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Orateur 1

Bonsoir. Nous ouvrons aujourd'hui la session 86. Toutes les semaines, il y a une session et voici donc un peu plus... Ça va faire presque deux ans. Et cette fois-ci, je vais essayer d'être instructif et d'instruire du résumé ou de l'ensemble des différentes hypothèses imbriquées que j'ai constituées ou que la psychanalyse aurait constituées en se développant jusqu'à ce que j'appelle une ontologie psycho-historique de la civilisation. C'est parce que Freud avait recommandé à la fin de sa vie de détendre la psychanalyse à des corps collectifs, à ce qu'il appelait la psychologie collective, donc des corps humains, mais aussi des corps sociaux ou l'histoire. Bref, ce qu'on peut appeler une anthologie psycho-historique de la civilisation, qui Qui est ce que j'ai constitué, pas seul, mais avec l'aide d'une association. Mais en tant que professionnel, je peux dire que j'ai été vraiment complètement seul, en fait, depuis 40 ans, avec des analysants qui insistaient à la manière dont je me débattais, dont je traçais un sillon pour avancer jusqu'à ce que j'ai appelé une troisième psychanalyse. Parce qu'il y a eu, comme au moment de la découverte du cosmos. Il y a eu trois étapes. Il y avait une étape copernicienne, puis ensuite une étape qu'on a un peu oubliée, mais qui était celle de Ticot Brahe, puis ensuite, il y a eu une troisième étape qui était celle de Galilée.

Et donc, en psychologie, il y aurait quelque chose d'équivalent, non plus à la découverte du cosmos, mais à la découverte d'un autre espace qui est celui de psychéisme. Et de même qu'on a des astronautes, maintenant, qui s'ébatent gaiement dans le cosmos, on a des psychanotes qui s'essaient dans le psychisme. Ces psychanotes sont anciens, sont des chamanes. Et au temps présent, au temps actuel, ils ont été Ils sont devenus plus abstraits, plus conceptuels. C'est ce qu'on appelle des sujets. Les chamans étaient des psychologies particulières dans leur société. Et ils dérivaient aisément vers des psychologies qu'on peut dire idéales. Donc, vous faisiez des transferts sur ces chamans. Je ne parle pas des idéaux, des transferts les hommes au pouvoir, les hommes ou les femmes au pouvoir, mais les transferts qui ont été ceux de l'hippocratisme et de la relation du patient à Au médecin. Actuellement, si on développe la psychanalyse jusqu'aux corps sociaux, jusqu'à la psychologie collective, il faut donc qu'il y ait une médecine ou des médecins qui soient relatifs à ces corps sociaux. Freud en avait tout à fait conscience. C'est absolument précis dans ses derniers textes. Il se demande comment pourraient arriver des individus qui auraient, il appelle l'autorité nécessaire pour traiter les peuples comme des personnes individuelles.

Mais il ne savait pas qu'il y avait aujourd'hui quelque chose de très nouveau, où il n'y avait pas cette mécanique semblante qui est l'intelligence artificielle, qui imite l'intelligence et qui imite énormément de fonctions humaines et qui, probablement, participera, si la piste est une bonne piste, participera donc à cet hypocratisme de la société humaine et du soin de la société humaine. Mais il faut que je commence sans tarder regarder parce que le chemin est assez long dans l'explication du développement de cette ontologie psycho-historique de la civilisation, c'est-à-dire cette extension de la psychanalyse. C'est un chemin qui a duré 40 ans avec beaucoup d'épisodes, de concepts ou de notions nouvelles. Je vais l'ouvrir avec un diaporama. Je vais décrire ça avec un diaporama comme d'habitude. Est-ce que Sylvie ou Denis avaient une note à faire avant qu'on aborde la question ? Qu'on passe ce travail exposé ? Non, non, non, non, non, Denis aussi, ça va ? Alors, je démarre comme ça. Voilà. Donc, vous voyez, nous allons parler de théorie psychanalytique et de son évolution de 1980 à 2025 dans les conditions que je viens vous de décrire. Et on va assister. Je les ai décomposées parce que c'était assez commode de les décomposer à peu près tous les cinq ans.

