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Analyse Plurielle - webinaire AnaPlur

Audio généré par NoteBookLM Résumé/présentation approx 5.min / en construction

20251106 N°85

             présentation  lecture par IA/nblm;Gemini  en 15min

 


Titre :  « ADNY& » ou NdG
https://youtu.be/hrPWs6QmH_8 > - titre : AnaPlurN°85  Nominal

Descriptif vidéo/youtube - AnaPlurN°85 ADNom

AnaPlur – Webinaire n°85 | Pourquoi conserver et nommer son ADN ?

Dans cette session, nous retraçons un chemin de pensée — de l’hermétisme à la Renaissance (Brunelleschi), de la neurologie et Lacan à la cybernétique — pour éclairer une thèse centrale : conserver son ADN ne suffit pas ; le fait de le nommer (l’associer explicitement à son identité) produit un déplacement subjectif décisif, articulant corps réel, nom symbolique et image de soi. À la clé : une lecture critique du lacanisme (Nom-du-Père vs. réalité chromosomique), les enjeux éthiques et politiques contemporains, et la place du désir face aux machines.

À retenir

  • De la perspective au miroir : comment l’image se fabrique dans le cerveau (le “réel” de l’image).

  • Cybernétique : quand la machine absorbe le corps et aplanit le désir.

  • Fonction psychanalytique : retour du corps et des pulsions via un cadre scientifique.

  • Nommer son ADN : de l’objet “anonyme” à une affirmation du Moi.

  • Critique : le Nom-du-Père a masqué la dimension chromosomique (Y) ; enjeux de genre et sortie du patriarcat “fictif”.

Chapitrage (indicatif)

00:00 Intro & cadre
04:20 Renaissance, Brunelleschi et la perspective
11:30 Neurologie, Lacan et la caverne de Platon
20:45 Cybernétique, désir et écologie de Palo Alto
28:10 Vers la fonction psychanalytique
34:00 Pourquoi conserver et nommer son ADN
44:30 Conséquences éthiques, politiques et cliniques
52:00 Conclusion & ouverture

Ressources mentionnées

  • DNA Leg | ADN et Moi (présentation de la démarche et de la conservation nominative de l’ADN)

  • Références historiques : Renaissance (perspective), cybernétique, psychanalyse (Freud/Lacan)

Note légale (France)

La conservation privée d’ADN est distincte de son analyse, strictement encadrée par la loi. Renseignez-vous sur le cadre légal avant toute démarche.


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#psychanalyse #ADN #cybernétique #Lacan #identité #éthique #Renaissance #Brunelleschi #PaloAlto #AnaPlur

 

page référente/site : https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251106_wbnAnaPlurN85.htm

AnaPlur N°85 GENominal 
La session visio conférence/replay
a lieu le 06 novembre 2025 zoomPublic 18h30


commentaires et suites (et préparatoires) :

       résumé NBLM

 
Résumé ChatGPT4o (transcription / youtube)

Voici un résumé clair et structuré du webinaire n°85.

Fil conducteur

La session retrace un parcours théorique — de l’hermétisme à la cybernétique puis à une “fonction psychanalytique” — pour éclairer une thèse centrale : pourquoi conserver son ADN, et pourquoi le nommer (l’associer explicitement à l’identité civile) change la donne symbolique et pratique.

Étapes clés de l’argument

  • Palo Alto (années 1970) : modèle œdipien des identifications réciproques (le conjoint comme image parentale). Prise de conscience des médiations imaginaires.

  • Renaissance (Brunelleschi, perspective) : naissance d’une objectivité par dispositifs de regard et de miroir ; analogie avec le sujet qui se projette dans une image.

  • Neurologie & Lacan : le “réel” de l’image est ce que le cerveau construit ; renvoi au mythe de la caverne (ombres/voix concentrées).

  • Freud → Cybernétique (1950) : la machine absorbe le corps (figure du cyborg) et “écrase” le désir ; puis retour de la psychologie écologique (années 1970) qui réintroduit le désir.

  • Fonction psychanalytique : dépassement du simple miroir par une fonction (algorithme/mathème) où le corps et la pulsion sont retrouvés scientifiquement.

  • Fondation paranoïaque de la connaissance : point de départ structural (inspiré de Dali/Lacan) ; possibilité d’en sortir par des opérations symboliques.

  • Psychonautique : les états psychédéliques produisent un “réel” vécu, mais toujours “dans la caverne” (à l’intérieur de l’appareil psychique).

  • Pivot de la séance : l’ADN

    • Conservation = “réel” tangible du corps, mais sans finalité en soi si non interprété/nommé.

    • Nommer son ADN (l’associer à son nom propre) produit un déplacement du sujet et une affirmation du Moi : l’échantillon n’est plus “à personne/à l’institution” mais à moi.

    • Cadre français rappelé : conservation possible, analyses strictement encadrées/interdites hors cadre légal.

  • Critique du lacanisme : le “Nom-du-Père” aurait occulté la dimension chromosomique (Y) transmise de fait ; confusions symboliques ayant nourri un patriarcat “fictif” au lieu d’une lecture réaliste génétique.

  • Enjeu politique et de genre : reconnaître l’ADN “en son nom” ouvre à une identité moins fictive pour tous et à l’émergence d’une identité féminine autonomisée du vieux schème patriarcal.

Conclusion de la séance

  • Conserver et nommer son ADN est présenté comme un acte éthique et épistémique : il clarifie l’articulation entre corps réel, nom symbolique et image de soi.

  • Le refus (institutionnel ou culturel) de cette nomination entretiendrait une errance imaginaire et des symptômes collectifs.

  • Piste prospective : articuler science génétique, symbolique du nom et clinique du désir pour une identité moins “duperie” et plus incarnée.

