pour ça que le psychanalyste Leur fils
ne parle pas. C'est-à-dire, il est... Ce qui le bâtit, ce qui le
construit, ce qui permet de bâtir ici une image idéale, c'est le
comportement, le geste ou la retenue, c'est-à-dire se taire. Et
quand on est silencieux, quand le sujet devient ici, c'est, après,
en théorie, la pulsion de mort ou le réel, enfin, différentes
choses. Donc, Il ne peut le faire, il ne peut faire ce mouvement
qu'en se taisant. Et donc, nous avons ici le Baptistère, qui est
peint par Brunelleski. Et donc, Brunelleski l'a pris comme ça.
Il l'a... Je le mets comme ça. Il l'a peint, il l'a mis sur le
tableau, sur son tableau. Il l'a regardé, il l'a mis à plat sur le
tableau et il le regarde maintenant dans le miroir. Et on voit qu'il
obtient une perspective que l'on retrouve comme ça. Donc, si nous
rapprochons notre modèle psychologique, nous avons ici l'homme,
l'image paternelle. Ici, j'ai gardé l'amour au niveau du cœur,
parce qu'il y a un rapport entre la tête et le corps qui est assez
important, que l'on verra, qui est important en psychologie. Il y a
le lieu des émotions. La psychologie n'est pas que mentale. Donc,
on va le garder pour le moment un petit peu, le fait qu'il y a une
énergie particulière qui est organisée dans cette expérience de
perspective. Et voici donc ce que fait l'homme dans son état à ce
moment-là narcissique. Son narcissisme lui permet de se produire de
manière imaginaire et de répondre en cela à la situation
libidinale de d'Œdipeyenne, où un individu est représenté par
une image parentale. Ça, c'était l'époque. Cette époque-là,
cette époque de Bonnileski, c'était la fin de ce qu'on appelait
l'hermétisme. L'hermétisme, c'est une... Donc ici,
nous sommes au sommet de l'hermétisme, ou à la fin. L'hermétisme,
on peut dire, se termine en 1615, en 1600. Son Son dernier pape, son
dernier prophète, son dernier représentant, si on l'identifiait,
si on y trouve, Giordano Bruno. Giordano Bruno est exécuté en
1600, et c'était, on peut dire, le dernier représenté herméticien.
Et l'hermétisme, donc, à cette époque, avait réussi à concevoir
notre rapport au monde ou notre position dans le monde de cette manière
où, dans une représentation, le sujet pouvait se mettre à la
place ou dans sa représentation et pouvoir s'imaginer comme ça.
Donc, on voit ici ce simple exercice, ou bien comme celui-ci. Et
c'est à partir de là que nous évoluons. Là, nous sommes en 1516,
l'Ermitisme va être abolie, va être interdite. Et donc censurée,
ça se termine sur des bûcher. On ne parle plus du tout de cette
doctrine. Et Nous entrons dans la science avec la biologie. Et la
biologie, c'est cette science qui nous permet, on va le faire comme
ça, finalement d'accomplir ce saut dans l'imaginaire. C'est que le
sujet, ici, dans le brunelleski, dans le vase, va se projeter dans
le baptistère, si on peut dire. C'est-à-dire, va se taire et va se
trouver dans son image, comme on l'a vu, ce saut est déjà
scientifique. Cette opération du mari qui s'imagine dans la représentation,
ou de l'homme ou de la femme, du sujet qui s'imagine dans la représentation,
c'est le début de la science et c'est de la biologie. Et dans
l'histoire des sciences, la biologie ensuite, c'est précisé en
anatomie et en neurologie. Nous avons ici neurologie qui montre ce
qui se passe au moment où cette biologie, cette émotion de la
personne qui se regarde, ce stade, on va dire, narcissique, commence
à mettre à la place de son émotion et se rend compte que c'est
son cerveau qui produit, au lieu d'une figure magique et
sentimentale, ici, son cerveau va produire, en fait... On a ici la
paroi du cerveau. C'est Lacan qui nous propose d'imaginer ici le
cortex. Et le cortex va voir que notre corps est en fait une
fonction créée dans le cerveau qui réfléchit le corps par les
voies neurologiques de projection. Une chose Une chose tout à fait
importante que je... Et puis on va faire une petite pause. Mais une
chose tout à fait importante, c'est que dans cette construction,
quand Lacan décrit la Neurologie, et en suivant ce schéma, cette
image-là, il va l'appeler l'image, ici, soit du tableau, soit du
corps. Cette image Voilà, Lacan va l'appeler
l'image réelle. C'est ici qu'il va situer le réel dans ce qu'on a
dans la tête, dans ce qui est perçu de l'extérieur ou du corps,
dans ce qui est réfléchi ici, nous avons notre cerveau et ce que
notre cerveau forge ou reproduit en son intérieur, Lacan l'appelle
l'image réelle. Et nous l'avons ainsi, on peut l'exprimer comme ça.