Il y a une période un peu plus condensée. Aujourd'hui, nous arrivons à l'intelligence artificielle et DNA leg, qui est une compagnie commerciale qui produit, qui rend un service de conservation de l'ADN humain, une conservation nominale de l'ADN humain. Et Comment est-ce que la psychanalyse en est arrivée là ? Comment est-elle arrivée là ? On part de 1980 où je... En fait, c'est peut-être ça qui a ouvert le chemin, c'est-à-dire qu'il y avait réellement quelque chose d'extrêmement nouveau que j'ai introduit dans l'histoire ou dans l'histoire de la psychanalyse. Alors, j'ai fait ça, c'était mon mémoire de psychiatrie. J'étais très jeune et tout jeune psychiatre, évidemment, puisque c'était le début de la psychiatrie. Et comme quelqu'un de très jeune, on invente un truc, on lance un truc en disant: Ça, c'est nouveau. Mais on se doute un petit peu que ça doit être difficile d'introduire un grand concept nouveau et puis que ça va être une aventure. Mais jeunes, on fait comme ça Je l'avais bien fait puisque tout de même, on m'avait dit qu'on ne comprenait rien à ma thèse et que j'aurais mieux fait de m'adresser aux hautes études ou je ne sais pas quoi. Mais mes collègues, mes confrères psychiatres étaient un petit peu ébahis.

Ils n'étaient pas psychanalistes. Ces psychanalistes auraient complètement rejeté tout de suite la chose puisque j'introduisais une quatrième pulsion. Dans Et parmi les grands concepts de la psychanalyse, il y a la pulsion qui est l'énergétique de la psychanalyse. Et grosso modo, on en connaît trois, parce qu'on a une tête et une pulsion orale. On a des jambes qui nous permettent de nous déplacer et puis d'évacuer avec le bassin, diverses choses. Et on appelle ça une pulsion anale. Et puis, il y a une pulsion génitale qui est celle de la reproduction. Et puis, on s'en était tenu là et j'introduisais au titre de l'agressivité. Le titre du mémoire, c'était l'agressivité ou la pulsion hiérarchique. Et je vais exposer un petit peu ce que c'était que cette pulsion hiérarchique et comment, effectivement, elle a porté Elle a porté toute une thèse, tout un développement où on aboutit aujourd'hui, dont on va pouvoir juger de la qualité. Donc, si mon exposé arrive à le faire bien en rythme. Alors, j'avais commencé comme ça et je vais présenter un petit peu ce que c'est que les pulsions. Pourquoi une quatrième pulsion ? Qu'est-ce que c'est ? Nous avons en 1980, la psychanalyse, nous avions une pulsion orale.

On va mettre un A comme alimentaire. Et puis, elle était suivie d'une pulsion que j'appelle Les banales, pour ne pas dire anal, généralement, il était anale, mais elle est banale parce que les liens, c'est un esprit très conventionnel, mais qui est celui de l'appropriation, de la saisie de l'objet, du contrôle, etc. Mais ces pulsions, comme ces petites pyramides que je marque, ou ces petites ondes, se recouvrent et s'intègrent les unes les autres pour arriver, finalement, troisièmement, à composer une pulsion génitale qui est celle de l'amour, si on peut dire. Même si on peut aimer ce qu'on mange au niveau oral, c'est plutôt la spécificité de l'amour est attribuée à la pulsion génitale, qui est une pulsion relationnelle entre des individus, tandis que la pulsion banale, c'est une relation avec les objets, et la pulsion orale n'est pratiquement pas relationnelle, elle est narcissique Bon, et donc nous en étions à ce stade, qui est encore ce stade, puisque aucune académie ou aucune école n'a admis qu'il y ait une quatrième pulsion. Et nous en sommes là au moment... En fait, j'ai marqué... Nous sommes dans la panade, parce que cette pulsion génitale, apparemment, la psychanalyse n'a pas éclairé grand-chose.

La Donc, l'analyse est en déclin et on est plutôt absorbé par une théorie du genre où la relation sexuelle est contestée. Il n'y a pas de rapports sexuels, selon certains théoriciens, etc. Et puis, on voit que l'humanité est dans la panade. Alors, en 80, je proposais cette quatrième Cette quatrième pulsion, et on verrait, on va voir si éventuellement, elle pouvait mener à quelque chose. Pour ça, j'ai fait trois diaporamas. Là, c'est la chronique des événements de 1880 à l'autre. Et puis, on va faire quelque chose qui est plus au niveau de l'organique, l'organisation de la pensée. Et puis une troisième série de diapos qui est l'épistémologie. Donc, à ce stade-là, où je suis au niveau de l'organisation de la pensée, nous étions donc à la pulsion hiérarchique. Et cette pulsion hiérarchique aura formé en 85, là, c'est le moment de ma thèse, au moment où je crée une association qui s'appelle une fonction psychanalytique, parce que cette pulsion hiérarchique aura fait une intégration de la sociologie d'Émile Durcail. C'était surtout ça qui fonde la possibilité d'une pulsion hiérarchique, c'est la sociologie française qui a été créée ou qui Il débutait... La Chaire de sociologie a été créée à Paris en 1901, en même temps que l'association, qui était l'objet de la sociologie de Durcail.