Idées à retenir

  1. La nomination transforme la conservation en appropriation subjective.

  2. Sortir de la “fondation paranoïaque” passe par des opérations symboliques ajustées au réel biologique.

  3. Relecture critique de Lacan : replacer le corps (et la génétique) au cœur de l’économie du nom et du moi.

 

Claudie — 17:21
Bonjour, je suis allée voir le site, écouté les 2 vidéos et lu les articles du blog. Qu'attend-on quand on dit qu'on veut conserver son propre ADN ? Sous quelle forme veut-on le conserver ? L'épigénétique est-elle prise en compte ? Enfin, juste la définition que je me fais de la réalité : quelque chose d'unique à chaque individu (toutes les espèces vivantes sont concernées), au travers du filtre de ses sens, et de ses expériences passées (sa psychée donc). Pendant nos phases de rêve, notre réalité ne dépend plus de ce qui passe par nos sens (à part quand on a froid, ou chaud, ou envie de faire pipi, ce qui peut influencer le rêve ?? ), mais seulement de la partie psychée inconsciente

Merci pour cette attention et ses questions ; ce soir je termine le webinaire qui ajoute une explication complète, mais théorique et très ardue. Les sites https://adnetmoi.com et aujourd'hui en ligne https://dnaleg.com ne considèrent que la conservation autorisée en France. Le séquençage, l' "analyse de l'ADN" est interdite. On peut donc conserver sur buvard quelques dizaines d'année, voir en capsule pour plusieurs centaines d'années. Ce qui est souligné est l'importance de la conservation nominale (conserver en son nom, au lieu d'être conservé par la police, les banques commerciales, les armées etc.. qui dépossèdent la personne de sa marque singulière d'identité). La théorie se résume bien avec un peu d'esprit : Pourquoi conserver son ADN ? ou Pourquoi pas !??! Parce que lorsqu'on refuse de reconnaître cet élément distinctif, tous les délires de l'Élysée sont embauchés. Nous avons en politique devant nos yeux ce qui se passe lorsque l'identification de l'ADN est interdite de nos jours : une perte d'identité. La conservation est le premier pas, qui déjà à lui seul illumine le problème.*
Mais il y a beaucoup choses à dire lorsqu'on pose la question positive : pourquoi ? La question a commencé à se poser en 1985 avec la démocratie et l'écologie ; puis l'hypothèse que la conservation était importante pour l'identité citoyenne s'est forgée à partir de 2000. Ce soir, voici le NoteBookLM résumé ( audio qualité universitaire https://drive.google.com/file/d/16epld46EW__JVA6v9rGGCa89hD9uSqb5/view?usp=sharing ; vidéo résultat moyen https://youtu.be/4DOVLMg4BNc  ) du webinaire ; je le détaillerai dans le blog ce WE.

     vidéo https://drive.google.com/file/d/19-roGT-x-3UgYOZRy6036rLku-6TBcBO/view?usp=sharing    https://youtu.be/4DOVLMg4BNc 

audio https://drive.google.com/file/d/16epld46EW__JVA6v9rGGCa89hD9uSqb5/view?usp=sharing 

 


 

Transcription / youtube (Résumé ChatGPT4o)
Orateur 1

Allons-y. Voilà, nous débutons la session numéro 85. Et nous avons là deux... Enfin, nous sommes... Il y a cinq écrans, mais l'un de nos participants, Denis, est aussi sur WeInfo. Il a un problème de connexion. On va voir si Et durant la session, la chose peut être résolue. Et on pourra communiquer à ce moment-là à trois ou quatre. En tout cas, cette session actuelle, je vais la l'occuper. Je vais y présenter un diaporama. J'utilise souvent ça. C'est un diaporama. Elle ne va rien apporter de bien nouveau, mais elle va essayer de répondre ou d'éclairer le chemin que nous avons parcouru, ou la construction théorique et pratique, et psychanalytique, donc la construction de l'argument qui fonde ou qui justifie la raison d'être d'une conservation de l'ADN. Pourquoi est-ce qu'il est utile ? Pourquoi ? Et même, serait-il éthique, recommandé de conserver son ADN et pourquoi ? Nous sommes arrivés à ce a posé cette question au terme d'un peu plus presque deux ans de webinaire. Et durant ces deux ans, une compagnie s'est construite, qui s'appelle DNA leg, et avec deux sites, dnaleg.com, et puis un autre site qui s'appelle ADN et moi. Denis, vous voilà. On vous entend, on vous voit.

 

Vous aviez des problèmes de technique ? Je n'en parlais pas. D'accord. On en parlera plus tard. Là, on va se tenir à notre thème. Est-ce que je commence tout de suite le diaporama ? Oui, vous pourriez y aller. Oui, on va aller. Ok. Bonsoir à vous d'ailleurs. Oui, bonsoir. Et d'ailleurs, ce diaporama, je l'avais bien préparé, je l'avais fait. Attendez, il faut que je le nettoie un petit peu et on va pouvoir le dérouler. Il commence avec... Non, il devrait commencer. Attendez, je suis encore obligé de faire... Voilà, vous le voyez sans doute. Ça y est. Il commence avec un schéma de psychologie. Je vais retirer ça. Je vais retirer ça aussi. Vous ne voyez que l'écran, simplement. Sans doute. Je vais un petit peu le mettre en forme. C'est un schéma de psychologie qui nous vient... C'était l'école de Palo Alto, ça a été le début de la cybernétique. La cybernétique avait été bien commencée, disons que c'est des années 70. La cybernétique commence en 50. Mais à Palo Alto, en Californie, il y a 20 ans de cybernétique. C'est une écologie qui Il y a des buts. Nous avons là un modèle qui explique qu'en fait, le mari ou la femme, il Et si le mari, en fait, pour la femme, se marie, c'est le père de la femme.

 

Donc, on a a, l'homme, et a pour b, c'est en l'image du père. L'homme représente, si on peut dire, l'image du père. Et réciproquement, l'homme, donc, a, b pour a, c'est C'est la maman, c'est l'image maternelle. Donc ça, c'était 1970, Palo Alto, une psychologie œdipienne, on va dire. C'est l'œdipe, l'attachement, les origines affectives liées aux parents, et donc l'imaginaire qui se construit comme ça. Mais la psychanalyse a apporté quelque chose d'autre. Elle se dit finalement, cet homme a ici, ou la femme inversement, mais réciproquement, ou également. Mais cet homme se dit, en fait, qu'on comprend ce système. À partir du moment où on comprend ce schéma, l'homme va se retrouver, va se dire: Bon, donc l'image paternelle me représente. Donc, l'homme va se trouver là. Et là, c'est la méthode, c'est le schéma psychanalytique qui modélise le fait que lorsque l'on comprend notre psychologie et qu'on comprend que pour l'autre, on ait une représentation pour l'autre et que l'autre ne se rencontre pas directement, c'était l'idée qu'il n'y a pas de rapport sexuel ou une chose comme ça. À ce moment-là, on s'imagine de l'autre côté, afin de représenter comme ça. Est-ce que c'est clair Je vais te dire ça.