Cette image-là, à partir du moment où on fait de la neurologie,
on appelle ce tableau, l'image réelle, comme si nous appelions le
baptistère qui était là, comme si nous disions que son image réelle
est ici dans le cerveau. Et il ne faut pas croire qu'il y ait
quelque part sur une place à Florence, une image réelle du baptistère.
Le baptistère reste quelque chose qui est étranger au corps
humain, qui est fermé dans son hermétisme, et sa réalité, ce
qu'ils appellent le réel, c'est dans son cerveau. Je fais une
petite pause ici, et on voit si S'il y a lieu qu'on en discute.
Est-ce que c'est une conception que vous Que vous pensez,
descriptive, ou bien y a-t-il des choses à préciser, à expliquer
? Donc là, on a bien compris que ce que l'on prend pour réel,
c'est en fait ce qu'il y a dans notre tête. On commence, on se fait à ça. On sait,
par exemple, dans la caverne de Platon. Platon explique que ce qu'on
prend pour elle, ce sont des ombres dans la caverne. C'est la même
chose. Voilà, nous avons des... Il y a une petite précision pour
les gens cultivés que nous sommes. Il faut se rappeler que, chose
très importante et que les psychanalistes n'ont pas bien relevée,
c'est que dans la caverne, quand on lit le mythe de la caverne de
Platon, il y a ces fameuses ombres. Et Platon précise qu'en fait,
tout le monde parle dans cette caverne. Il y a du brouhaha, les gens
qui portent les figurines, qui font des ombres et tout ça. Il y
Tout le monde parle. Et les voix se concentrent comme cette image réelle
qui est dans le cerveau, qui est projetée dans le cerveau. Platon
dit qu'il y a des voix qui se concentre au cœur de la caverne,
exactement comme dans le modèle psychanalytique de Lacan. Et Platon
dit: Et c'est pour ça, ce sont ces voix réelles, ces
concentrations de voix, puisqu'on sait que dans des cavernes, on
peut concentrer des voix. Si des gens allaient À l'époque, il
connaissait bien ça. C'est pour cela que les habitants de la
caverne pensent que les ombres ont des armes. Parce qu'il y a non
seulement les ombres, mais il y a aussi ces voies concentrées que
Platon prend en compte et que nos philosophes ou nos enseignements
actuels ont oublié. Mais je le précise parce qu'on voit que dans
le modèle de psychanalytique qu'on est en train d'étudier de
Lacan, en fait, ce que Lacan fait avec la lumière et avec ses
images réelles, Platon l'avait déjà fait. Enfin, Platon et les
gens de l'époque l'avaient déjà fait avec des voix réelles. Ils
pensaient qu'il y avait des... Je continue l'exposé. Donc, partager
l'écran. Ici, nous sommes en train de reconstruire, à partir du début
de Brunelleski, du début de la Renaissance, nous sommes en train de
reconstruire ce qui a succédé à l'hermétisme, ou bien nous
retrouvons l'hermétisme. Ça, ça sera à discuter ensuite, mais on
reconstruit quelque chose. Et Voici ce qui s'est passé une fois
qu'on a... Je l'ai précisé, je l'ai dit, ça, en fait, c'est la
caverne. Vous avez ici des prisonniers, vous avez ici des ombres,
mais pour Lacan, c'est un miroir. Les ombres réfléchissent les
images des prisonniers et les dirigeants de la caverne, l'élite,
les initiés voient ce montage. C'est C'est ce qu'on appelle les idéaux,
mais qui ne sont pas sortis de la caverne. Pour être complètement
éveillé, il faut sortir de la caverne. Ensuite, ce qui On va
assister à une résistance, à quelque chose qui va plutôt se
traduire comme une... Après, la neurologie, c'est Freud.