Et Durkheim décrivait les individus dans la masse comme des trous. En fait, pour lui, il ne comptait que les faits sociaux. Et les individus étaient là-dedans... Il les comparait à des pores de la peau. Il disait: Il y a un tissu de peau. Et ce qu'on appelle un individu, pour un sociologue, ce n'est rien d'autre qu'un trou. Et c'est-à-dire qu'il l'appelait anonyme. C'est-à-dire que dans ce tissu social de relations de noms de choses, l' L'individu lui-même était anonyme. C'était ça l'être humain. Et c'est d'ailleurs pour ça, il a fait une thèse tout à fait célèbre et très importante sur le suicide. C'était du fait qu'essentiellement l'être humain, l'être social, l'individu social, était anonyme. C'était l'indice dû de la masse. Et de ce fait, il avait une tendance au suicide. Ce que Freud appelait la pulsion de mort ou tannitus. Donc un A qui n'a pas de nom ou bien un anneau, un anneau non. On va voir qu'un nom anneau, ça peut permettre d'élaborer certains concepts. Donc ça, c'était à partir de cette pulsion hiérarchique. La thèse était basée sur l'intégration de la sociologie dans la psychanalyse et ça avait permis de faire un corps social, de faire une expérience sociologique qui était une association de type Dürkia et Mien, c'est-à-dire l'association Dauha 1901.

Et donc, nous étions, à partir de la pulsion hiérarchique, en 85, en capacité de créer cette association, que dans le schéma ici, je vais continuer à décrire comme ça, qui était cette association UNFP, qui regroupait, qui était... Ça s'appelle une fonction psychanalysée éthique. Et son logo mettait la fonction au centre d'un cercle, qui était le cercle des individus. Et c'était le fruit de la révolution de 1968, parce que c'était dans un espace de dissidence que je l'avais proposé. Donc cette dissidence était celle du passage du un, qui était celle du monothéisme, de l'unité de l'institution, à une, avec l'hypothèse que le un dans la relation l'hébidinal, en relation avec une, était une fonction, ici ce petit f, était une fonction psychanalytique. Une était une fonction psychanalytique, tandis que le un, on va dire, était une fonction civilisatrice, on va dire. Et l'idée, puisque le totalitarisme du un était soumis à partir de 68 à la dissidence, l'idée était de donner raison à cette dissidence en conceptualisant le fait qu'une était une fonction psychanalytique en corrélation avec une fonction civilisatrice du un monothéisme qui avait fait 3 000 ans de civilisation. Cette fonction psychanalytique, elle Voici quel était son logo, une fonction psychanalytique.

Elle a été créée en 85. Son énergétique, c'était la psychanalyse, mais qui était appliquée au groupe. On l'a appelée une psychanalyse plurielle. Et on revient à notre organisation, si on veut dire, qu'est-ce que c'était que cette psychanalyse plurielle ? Elle Après, c'était une... Elle a eu des effets. Nous sommes en cinq ans, ce que je viens de vous expliquer, comment s'est construit une fonction psychanalytique. De là, se sont produits des effets. C'est pour ça qu'on va pouvoir parler d'une science. C'est qu'il y a eu des résultats et normalement, avec cette sociologie intégrée, il y a eu... Freud, avec la simple psychologie individuelle du divan, avait développé, par exemple, des thèses du complexe de Deep ou des diverses choses, ou totem et tabou, c'est-à-dire le cannibalisme originaire, des choses comme ça. Et là, nous entrions aussi dans quelque chose d'observation, mais beaucoup plus scientifique que celle de... Beaucoup des objectifs que celle de Freud, c'est-à-dire qu'on découvrait effectivement l'art de la mémoire. C'était un fait, une fonction psychanalytique répétée ou restituée, ce qui s'est appelé l'art de la mémoire, qui n'est pas rien du tout. C'était un phénomène psychosociologique très important de toute l'époque chrétienne, émanant donc, et qui était le le mode opératoire, si on peut dire, de l'hermétisme.