 

Est-ce que... Oui. Ça, c'est des choses de base, 1970. Maintenant, on va redescendre bien plus avant. En 1415, le début de la perspective. Et c'est un rappel. Donc, que là, nous avons ce jeu de miroir. Comment est-ce qu'en 1970, on a une psychologie qui comprend que l'on se regarde à travers une représentation. Le mari s'imagine à travers la représentation, enfin, ce qu'il représente pour sa femme. Et donc, en 1415, commence l'idée de l'objectivité scientifique. C'est après l'hérmétisme, où c'est là où l'hérmétisme culmine. Et c'est l'époque où on va, un siècle plus tard, c'est Galilée qui découvre le centre de gravité. Ici, nous avons le centre optique, la pupille, le centre d'un tableau. Donc, on va faire que le grand architecte, Brunelleski, à l'époque, avait fait du baptistère. Il avait peint le baptistère sur un tableau, il l'avait mis devant son visage, à l'envers ce tableau, et il regardait dans un miroir la peinture qu'il avait faite, de sorte que les deux images dans le miroir et l'image réelle se superposaient. Et donc, on va voir ce qui s'est passé à présent, donc à partir de cette époque. C'est le début de la Renaissance, ou c'est la renaissance.

 

Alors, qu'est Je rappelle comment fonctionne ce schéma. Là, on va prendre ici, ce qui avait pris... Ça s'appelle le Baptister. C'était à Florence, peut-être. C'était un monument. Et vous remarquerez bien quelque chose. C'est que si... Attendez, on va le mettre comme ça. Si ici, l'homme, le mari, veut effectivement que Comment dire ? Souligner, si on peut dire, la présence de l'image paternelle. Ce qu'il va faire, il va, on l'a dit, s'imaginer, qu'il est présenté par cette figure. Mais ce qu'il va faire, il va surtout... Ici, c'est le sujet, il est barré, c'est le lacanisme qui dit qu'à ce moment-là, le sujet... En fait, le sujet se tait, il est muet. C'est pour ça que le psychanalyste Leur fils ne parle pas. C'est-à-dire, il est... Ce qui le bâtit, ce qui le construit, ce qui permet de bâtir ici une image idéale, c'est le comportement, le geste ou la retenue, c'est-à-dire se taire. Et quand on est silencieux, quand le sujet devient ici, c'est, après, en théorie, la pulsion de mort ou le réel, enfin, différentes choses. Donc, Il ne peut le faire, il ne peut faire ce mouvement qu'en se taisant. Et donc, nous avons ici le Baptistère, qui est peint par Brunelleski.

 

Et donc, Brunelleski l'a pris comme ça. Il l'a... Je le mets comme ça. Il l'a peint, il l'a mis sur le tableau, sur son tableau. Il l'a regardé, il l'a mis à plat sur le tableau et il le regarde maintenant dans le miroir. Et on voit qu'il obtient une perspective que l'on retrouve comme ça. Donc, si nous rapprochons notre modèle psychologique, nous avons ici l'homme, l'image paternelle. Ici, j'ai gardé l'amour au niveau du cœur, parce qu'il y a un rapport entre la tête et le corps qui est assez important, que l'on verra, qui est important en psychologie. Il y a le lieu des émotions. La psychologie n'est pas que mentale. Donc, on va le garder pour le moment un petit peu, le fait qu'il y a une énergie particulière qui est organisée dans cette expérience de perspective. Et voici donc ce que fait l'homme dans son état à ce moment-là narcissique. Son narcissisme lui permet de se produire de manière imaginaire et de répondre en cela à la situation libidinale de d'Œdipeyenne, où un individu est représenté par une image parentale. Ça, c'était l'époque. Cette époque-là, cette époque de Bonnileski, c'était la fin de ce qu'on appelait l'hermétisme.

 

L'hermétisme, c'est une... Donc ici, nous sommes au sommet de l'hermétisme, ou à la fin. L'hermétisme, on peut dire, se termine en 1615, en 1600. Son Son dernier pape, son dernier prophète, son dernier représentant, si on l'identifiait, si on y trouve, Giordano Bruno. Giordano Bruno est exécuté en 1600, et c'était, on peut dire, le dernier représenté herméticien. Et l'hermétisme, donc, à cette époque, avait réussi à concevoir notre rapport au monde ou notre position dans le monde de cette manière où, dans une représentation, le sujet pouvait se mettre à la place ou dans sa représentation et pouvoir s'imaginer comme ça. Donc, on voit ici ce simple exercice, ou bien comme celui-ci. Et c'est à partir de là que nous évoluons. Là, nous sommes en 1516, l'Ermitisme va être abolie, va être interdite. Et donc censurée, ça se termine sur des bûcher. On ne parle plus du tout de cette doctrine. Et Nous entrons dans la science avec la biologie. Et la biologie, c'est cette science qui nous permet, on va le faire comme ça, finalement d'accomplir ce saut dans l'imaginaire. C'est que le sujet, ici, dans le brunelleski, dans le vase, va se projeter dans le baptistère, si on peut dire.

 

C'est-à-dire, va se taire et va se trouver dans son image, comme on l'a vu, ce saut est déjà scientifique. Cette opération du mari qui s'imagine dans la représentation, ou de l'homme ou de la femme, du sujet qui s'imagine dans la représentation, c'est le début de la science et c'est de la biologie. Et dans l'histoire des sciences, la biologie ensuite, c'est précisé en anatomie et en neurologie. Nous avons ici neurologie qui montre ce qui se passe au moment où cette biologie, cette émotion de la personne qui se regarde, ce stade, on va dire, narcissique, commence à mettre à la place de son émotion et se rend compte que c'est son cerveau qui produit, au lieu d'une figure magique et sentimentale, ici, son cerveau va produire, en fait... On a ici la paroi du cerveau. C'est Lacan qui nous propose d'imaginer ici le cortex. Et le cortex va voir que notre corps est en fait une fonction créée dans le cerveau qui réfléchit le corps par les voies neurologiques de projection. Une chose Une chose tout à fait importante que je... Et puis on va faire une petite pause. Mais une chose tout à fait importante, c'est que dans cette construction, quand Lacan décrit la Neurologie, et en suivant ce schéma, cette image-là, il va l'appeler l'image, ici, soit du tableau, soit du corps.