Typiquement, Freud, si on peut dire, il y avait Charcot, qui voulait
dépecer le cerveau des gens qui l'hypnotisaient. Mais Freud,
ensuite, à la même époque, a commencé à créer la neurologie en
utilisant la cocaïne qui lui a donné l'idée des circuits
synaptiques et les premiers réseaux synaptiques. C'est tout de même
Freud qui les a décrits. Et puis, là, on est dans cette
neurologie. On voit les réseaux synaptiques qui forment cette image
réelle. Et après, Freud est apparu. La cybernétique, et c'est le
moment de l'accord. Et à ce moment-là, la cybernétique, elle va
nous présenter une autre étape d'évolution. C'est-à-dire que va
apparaître l'appareil et l'image virtuelle. Et à ce moment-là,
dans la cybernétique, le corps ne compte plus, en fait. Le corps
est devenu dans la machine. On appelle ça le transhumanisme, enfin
pas le transhumanisme, mais on appelle ça Le cyborg, l'humain qui
disparaît dans la machine. La machine prend la place de l'humain et
l'assume sous la conscience, si on peut dire, toutes les opérations
de traitement du corps, et l'individu lui-même a disparu. Et c'est
ce que certains pensent être la menace actuelle Donc, quand nous
avons ce qu'on appelle un appareil, une image virtuelle, ici, nous
avons ce A qui donne la cybernétique. Ensuite, nous revenons à
cette psychologie de... On va le décrire comme ça, si vous voulez.
On va le faire graduellement parce Parce qu'une fois que nous sommes
arrivés à la cybernétique, c'est 1950. Et donc, en 70, va apparaître
l'écologie et va apparaître cette psychologie de Palo Alto. Et on
voit revenir dans le monde cybernétique, on voit revenir la
psychologie qu'on a décrit tout à l'heure. C'est-à-dire que c'est
au désir de l'autre que le sujet, ici le sujet est barré, va
pouvoir se projeter dans la figure qu'il avait qui le représentaient,
ou derrière cette figure. Et nous allons, à ce moment-là,
introduire avec la psychologie, la notion du désir dans cette
conception du monde. Donc, si on résume la chose, au moment de la
cybernétique, il n'y a pas... Le désir est annulé, il est remplacé
par la machine. Avant cela, nous avions... Attendez, il
faut que je le replace comme ça. Avant la cybernétique, nous avons
cette neurologie. La cybernétique est le comble de la neurologie
scientifique qui fait disparaître l'humain. On voit ça dans
certaines psychiatries actuellement. Et donc une psychologie
restitue l'imaginaire du psychisme et basé sur le désir, selon le
modèle qu'on a vu tout à l'heure, si on mettait ici la femme et la
mère en dessous. Et c'est là où va se passer une autre étape,
qui est l'étape actuelle, je pense, où apparaît réellement la
science. Le scientifique va Il va dépasser le pur machinisme de la
cybernétique. Il va aussi prendre la psychologie de manière
scientifique, c'est la psychanalyse, qui va mettre à la place du
miroir, il va mettre une fonction. On va voir ce que c'est que cette
fonction. Mais une fonction mathématique, par rapport simplement à
le miroir qui est en fait une succession de semblants. Là, nous
allons avoir des algorithmes mathématiques, et le corps va réapparaître
à ce moment-là, non seulement la pulsion, mais nous allons
retrouver le corps. Or, cette fonction, elle était inscrite dans ce
qu'on appelle une fonction psychanalytique. Donc, voici ce que c'est
que c'est le logo. Ce logo, c'est la psychanalyse
plurielle. C'est ce que j'appelle une association qui s'est appelée
une fonction psychanalytique. Et elle a pris ce logo pour signifier
cette chose-là, pour signifier cette étape. De la psychologie
quand elle devient scientifique et que le corps est retrouvé, le
corps qui était perdu d'abord dans la la machine, dans la cybernétique,
qui était retrouvé comme simplement un alibi, l'alibi de O, si on
peut dire, qui était retrouvé comme l'alibi d'O. La science va
restituer réellement la connaissance d'un corps qui est celui que
la science connaît. Mais ça se passe par une fonction. Cette
fonction, c'est une fonction psychanalytique, où ici, nous avons
une. Et donc ici, le psychisme, on va le détailler plus tard. Alors
maintenant, qu'est-ce que nous pouvons tirer de tout cela Nous avons
ici, nous sommes arrivés, on peut dire, à un stade élaboré de la
connaissance. Nous avons montré comment, par étapes, des prémices
de la Renaissance, nous sommes arrivés à un système où
l'individu peut s'imaginer, l'individu idéal peut imaginer son
corps, ou peut réaliser, parce que ce corps, c'est une image réelle.
Dans son corps, dans son cerveau, l'individu peut affirmer qu'il a
une image de son corps. Mais cette étape scientifique, qui
peut-être l'IA, pourrait arriver à ce degré-là, elle a les
algorithmes, elle a les éléments, elle a des êtres humains pour
faire des corps, elle a un appareillage. Avant cela, qu'est-ce qui
se passe pour l'individu lui-même, qui est projeté dans ce monde
théorique, dans ce monde son potentiel dans ce monde que la science
arrive à décrire. Selon la psychologie, en tout cas lacanienne, et
ça lui a évalué des soucis à Lacan, il le décrit comme ça. Il
pense que la fondation de la connaissance humaine est une fondation
paranoïaque. C'est-à-dire que là où le scientifique s'arrête à
voir son corps, le paranoïaque qui va se mettre, si on peut dire,
qui va vraiment occuper ce point de vue imaginaire, qu'il ne va pas
admettre, si on peut dire, qu'il n'est qu'une fiction, derrière
cette fonction, ce paranoïaque va penser que son corps est habité
de pulsions. Ça, c'est l'état habituel de l'être l'être humain.
C'est comme ça que l'être humain vient au monde, en quelque sorte.
Réellement, authentiquement, quand il est humain, il pense que son
corps est habité éventuellement par des autres, par des forces
diverses. C'est généralement bien admis. Nous sommes habités par
des pulsions, nous sommes Cette connaissance habituelle, c'est la
connaissance, c'est la fondation de notre connaissance humaine. Je vais m'arrêter ici et voyons si on a
des commentaires à faire sur ce passage important, parce qu'il
montre... Il arrive à un point où il met réellement l'existence
humaine en rôle et en perspective. Est-ce qu'il y a des questions
que je pourrais éclairer Enfin... Oui, donc en fait, on est tous
paranoïaques, en fait. Est-ce que ça évolue avec le temps ? Oui
et non. Disons, pour être bien précis, la fondation de la
connaissance humaine est paranoïaque. Dire que l'on Nous sommes
tous paranoïaques. C'est la fondation de la connaissance. On passe
par cette phase-là, en fait. Oui, notre connaissance est fondée
d'une manière, par une structure On appelle ça la Fondation paranoïaque
de la connaissance humaine. C'est la base du surréalisme. Ça a été
largement inspiré à Lacan par Salvador Dali. Et donc que la
connaissance humaine est fondée sur une construction qui est celle
de la paranoïa. Alors après, il va peut-être s'en dégager. Et
c'est pour ça qu'on dit que la personne paranoïaque régresse. On
parlait tout à l'heure, avant la session, on parlait de la régression.
C'est vraiment le point, le Le point de fondation de la
connaissance, un peu comme ça. Je reprends notre cheminement. On a encore quelques étapes à
parcourir, parce qu'une chose, là, nous allons pouvoir comprendre,
puisque le paranoïaque, il prend ses pulsions, il prend ce qu'il
habite, ce qu'il conditionne, ce qui le contraint, ce qui l'anime,
peut-être comme un autre, mais comme quelque chose de très réel,
puisqu'on dit que même à certains points, il hallucine. Et nous
pouvons passer maintenant au psychonôte, parce Parce qu'en ce
moment, on se pose des questions: Qu'est-ce que c'est que le réel ?