 

Cette image Voilà, Lacan va l'appeler l'image réelle. C'est ici qu'il va situer le réel dans ce qu'on a dans la tête, dans ce qui est perçu de l'extérieur ou du corps, dans ce qui est réfléchi ici, nous avons notre cerveau et ce que notre cerveau forge ou reproduit en son intérieur, Lacan l'appelle l'image réelle. Et nous l'avons ainsi, on peut l'exprimer comme ça. Cette image-là, à partir du moment où on fait de la neurologie, on appelle ce tableau, l'image réelle, comme si nous appelions le baptistère qui était là, comme si nous disions que son image réelle est ici dans le cerveau. Et il ne faut pas croire qu'il y ait quelque part sur une place à Florence, une image réelle du baptistère. Le baptistère reste quelque chose qui est étranger au corps humain, qui est fermé dans son hermétisme, et sa réalité, ce qu'ils appellent le réel, c'est dans son cerveau. Je fais une petite pause ici, et on voit si S'il y a lieu qu'on en discute. Est-ce que c'est une conception que vous Que vous pensez, descriptive, ou bien y a-t-il des choses à préciser, à expliquer ? Donc là, on a bien compris que ce que l'on prend pour réel, c'est en fait ce qu'il y a dans notre tête.

 

On commence, on se fait à ça. On sait, par exemple, dans la caverne de Platon. Platon explique que ce qu'on prend pour elle, ce sont des ombres dans la caverne. C'est la même chose. Voilà, nous avons des... Il y a une petite précision pour les gens cultivés que nous sommes. Il faut se rappeler que, chose très importante et que les psychanalistes n'ont pas bien relevée, c'est que dans la caverne, quand on lit le mythe de la caverne de Platon, il y a ces fameuses ombres. Et Platon précise qu'en fait, tout le monde parle dans cette caverne. Il y a du brouhaha, les gens qui portent les figurines, qui font des ombres et tout ça. Il y Tout le monde parle. Et les voix se concentrent comme cette image réelle qui est dans le cerveau, qui est projetée dans le cerveau. Platon dit qu'il y a des voix qui se concentre au cœur de la caverne, exactement comme dans le modèle psychanalytique de Lacan. Et Platon dit: Et c'est pour ça, ce sont ces voix réelles, ces concentrations de voix, puisqu'on sait que dans des cavernes, on peut concentrer des voix. Si des gens allaient À l'époque, il connaissait bien ça.

 

C'est pour cela que les habitants de la caverne pensent que les ombres ont des armes. Parce qu'il y a non seulement les ombres, mais il y a aussi ces voies concentrées que Platon prend en compte et que nos philosophes ou nos enseignements actuels ont oublié. Mais je le précise parce qu'on voit que dans le modèle de psychanalytique qu'on est en train d'étudier de Lacan, en fait, ce que Lacan fait avec la lumière et avec ses images réelles, Platon l'avait déjà fait. Enfin, Platon et les gens de l'époque l'avaient déjà fait avec des voix réelles. Ils pensaient qu'il y avait des... Je continue l'exposé. Donc, partager l'écran. Ici, nous sommes en train de reconstruire, à partir du début de Brunelleski, du début de la Renaissance, nous sommes en train de reconstruire ce qui a succédé à l'hermétisme, ou bien nous retrouvons l'hermétisme. Ça, ça sera à discuter ensuite, mais on reconstruit quelque chose. Et Voici ce qui s'est passé une fois qu'on a... Je l'ai précisé, je l'ai dit, ça, en fait, c'est la caverne. Vous avez ici des prisonniers, vous avez ici des ombres, mais pour Lacan, c'est un miroir. Les ombres réfléchissent les images des prisonniers et les dirigeants de la caverne, l'élite, les initiés voient ce montage.

 

C'est C'est ce qu'on appelle les idéaux, mais qui ne sont pas sortis de la caverne. Pour être complètement éveillé, il faut sortir de la caverne. Ensuite, ce qui On va assister à une résistance, à quelque chose qui va plutôt se traduire comme une... Après, la neurologie, c'est Freud. Typiquement, Freud, si on peut dire, il y avait Charcot, qui voulait dépecer le cerveau des gens qui l'hypnotisaient. Mais Freud, ensuite, à la même époque, a commencé à créer la neurologie en utilisant la cocaïne qui lui a donné l'idée des circuits synaptiques et les premiers réseaux synaptiques. C'est tout de même Freud qui les a décrits. Et puis, là, on est dans cette neurologie. On voit les réseaux synaptiques qui forment cette image réelle. Et après, Freud est apparu. La cybernétique, et c'est le moment de l'accord. Et à ce moment-là, la cybernétique, elle va nous présenter une autre étape d'évolution. C'est-à-dire que va apparaître l'appareil et l'image virtuelle. Et à ce moment-là, dans la cybernétique, le corps ne compte plus, en fait. Le corps est devenu dans la machine. On appelle ça le transhumanisme, enfin pas le transhumanisme, mais on appelle ça Le cyborg, l'humain qui disparaît dans la machine.

 

La machine prend la place de l'humain et l'assume sous la conscience, si on peut dire, toutes les opérations de traitement du corps, et l'individu lui-même a disparu. Et c'est ce que certains pensent être la menace actuelle Donc, quand nous avons ce qu'on appelle un appareil, une image virtuelle, ici, nous avons ce A qui donne la cybernétique. Ensuite, nous revenons à cette psychologie de... On va le décrire comme ça, si vous voulez. On va le faire graduellement parce Parce qu'une fois que nous sommes arrivés à la cybernétique, c'est 1950. Et donc, en 70, va apparaître l'écologie et va apparaître cette psychologie de Palo Alto. Et on voit revenir dans le monde cybernétique, on voit revenir la psychologie qu'on a décrit tout à l'heure. C'est-à-dire que c'est au désir de l'autre que le sujet, ici le sujet est barré, va pouvoir se projeter dans la figure qu'il avait qui le représentaient, ou derrière cette figure. Et nous allons, à ce moment-là, introduire avec la psychologie, la notion du désir dans cette conception du monde. Donc, si on résume la chose, au moment de la cybernétique, il n'y a pas... Le désir est annulé, il est remplacé par la machine.

 

Avant cela, nous avions... Attendez, il faut que je le replace comme ça. Avant la cybernétique, nous avons cette neurologie. La cybernétique est le comble de la neurologie scientifique qui fait disparaître l'humain. On voit ça dans certaines psychiatries actuellement. Et donc une psychologie restitue l'imaginaire du psychisme et basé sur le désir, selon le modèle qu'on a vu tout à l'heure, si on mettait ici la femme et la mère en dessous. Et c'est là où va se passer une autre étape, qui est l'étape actuelle, je pense, où apparaît réellement la science. Le scientifique va Il va dépasser le pur machinisme de la cybernétique. Il va aussi prendre la psychologie de manière scientifique, c'est la psychanalyse, qui va mettre à la place du miroir, il va mettre une fonction. On va voir ce que c'est que cette fonction. Mais une fonction mathématique, par rapport simplement à le miroir qui est en fait une succession de semblants. Là, nous allons avoir des algorithmes mathématiques, et le corps va réapparaître à ce moment-là, non seulement la pulsion, mais nous allons retrouver le corps. Or, cette fonction, elle était inscrite dans ce qu'on appelle une fonction psychanalytique. Donc, voici ce que c'est que c'est le logo.

 

Ce logo, c'est la psychanalyse plurielle. C'est ce que j'appelle une association qui s'est appelée une fonction psychanalytique. Et elle a pris ce logo pour signifier cette chose-là, pour signifier cette étape. De la psychologie quand elle devient scientifique et que le corps est retrouvé, le corps qui était perdu d'abord dans la la machine, dans la cybernétique, qui était retrouvé comme simplement un alibi, l'alibi de O, si on peut dire, qui était retrouvé comme l'alibi d'O. La science va restituer réellement la connaissance d'un corps qui est celui que la science connaît. Mais ça se passe par une fonction. Cette fonction, c'est une fonction psychanalytique, où ici, nous avons une. Et donc ici, le psychisme, on va le détailler plus tard. Alors maintenant, qu'est-ce que nous pouvons tirer de tout cela Nous avons ici, nous sommes arrivés, on peut dire, à un stade élaboré de la connaissance. Nous avons montré comment, par étapes, des prémices de la Renaissance, nous sommes arrivés à un système où l'individu peut s'imaginer, l'individu idéal peut imaginer son corps, ou peut réaliser, parce que ce corps, c'est une image réelle. Dans son corps, dans son cerveau, l'individu peut affirmer qu'il a une image de son corps.

 

Mais cette étape scientifique, qui peut-être l'IA, pourrait arriver à ce degré-là, elle a les algorithmes, elle a les éléments, elle a des êtres humains pour faire des corps, elle a un appareillage. Avant cela, qu'est-ce qui se passe pour l'individu lui-même, qui est projeté dans ce monde théorique, dans ce monde son potentiel dans ce monde que la science arrive à décrire. Selon la psychologie, en tout cas lacanienne, et ça lui a évalué des soucis à Lacan, il le décrit comme ça. Il pense que la fondation de la connaissance humaine est une fondation paranoïaque. C'est-à-dire que là où le scientifique s'arrête à voir son corps, le paranoïaque qui va se mettre, si on peut dire, qui va vraiment occuper ce point de vue imaginaire, qu'il ne va pas admettre, si on peut dire, qu'il n'est qu'une fiction, derrière cette fonction, ce paranoïaque va penser que son corps est habité de pulsions. Ça, c'est l'état habituel de l'être l'être humain. C'est comme ça que l'être humain vient au monde, en quelque sorte. Réellement, authentiquement, quand il est humain, il pense que son corps est habité éventuellement par des autres, par des forces diverses. C'est généralement bien admis. Nous sommes habités par des pulsions, nous sommes Cette connaissance habituelle, c'est la connaissance, c'est la fondation de notre connaissance humaine.

 

Je vais m'arrêter ici et voyons si on a des commentaires à faire sur ce passage important, parce qu'il montre... Il arrive à un point où il met réellement l'existence humaine en rôle et en perspective. Est-ce qu'il y a des questions que je pourrais éclairer Enfin... Oui, donc en fait, on est tous paranoïaques, en fait. Est-ce que ça évolue avec le temps ? Oui et non. Disons, pour être bien précis, la fondation de la connaissance humaine est paranoïaque. Dire que l'on Nous sommes tous paranoïaques. C'est la fondation de la connaissance. On passe par cette phase-là, en fait. Oui, notre connaissance est fondée d'une manière, par une structure On appelle ça la Fondation paranoïaque de la connaissance humaine. C'est la base du surréalisme. Ça a été largement inspiré à Lacan par Salvador Dali. Et donc que la connaissance humaine est fondée sur une construction qui est celle de la paranoïa. Alors après, il va peut-être s'en dégager. Et c'est pour ça qu'on dit que la personne paranoïaque régresse. On parlait tout à l'heure, avant la session, on parlait de la régression. C'est vraiment le point, le Le point de fondation de la connaissance, un peu comme ça. Je reprends notre cheminement.

 

On a encore quelques étapes à parcourir, parce qu'une chose, là, nous allons pouvoir comprendre, puisque le paranoïaque, il prend ses pulsions, il prend ce qu'il habite, ce qu'il conditionne, ce qui le contraint, ce qui l'anime, peut-être comme un autre, mais comme quelque chose de très réel, puisqu'on dit que même à certains points, il hallucine. Et nous pouvons passer maintenant au psychonôte, parce Parce qu'en ce moment, on se pose des questions: Qu'est-ce que c'est que le réel ? Et lorsque l'on prend certaines drogues, on entre dans un monde, on perçoit un monde réel. Quel est la Le statut, l'explication, la construction de ce monde réel ? L'hypothèse à laquelle nous en cheminons, c'est qu'à l'endroit d'ici de l'industrie, ce qui est le début de l'industrie du code, c'est l'appareil, là où nous avons des substances de code, des substances chimiques, dans cette neurologie dont nous avons parlé, ces substances chimiques vont avoir des effets sur la perception interne du corps, qui se développe en suivant cette configuration. Elle se développe à l'endroit de cette connaissance de nous-mêmes. Cette connaissance que nous avons à partir d'un idéal, c'est à C'est à partir du baptistère que le baptistère voit son tableau, si on peut dire.

 

C'est à partir de son idéal paternel que le sujet va pouvoir se se voir dans les tous premiers schémas psychologiques. Là, nous avons la mise en place de la construction chimique, ou de ce qu'on appelle la conception antéogène, c'est-à-dire de l'expérience selon laquelle ce n'est plus une expérience paranoïaque, puisque ce n'est pas... Puisque Le corps est légitimement habité, est réellement habité par une industrie chimique. Et le Donc voilà, ça, c'est pour répondre à certaines questions qui se posent sur les moyens de connaître les autres mondes. Ce que je voudrais dire à ce moment-là, c'est que les autres mondes, où sont-ils ? Où seraient-ils en théorie ? Il est en dehors de la caverne. Si ici, nous avons, si c'est ovale, c'est la caverne, les autres mondes, c'est l'extérieur, c'est Y, X, c'est l'extérieur. Donc, le fait de la perception psychédélique, en fait, c'est peut-être quelque chose qui nous vient de l'autre monde, mais en tout cas, elle a lieu dans la caverne. Elle n'est pas exactement dans l'autre monde. Et c'est là où nous allons maintenant pouvoir arriver à la construction, à la raison d'être de la conservation de l'ADN, c'est que si on a une industrie qui peut provoquer des connaissances, comme on dit bien réelles, j'ai bien précisé, on a bien précisé que cette image, c'est purement le réel.