Et lorsque l'on prend certaines drogues, on entre dans un monde, on
perçoit un monde réel. Quel est la Le statut, l'explication, la
construction de ce monde réel ? L'hypothèse à laquelle nous en
cheminons, c'est qu'à l'endroit d'ici de l'industrie, ce qui est le
début de l'industrie du code, c'est l'appareil, là où nous avons
des substances de code, des substances chimiques, dans cette
neurologie dont nous avons parlé, ces substances chimiques vont
avoir des effets sur la perception interne du corps, qui se développe
en suivant cette configuration. Elle se développe à l'endroit de
cette connaissance de nous-mêmes. Cette connaissance que nous avons
à partir d'un idéal, c'est à C'est à partir du baptistère que
le baptistère voit son tableau, si on peut dire. C'est à partir de son idéal paternel
que le sujet va pouvoir se se voir dans les tous premiers schémas
psychologiques. Là, nous avons la mise en place de la construction
chimique, ou de ce qu'on appelle la conception antéogène, c'est-à-dire
de l'expérience selon laquelle ce n'est plus une expérience paranoïaque,
puisque ce n'est pas... Puisque Le corps est légitimement habité,
est réellement habité par une industrie chimique. Et le Donc voilà,
ça, c'est pour répondre à certaines questions qui se posent sur
les moyens de connaître les autres mondes. Ce que je voudrais dire
à ce moment-là, c'est que les autres mondes, où sont-ils ? Où
seraient-ils en théorie ? Il est en dehors de la caverne. Si ici,
nous avons, si c'est ovale, c'est la caverne, les autres mondes,
c'est l'extérieur, c'est Y, X, c'est l'extérieur. Donc, le fait de
la perception psychédélique, en fait, c'est peut-être quelque
chose qui nous vient de l'autre monde, mais en tout cas, elle a lieu
dans la caverne. Elle n'est pas exactement dans l'autre monde. Et
c'est là où nous allons maintenant pouvoir arriver à la
construction, à la raison d'être de la conservation de l'ADN,
c'est que si on a une industrie qui peut provoquer des
connaissances, comme on dit bien réelles, j'ai bien précisé, on a
bien précisé que cette image, c'est purement le réel. Si nous avons une industrie, si de
laboratoires qui extrait ou qui conserve de l'ADN, nous allons
avoir... Voici bel et bien ce qui s'appelle une conservation de
l'ADN. Là, nous avons une... Et c'est là où des gens
m'interrogent, par exemple, on dit: Mais à quoi ça sert de
conserver l'ADN ? Qu'est-ce que c'est que ce C'est simplement un
machin. Oui, c'est un machin. Un machin qui est bel et bien réel,
qui n'a pas d'autre, finalement, horizon que tout de même de rester
dans la caverne, comme les expériences psychédéliques. Elle n'est
pas du monde en dehors de cette ovale, de cet œuf. De même que la
perception de notre psychisme par l'anthéogène, cette perception
de notre psychisme par une stimulation freudienne et réelle, nous
avons ici une conception réelle de l'ADN, mais nous ne savons pas
à quoi ça peut servir, finalement. Nous n'en savons pas plus. Nous
avons effectivement la conviction que nous sommes, il y a quelque
chose de qui est posé là dans le corps. Nous avons le vase, notre
corps. Et puis, nous ne savons pas jusqu'à présent, quoi faire de
ça. Alors, nous sommes à ce point arrivé, par exemple, à
rappeler qu'en France, il est interdit d'analyser l'ADN. On peut le mettre dans un tube, on peut
le mettre sur sa commode, sur sa cheminée, mais on n'a pas le droit
de savoir On peut le séquencer. On le voit comme ça, gris. Donc,
la conservation de l'ADN scientifique, il identifie le corps de
l'individu. Donc, on voit le vase et le corps. Ensuite, on peut
passer de là à ce qui se passe quand on nomme cet ADN. Et donc,
lorsque la compagnie, ADN et moi, ou bien surtout cette société,
ADN et moi, propose de la conservation d'ADN, elle précise de
conserver son ADN nominalement. Parce que rappelons-nous que le
sujet ici, l'œil qui a conscience, qu'il préserve son ADN, il a
conscience qu'il est fait d'ADN dans corps, épigénétique, etc. Ce
sujet-là, c'est un sujet qui n'existe pas, en fait. C'est un sujet
qui est simplement une projection motivée du désir de l'autre. On