 

Si nous avons une industrie, si de laboratoires qui extrait ou qui conserve de l'ADN, nous allons avoir... Voici bel et bien ce qui s'appelle une conservation de l'ADN. Là, nous avons une... Et c'est là où des gens m'interrogent, par exemple, on dit: Mais à quoi ça sert de conserver l'ADN ? Qu'est-ce que c'est que ce C'est simplement un machin. Oui, c'est un machin. Un machin qui est bel et bien réel, qui n'a pas d'autre, finalement, horizon que tout de même de rester dans la caverne, comme les expériences psychédéliques. Elle n'est pas du monde en dehors de cette ovale, de cet œuf. De même que la perception de notre psychisme par l'anthéogène, cette perception de notre psychisme par une stimulation freudienne et réelle, nous avons ici une conception réelle de l'ADN, mais nous ne savons pas à quoi ça peut servir, finalement. Nous n'en savons pas plus. Nous avons effectivement la conviction que nous sommes, il y a quelque chose de qui est posé là dans le corps. Nous avons le vase, notre corps. Et puis, nous ne savons pas jusqu'à présent, quoi faire de ça. Alors, nous sommes à ce point arrivé, par exemple, à rappeler qu'en France, il est interdit d'analyser l'ADN.

 

On peut le mettre dans un tube, on peut le mettre sur sa commode, sur sa cheminée, mais on n'a pas le droit de savoir On peut le séquencer. On le voit comme ça, gris. Donc, la conservation de l'ADN scientifique, il identifie le corps de l'individu. Donc, on voit le vase et le corps. Ensuite, on peut passer de là à ce qui se passe quand on nomme cet ADN. Et donc, lorsque la compagnie, ADN et moi, ou bien surtout cette société, ADN et moi, propose de la conservation d'ADN, elle précise de conserver son ADN nominalement. Parce que rappelons-nous que le sujet ici, l'œil qui a conscience, qu'il préserve son ADN, il a conscience qu'il est fait d'ADN dans corps, épigénétique, etc. Ce sujet-là, c'est un sujet qui n'existe pas, en fait. C'est un sujet qui est simplement une projection motivée du désir de l'autre. On se souvient, il est motivé donc par la relation humaine. Mais c'est le comble d'une fiction, si on peut dire. Donc, il y a tout lieu. Si de même que tout à l'heure, tout à fait au début, le mari, en comprenant qu'il était, pour sa femme, la représentation de son père, va se projeter dans la...

 

Ça va lui permettre de se déplacer et de quitter sa place. Ici, le fait de comprendre que l'observateur est fictionnel, va va aussi lui permettre de quitter sa place. Et pour quitter sa place, à sa place, il va mettre son nom. Et quand l'individu nomme son ADN, va prendre le nom qu'il porte, normalement, c'est le nom du sujet, Lorsqu'ici, au lieu de sa figure idéale, il va simplement mettre son nom, il va se produire un phénomène, c'est qu'à ce moment-là, il va voir apparaître effectivement dans un reflet qui est étudié dans la casalysme, il va le voir apparaître à ce moment-là l'image de l'image réelle. Et il va avoir adopté ou acquérir une troisième, si on peut dire, conception de sa réalité, si on peut dire. Or, nos expéditions nous ont mené à savoir qu'ici, nous avions le Moi, en fait. C'était à l'issue du parcours du désir qui allait de l'appareil, c'est-à-dire de la mer, qui est pareil à l'autre, en passant par le nom, en passant par le sujet, nous arrivions ici au Moi. C'est-à-dire que par la nomination de l'ADN, lorsque le sujet va donc assumer son nom et le porter donc en vis-à-vis de son ADN, Ce sujet, lui, va se redéplacer, va lui-même donc arriver, aboutir à une conception de son moi.

 

La nauméciation de l'ADN l'identifie au moi. Alors, tant que l'ADN est dans une éprouvette, dans un commissariat, ou dans un laboratoire, dans un hôpital, le sujet va rester Il va dire: Ce n'est pas moi. Par contre, quand il le dit: Non, non, cet ADN, je le conserve en mon nom et pas au nom de quelques autorités autres que la sienne, à ce moment-là, le sujet a fait une à donner une affirmation de son moi. Alors, j'arrête le partage, on a un petit quart d'heure pour discuter De cette étape, on a vu comment on l'a construite, puis après de nombreux autres webinaire. Est-ce qu'il y a quelque chose à préciser ou est-ce que je conclus les conséquences qui se révèlent à partir du moment où on a comme ça identifié la procédure de nommer son ADN. Vous pouvez conclure, parce que moi, je suis dans le beau brouillard. C'est moi qui m'exprime mal, mais les schémas, je pense, devraient Je devrais l'exprimer. Je vais conclure à partir d'un symptôme, c'est que l'expérience montre, l'histoire, je vous le montre, Et à partir du nom que Jacques Lacan, la psychanalyste, on va dire la psychanalyste, ce n'est pas Lacan qui a fait la psychanalyste, c'était le parisianisme, c'était Paris, c'était son époque.

 

Lui, il a simplement été comme cette figure représentée. Il a représenté C'était son époque. Et son époque a fait l'hypothèse que sortir ou évoluer de cette fondation paranoïaque de la connaissance humaine, c'est-à-dire de se croire vraiment exister de l'autre côté du miroir. Comme le petit bébé qui, dans le miroir, il voit quelqu'un d'autre exister, c'est lui, et puis il croit qu'il existe. Pour sortir de ça, Lacan et la psychanalyse On a fait l'hypothèse que c'était le nom du père, que c'était en reconnaissant dans la parole de la mère le nom du père, qu'on allait pouvoir Il imaginait que le non donnait corps à un désir de la mère. Et à partir de ce moment-là, la personne it de sa sa connaissance paranoïaque, puisqu'elle avait la possibilité de concevoir que c'était par les effets du non qu'elle avait une connaissance, et non pas simplement par l'effet de sa place d'être de l'autre côté du miroir. C'est parce que le miroir procurait, c'était comme une liste de noms, et dans le miroir, derrière ces noms, il y avait sa présence et sa possibilité d'exister. Or, Lacan, il a fait cette théorie, mais qui la rattachait évidemment, le nom du père, c'était Dieu le père, c'était la fonction du patriarcat, le paternalisme, la fonction paternelle dans notre civilisation.