se souvient, il est motivé donc par la relation humaine. Mais c'est
le comble d'une fiction, si on peut dire. Donc, il y a tout lieu. Si
de même que tout à l'heure, tout à fait au début, le mari, en
comprenant qu'il était, pour sa femme, la représentation de son père,
va se projeter dans la... Ça va lui permettre de se déplacer et
de quitter sa place. Ici, le fait de comprendre que l'observateur
est fictionnel, va va aussi lui permettre de quitter sa place. Et
pour quitter sa place, à sa place, il va mettre son nom. Et quand
l'individu nomme son ADN, va prendre le nom qu'il porte,
normalement, c'est le nom du sujet, Lorsqu'ici, au lieu de sa figure
idéale, il va simplement mettre son nom, il va se produire un phénomène,
c'est qu'à ce moment-là, il va voir apparaître effectivement dans
un reflet qui est étudié dans la casalysme, il va le voir apparaître
à ce moment-là l'image de l'image réelle. Et il va avoir adopté
ou acquérir une troisième, si on peut dire, conception de sa réalité,
si on peut dire. Or, nos expéditions nous ont mené à savoir
qu'ici, nous avions le Moi, en fait. C'était à l'issue du parcours
du désir qui allait de l'appareil, c'est-à-dire de la mer, qui est
pareil à l'autre, en passant par le nom, en passant par le sujet,
nous arrivions ici au Moi. C'est-à-dire que par la nomination de
l'ADN, lorsque le sujet va donc assumer son nom et le porter donc en
vis-à-vis de son ADN, Ce sujet, lui, va se redéplacer, va lui-même
donc arriver, aboutir à une conception de son moi. La nauméciation de l'ADN l'identifie au
moi. Alors, tant que l'ADN est dans une éprouvette, dans un
commissariat, ou dans un laboratoire, dans un hôpital, le sujet va
rester Il va dire: Ce n'est pas moi. Par contre, quand il le dit:
Non, non, cet ADN, je le conserve en mon nom et pas au nom de
quelques autorités autres que la sienne, à ce moment-là, le sujet
a fait une à donner une affirmation de son moi. Alors, j'arrête le
partage, on a un petit quart d'heure pour discuter De cette étape,
on a vu comment on l'a construite, puis après de nombreux autres
webinaire. Est-ce qu'il y a quelque chose à préciser ou est-ce que
je conclus les conséquences qui se révèlent à partir du moment où
on a comme ça identifié la procédure de nommer son ADN. Vous
pouvez conclure, parce que moi, je suis dans le beau brouillard.
C'est moi qui m'exprime mal, mais les schémas, je pense, devraient
Je devrais l'exprimer. Je vais conclure à partir d'un symptôme,
c'est que l'expérience montre, l'histoire, je vous le montre, Et à
partir du nom que Jacques Lacan, la psychanalyste, on va dire la
psychanalyste, ce n'est pas Lacan qui a fait la psychanalyste, c'était
le parisianisme, c'était Paris, c'était son époque. Lui, il a simplement été comme cette
figure représentée. Il a représenté C'était son époque. Et son
époque a fait l'hypothèse que sortir ou évoluer de cette
fondation paranoïaque de la connaissance humaine, c'est-à-dire de
se croire vraiment exister de l'autre côté du miroir. Comme le
petit bébé qui, dans le miroir, il voit quelqu'un d'autre exister,
c'est lui, et puis il croit qu'il existe. Pour sortir de ça, Lacan
et la psychanalyse On a fait l'hypothèse que c'était le nom du père,
que c'était en reconnaissant dans la parole de la mère le nom du père,
qu'on allait pouvoir Il imaginait que le non donnait corps à un désir
de la mère. Et à partir de ce moment-là, la personne it de sa sa
connaissance paranoïaque, puisqu'elle avait la possibilité de
concevoir que c'était par les effets du non qu'elle avait une
connaissance, et non pas simplement par l'effet de sa place d'être
de l'autre côté du miroir. C'est parce que le miroir procurait, c'était
comme une liste de noms, et dans le miroir, derrière ces noms, il y
avait sa présence et sa possibilité d'exister. Or, Lacan, il a
fait cette théorie, mais qui la rattachait évidemment, le nom du père,
c'était Dieu le père, c'était la fonction du patriarcat, le
paternalisme, la fonction paternelle dans notre civilisation. Mais en faisant ça, Lacan n'a jamais...