 

Mais en faisant ça, Lacan n'a jamais... Il nous a caché beaucoup de choses. Il le faisait fait par technique, mais là, je ne suis pas sûr qu'il l'ait vraiment fait par technique. Il n'a jamais fait l'association, le fait, il n'a jamais dit que ce nom du père, c'était le chromosome, c'était un chromosome. C'est ce chromosome Y. Ce que les familles transmettent, évidemment, c'est un nom. Ça, c'est ce qu'on voit, c'est ce qu'on entend. Mais à partir de la science, celle qu'on vient de décrire, on sait que ce qui est transmis, évidemment, c'est un nom, d'accord, et on peut le retirer, le changer, mais ça ne changera jamais. C'est le Y qui est transmis. Et que par conséquent, sans le savoir, notre nom transmettait quelque chose d'extrême. Enfin, notre nom du père, le nom de famille, le patronyme, transmettait quelque chose d'extrêmement réel. Or, ça, ça n'a jamais été ni dit par Lacan, ni par aucun de ses ou s'il s'en est un, et s'il y en a eu un, c'est celui qui en est sorti du lacanisme et qui vous parle, et qui parle ce soir d'analyse plurielle, et comme on le disait, peut-être d'autres pulsions, d'une pulsion hiérarchique, etc.

 

Mais À l'époque de Lacan, il y a eu toute une théorie fabuleuse sur les effets du non, qui était ce que je vous ai décrit dans le schéma. Le fait de pouvoir avoir un non et que là, un non était transmis, d'homme à homme et dans les familles, ça a forgé, ça a permetté de donner une image du moi et de l'inconscient. C'était la théorie de Lacan que vous avez vue en schéma. Et ça, ça a été fait en ne mettant jamais à la place de ce nom un chromosome Y. Or, en vérité, c'est un chromosome beaucoup plus réellement que le nom du père. Ce nom du père, maintenant, nous le savons, c'est un chromosome qui Il est à cette place. Alors, je termine donc comme ça. Je vous ai un petit peu éclairé, Denis. Je vous ai un petit peu rassuré sur le bon sens. Ça, je comprends, mais le reste C'est ça. Nous voyons ici l'étape lacanienne du nom du père. Là, quand on a mis au lieu, on avait le bonhomme ici, on avait le père ici et on va mettre le nom du père. À ce moment-là, le sujet va se reconnaître dans le désir de sa femme, par exemple.

 

Disons, le moi va être identifié, si on rassemble toutes nos images. Mais ce qui s'est passé, c'est que Lacan n'a pas... Ça, c'est le mieux que nous puissions faire pour l'instant, comprendre les raisons de la conservation de l'ADN. Mais c'est tout à fait nouveau, parce que nous étions arrêtés, nous étions à ça. Sinon, nous étions au Lacanisme qui, au lieu du nom, avait refoulé le Y. Et là, nous avons le schéma de Lacan. Nous ne savons que le moi n'est pas identifié. Par contre, dans la théorie de Lacan, ce qui est à l'extérieur, si on ne sait pas que le Y, si on refoule le Y, Lacan avait choisi le nom du père parce que c'est une dupe R, c'est une errance de dupe. Et à ce moment-là, lorsque nous n'avons pas compris que là, nous avons notre nom, conserver l'ADN en son nom, lorsque nous conservons notre civilisation au nom du père, si on peut dire, mais sans savoir qu'il s'agit du Y, à ce moment-là, nous aboutissons, nous sommes bien à l'extérieur de la caverne, mais nous sommes dans une duprix, dans une errance que nous avons vue. Et voici les effets du lacanisme.

 

C'est le monde mythologique remis aux Jeux olympiques, etc. Effectivement, on est sorti de la caverne, mais dans un sacré foutoir. Parce que nous n'avons pas... Nous nous sommes précipités dans une que dans une réduction du nom au Y en refoulant, en refoulant qu'il s'agisse du Y, nous n'avons pas reconnu le chromosome en notre nom. Nous avons reconnu dans le Y que ce fameux nom du père. C'est-à-dire où on est resté dans une théorie qui n'était pas réaliste. Donc, voilà comment je termine ma démonstration, qui est certainement difficile à suivre, mais... Bon, enfin, peut-être qui tient la route. Donc, le Disons, le lacanisme a raté le coche au moment où nous avions la possibilité de conserver notre ADN, que la génétique nous donne une identité génétique personnelle, individuelle. À ce moment-là, le lacanisme a raté le coche et il nous a ramené dans un refoulement de la génétique, et en mettant à sa place, à la place du Y, en mettant simplement un nom fictif, le nom de Dieu, ou du père, le nom du monothéisme, et en refaisant donc une espèce d'éloge du patriarcat avec une qui n'existe pas, etc. On en a l'histoire. Par contre, si on nomme notre...

 

Si nous savons que le nom représente... D'abord, Alors que le patronyme, le nom du père, représente le Y et que notre nom, de la même manière, représente notre chromosome, à ce moment-là, nous avons une possibilité, si on rapplique le schéma sur nos quatre cases, on rapplique la femme et puis sa mère au niveau de l'appareil et de la femme, nous avons une possibilité de reconnaître le moi, et en l'occurrence, le moi de la femme. Et si nous remontons à l'hermétisme, Nous savons que c'est cette Ève, que j'ai appelée Ève O, mais qui est Hélène, qui est l'identité, actuellement, la femme, l'identité féminine, qui est en train d'émerger. Les femmes ont un droit de vote depuis quelques dizaines d'années. On assiste à l'émergence et aux résistances de cette reconnaissance de l'ADN en son nom pour qu'on puisse en faire notre identité. Qui donnera une identité aux femmes et qui soulagera les hommes d'une identité fictive d'un d'un patriarche. C'est un peu abstrait et en même temps, c'est très concret. Nous sommes vraiment dans des choses... Nous voyons qu'à ce moment-là, par exemple, cette femme ou cet homme, donc à l'Élysée, qui ne fait justement pas de test ADN, le foutoir dans lequel elle est dans la dupère, il ou elle, nous sommes dans cette duperie.