Il nous a caché beaucoup de choses. Il le faisait fait par
technique, mais là, je ne suis pas sûr qu'il l'ait vraiment fait
par technique. Il n'a jamais fait l'association, le fait, il n'a
jamais dit que ce nom du père, c'était le chromosome, c'était un
chromosome. C'est ce chromosome Y. Ce que les familles transmettent,
évidemment, c'est un nom. Ça, c'est ce qu'on voit, c'est ce qu'on
entend. Mais à partir de la science, celle qu'on vient de décrire,
on sait que ce qui est transmis, évidemment, c'est un nom,
d'accord, et on peut le retirer, le changer, mais ça ne changera
jamais. C'est le Y qui est transmis. Et que par conséquent, sans le
savoir, notre nom transmettait quelque chose d'extrême. Enfin,
notre nom du père, le nom de famille, le patronyme, transmettait
quelque chose d'extrêmement réel. Or, ça, ça n'a jamais été ni
dit par Lacan, ni par aucun de ses ou s'il s'en est un, et s'il y en
a eu un, c'est celui qui en est sorti du lacanisme et qui vous
parle, et qui parle ce soir d'analyse plurielle, et comme on le
disait, peut-être d'autres pulsions, d'une pulsion hiérarchique,
etc. Mais À l'époque de Lacan, il y a eu
toute une théorie fabuleuse sur les effets du non, qui était ce
que je vous ai décrit dans le schéma. Le fait de pouvoir avoir un
non et que là, un non était transmis, d'homme à homme et dans les
familles, ça a forgé, ça a permetté de donner une image du moi
et de l'inconscient. C'était la théorie de Lacan que vous avez vue
en schéma. Et ça, ça a été fait en ne mettant jamais à la
place de ce nom un chromosome Y. Or, en vérité, c'est un
chromosome beaucoup plus réellement que le nom du père. Ce nom du
père, maintenant, nous le savons, c'est un chromosome qui Il est à
cette place. Alors, je termine donc comme ça. Je vous ai un petit
peu éclairé, Denis. Je vous ai un petit peu rassuré sur le bon
sens. Ça, je comprends, mais le reste C'est ça. Nous voyons ici l'étape
lacanienne du nom du père. Là, quand on a mis au lieu, on avait le
bonhomme ici, on avait le père ici et on va mettre le nom du père.
À ce moment-là, le sujet va se reconnaître dans le désir de sa
femme, par exemple. Disons, le moi va être identifié, si
on rassemble toutes nos images. Mais ce qui s'est passé, c'est que
Lacan n'a pas... Ça, c'est le mieux que nous puissions faire pour
l'instant, comprendre les raisons de la conservation de l'ADN. Mais
c'est tout à fait nouveau, parce que nous étions arrêtés, nous
étions à ça. Sinon, nous étions au Lacanisme qui, au lieu du
nom, avait refoulé le Y. Et là, nous avons le schéma de Lacan.
Nous ne savons que le moi n'est pas identifié. Par contre, dans la
théorie de Lacan, ce qui est à l'extérieur, si on ne sait pas que
le Y, si on refoule le Y, Lacan avait choisi le nom du père parce
que c'est une dupe R, c'est une errance de dupe. Et à ce moment-là,
lorsque nous n'avons pas compris que là, nous avons notre nom,
conserver l'ADN en son nom, lorsque nous conservons notre
civilisation au nom du père, si on peut dire, mais sans savoir
qu'il s'agit du Y, à ce moment-là, nous aboutissons, nous sommes
bien à l'extérieur de la caverne, mais nous sommes dans une duprix,
dans une errance que nous avons vue. Et voici les effets du
lacanisme. C'est le monde mythologique remis aux
Jeux olympiques, etc. Effectivement, on est sorti de la caverne,
mais dans un sacré foutoir. Parce que nous n'avons pas... Nous nous
sommes précipités dans une que dans une réduction du nom au Y en
refoulant, en refoulant qu'il s'agisse du Y, nous n'avons pas
reconnu le chromosome en notre nom. Nous avons reconnu dans le Y que
ce fameux nom du père. C'est-à-dire où on est resté dans une théorie
qui n'était pas réaliste. Donc, voilà comment je termine ma démonstration,
qui est certainement difficile à suivre, mais... Bon, enfin, peut-être
qui tient la route. Donc, le Disons, le lacanisme a raté le coche
au moment où nous avions la possibilité de conserver notre ADN,
que la génétique nous donne une identité génétique personnelle,
individuelle. À ce moment-là, le lacanisme a raté le coche et il
nous a ramené dans un refoulement de la génétique, et en mettant
à sa place, à la place du Y, en mettant simplement un nom fictif,
le nom de Dieu, ou du père, le nom du monothéisme, et en refaisant
donc une espèce d'éloge du patriarcat avec une qui n'existe pas,
etc. On en a l'histoire. Par contre, si on nomme notre... Si nous savons que le nom représente...