 

Et manifestement, cette énorme de symptômatologies. C'est visible. C'est par obstruction de la nomination de son ADN. Et si l'État français refuse à sa population de nommer son chromosome, on en est à un monde imaginaire, à un foutoir, une errance et de du prix. Comme ça se démontre, comme ça. Il nous reste deux minutes. Il y avait la question du cœur qui était posée au départ et qui était transformée en corps. Le cœur, c'est un organe que certains neurologues, proche de l'hermétisme peut-être, ont identifié dans le cerveau à l'hypophyse, c'est-à-dire c'est effectivement une fonction hormonale. Une fonction aussi, là, on retrouve l'importance, pas simplement de connaître le génome et son épigénèse, mais le génome qui donne des circuits qui donne des substances hormonales et qui est... Donc cette hypophys est tout à fait importante. Le fait de nommer l'ADN ne veut pas dire que l'on passe outre la nomination des... Enfin, la connaissance et l'industrie des synapses. Nous sommes arrivés à 30. J'interromps. J'arrête l'enregistrement.

 

 

 


 

Travaux préparatoires du AnaplurN°85

FB annonce & commentaires

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https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251106_wbnAnaPlurN85.htm

 

 
 


 

 

DocDWT invite au Webinaire AnaplurN°85
Sujet: Réunion Zoom de williamtheaux@gmail.com
Horaire: 06 novembre 2025 à 18H00 (enregistrement 18H30-19H30) H.Paris
Participer à la réunion Zoom
https://us06web.zoom.us/j/89189960480?pwd=WdYefFcYynEDhTMNTBXbwb88fTygxL.1
ID de réunion: 891 8996 0480
Code secret: 992191

 

 

 
 
 
 La perspective et la Perceptive ; le Moi (révision du bâti s'taire)-(symétrie et réfraction) ;

Script :
1 - De la psychologie oedipienne A pour B & B pour A
2 - à la psychanalyse : $ et idéalisation
3 - premier pas ; de perspective Brunelleschi aux "lois de la perceptive"
4 - distribution représentation-fiction-s'taire
5 - représentation et nom-du-père (miroir/langage)
6 - conscience de soi narcissisme / clone
7 - OEUVRE AU tableau NOIR
8 - Biologie - totalisation de totalisation
9 - Neuro - projectionCorticale
10 - PsychoScientif / psk
11 - Cybernétique (Oeuvre au Noir à proprement parler) - 
12 - Psychologie ; alibi d'O v A.pareil
13 - Physique (biopouvoir) - miroir fonction / Semblant
14 - UNE fonction psychanalytique
15 - Totalitarisme (en place du psy) - fondation paranoïaque ; refoulé-corps , alibi-prime
16 - La vision réelle de l'autre / refoulée-religion (hormone/psycholeptique)
17 - Numérique - code-chiffre-ADN (déchiffrage interdit)
18 - Nomination - métaphore de la graine/seed
19 - saint p't'hom , patronyme - dupe-erre & (bis)hors-système ) [pas de rapport-sexuel]
                     " du seul Y - selfish-gene refoulé "

 

 
 

Session 26
résumé vidéo 20240916NBLM26_AbsenceDePraxis.mp4    -   Apraxie-vs-Praxis

https://drive.google.com/file/d/1X2ltpqgSNFP6v-KAjTT_IHglDFGuhP2N/view?usp=sharing

résumé audio 20240916NBLM26_Praxis_disparue(DDV,_UCMPP)_.m4a - 

https://drive.google.com/file/d/13M38sKXJrgwz_wFtMytVDLaq41OKS4aC/view?usp=sharing

20240916_wbnAnaPlurN26.htm

 


Session 27
résumé vidéo 20240926NBLM27_Téléos.mp4

https://drive.google.com/file/d/1izct2_Xg32PRZOyjXLI3aU0hTAEDvvyV/view?usp=sharing 

résumé audio 20240926NBLM27_DuTelosALaTéléAuLogi_CommeLeBonSamaritain.m4a

https://drive.google.com/file/d/1roci9i1TYiRenzKrZ-4vyVHF6RZjnckp/view?usp=sharing

20240926_wbnAnaPlurN27.htm

 


Session 28
résumé vidéo 20241003NBLM28_Dualité_de_la_Résistance.mp4
Structure de la Découverte ; le nouvel Espace Psychique - domination ou connexion : anale ou ucmpp
https://drive.google.com/file/d/1RtAIuMxnae3aSUF9sskGF1uL6nNk618g/view?usp=sharing

résumé audio 20241003NBLM28_Refondation_Cachée_de_la_Psychanalyse.m4a
Signification de Résistance ; Copernic & Tycho ; l'AppareilAge et l'UCMPP ; phase banale et refoulement de la Scène Primitive.
https://drive.google.com/file/d/1XYeQo-8tZRRKVadVUf7kpD7pyTK7yClX/view?usp=sharing

20241003_wbnAnaPlurN28.htm


Session 29
résumé vidéo 20241010NBLM29_Ordre_par_la_Pathologie.mp4
Maladie et intention ; l'Harmonie avec le Chaos ; la médecine de la pathologie provoquée.
https://drive.google.com/file/d/1504RYFVKRczlSswBiYC119y484x9jMo0/view?usp=sharing

résumé audio 20241010NBLM29_DécryptageDel-OrdoAbPathos.m4a - complexification du regard, médecine.
Pathologie Anticipée, psychohistoire, perte de la Lettre masquée par le Chiffrage ; Récentisme, Homopouvoir.
https://drive.google.com/file/d/1t8Dnd-mG5n3w_qrnw56NHaSGs-DKSj01/view?usp=sharing

20241010_wbnAnaPlurN29.htm


Session 30
résumé vidéo 20241017NBLM30_Récentisme.mp4
Le défi du Moi
https://drive.google.com/file/d/1sgoXmL6YJ1xMIoHH1meyy7K0uT9c7kCn/view?usp=sharing

résumé audio 20241017NBLM30_Chronologie&Moi_Freudien.m4a
Souvenir Écran ; psychohistoire. JC=1200 ; les sérialisation/datation ; le Moi critique (Moi subjectif vs Discours subjectif) de la psychohistoire.
https://drive.google.com/file/d/1Mi-DoI176wJYK9RErTl_MCGpGEZ8LQ8l/view?usp=sharing

20241017_wbnAnaPlurN30.htm

 

 

 

https://www.lasainteethique.org/uberpol/2025/20251106_wbnAnaPlurN85.htm