D'abord, Alors que le patronyme, le nom du père, représente le Y
et que notre nom, de la même manière, représente notre
chromosome, à ce moment-là, nous avons une possibilité, si on
rapplique le schéma sur nos quatre cases, on rapplique la femme et
puis sa mère au niveau de l'appareil et de la femme, nous avons une
possibilité de reconnaître le moi, et en l'occurrence, le moi de
la femme. Et si nous remontons à l'hermétisme, Nous savons que
c'est cette Ève, que j'ai appelée Ève O, mais qui est Hélène,
qui est l'identité, actuellement, la femme, l'identité féminine,
qui est en train d'émerger. Les femmes ont un droit de vote depuis
quelques dizaines d'années. On assiste à l'émergence et aux résistances
de cette reconnaissance de l'ADN en son nom pour qu'on puisse en
faire notre identité. Qui donnera une identité aux femmes et qui
soulagera les hommes d'une identité fictive d'un d'un patriarche.
C'est un peu abstrait et en même temps, c'est très concret. Nous
sommes vraiment dans des choses... Nous voyons qu'à ce moment-là,
par exemple, cette femme ou cet homme, donc à l'Élysée, qui ne
fait justement pas de test ADN, le foutoir dans lequel elle est dans
la dupère, il ou elle, nous sommes dans cette duperie. Et manifestement, cette énorme de symptômatologies.
C'est visible. C'est par obstruction de la nomination de son ADN. Et
si l'État français refuse à sa population de nommer son
chromosome, on en est à un monde imaginaire, à un foutoir, une
errance et de du prix. Comme ça se démontre, comme ça. Il nous
reste deux minutes. Il y avait la question du cœur qui était posée
au départ et qui était transformée en corps. Le cœur, c'est un
organe que certains neurologues, proche de l'hermétisme peut-être,
ont identifié dans le cerveau à l'hypophyse, c'est-à-dire c'est
effectivement une fonction hormonale. Une fonction aussi, là, on
retrouve l'importance, pas simplement de connaître le génome et
son épigénèse, mais le génome qui donne des circuits qui donne
des substances hormonales et qui est... Donc cette hypophys est tout
à fait importante. Le fait de nommer l'ADN ne veut pas dire que
l'on passe outre la nomination des... Enfin, la connaissance et
l'industrie des synapses. Nous sommes arrivés à 30. J'interromps.
J'arrête l'enregistrement.
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Travaux préparatoires du AnaplurN°85
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FB annonce & commentaires |
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DocDWT invite au Webinaire AnaplurN°85
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La perspective et la Perceptive ; le Moi (révision du bâti s'taire)-(symétrie
et réfraction) ;
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Session 26 résumé audio 20240916NBLM26_Praxis_disparue(DDV,_UCMPP)_.m4a
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Session 27 résumé audio 20240926NBLM27_DuTelosALaTéléAuLogi_CommeLeBonSamaritain.m4a 20240926_wbnAnaPlurN27.htm
Session 28 résumé audio 20241003NBLM28_Refondation_Cachée_de_la_Psychanalyse.m4a 20241003_wbnAnaPlurN28.htm Session 29 résumé audio 20241010NBLM29_DécryptageDel-OrdoAbPathos.m4a - complexification
du regard, médecine. 20241010_wbnAnaPlurN29.htm Session 30 résumé audio 20241017NBLM30_Chronologie&Moi_Freudien.m4a 20241017_wbnAnaPlurN30.htm
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