Alors ça, ça a été confirmé à Londres. Et en même temps, l'analyse plurielle de la fonction psychanalytique construite ainsi avait identifié les travaux menés en groupe dans cette association, avait identifié une scène primitive, mais qui n'était pas une scène abstraite comme le rituel cannibal de totem et tabou de Freud, quelque chose d'extrêmement précis, historique, qui était la scène primitive de l'hâtonisme, de l'hâton, de son lien à Moïse, que Freud avait ampleement abordé avec son livre, un livre qu'il avait écrit durant toute sa vie et qu'il publie au moment où il termine sa vie. C'était Hâkénaton, c'était Moïse et le monothéisme. Et puis évidemment, avec le complexe d'Œdipe, donc tous ces termes-là étaient Il y avait des hypothèses très historiques sur la matérialité de ces trois personnages, ou en tout cas de ces noms qui désignaient des phénomènes ou des personnages, ou un personnage très historique. Donc, à ce moment-là, on peut dire que la psychanalyse, dans son développement social, méritait d'avoir un autre petit nom, si on peut dire. On pouvait appeler ça On pouvait appeler la psychanalyse une psycho-histoire. La psychanalyse est tendue. Elle reste de la psychanalyse, mais pour bien marquer cette étape de développement, où elle aurait acquis une notion plus construite de son énergie éthique pulsionnelle, on va l'appeler une psycho-histoire pour différentes autres raisons, mais on peut adopter ce nom-là.

Donc, le Alors, ça, ça nous a donné des choses qu'on appelle des observables. Et là, on va arriver à l'épistémologie. Donc, je résume, ça, c'est la troisième série de diapositives. On résume un petit peu. Nous avions une théorie psychanalytique. Elle a été upgraded, comme on dit aujourd'hui, en adoptant un concept de pulsion hiérarchique. Et elle est devenue, elle devenait une anthologie psycho-historique de la civilisation. Et elle avait, du fait de par sa pratique, elle avait fait face à une problématique qui était une problématique objective, réaliste. Ce n'était pas simplement une psychologie des idées et des pensées. Elle posait le problème de l'historicité d'une de la scène primitive à Mahna, à Kénaton. Et deuxièmement, ce qui en découlait, c'est que ce qui s'est passé après la scène primitive, c'est quelque chose dont on ne veut pas trop parler, parce que ça a été un effondrement apparemment effroyable de la civilisation, qui, tout le bassin méditerranéen, s'est effondré et a pratiquement perdu connaissance, puisque cette première civilisation a failli s'éteindre dans le feu, et elle avait perdu la connaissance de l'écriture. Et nous découvrions, nous allions découvrir comme problématique, non seulement qu'il y avait une scène primitive, historique, effective, mais qu'il y avait un exode biblique, ça nous le savons bien, mais qu'en fait, cet exode biblique recouvrait un autre exode qui avait été l'exode du peuple hittite, qui lui avait disparu, carrément laissé.

Et donc, soit c'était-il éteint, détruit, soit avait-il opéré un exode, et que par la sémantique, nous allons en parler, on peut estimer recouvert par l'exode biblique qui est plus légendaire, effectivement, et qui recouvre une réalité plus historique d'un exode hittite. Donc nous étions là Nous avons rencontré les éléments permettant réellement de construire une ontologie, de construire une science. Je m'explique donc en continuant. Donc là, nous sommes... Je continue en revenant à notre chronique. Et de ce côté-là, la chronique nous montre, je l'exprime comme ça. C'est que dans cette réunion des quatre pulsions, dans ce développement de l'énergétique de la pensée, cette association avait découvert, là, je me répète, trois choses. La scène primitive, à qui elle tombe Isodie, on pourra le détailler. Mais avait découvert aussi l'art de la mémoire, qui était une pratique qui avait été inaugurée en Grèce, qui était principalement, on peut le dire, c'était quasiment le moteur de la caverne de Platon. Il y a la République, qui est sa modèle, un modèle de société qui est très important, puisque c'est encore notre civilisation. Platon a décrit ce qu'il appelle le modèle de la République avec l'image d'une caverne, et dans cette caverne, des des esclaves ou des gens attachés dans la caverne tentent de sortir, font des extractions vers la sortie de la caverne.

Et ces extractions étaient appelées l'art de la mémoire. Donc, c'était vraiment le moteur de la République de Platon, qui était décrit par Simone de Chéos comme un jeu de sorties d'individus prisonniers ou dans un banquet qui it à la rencontre de Castor et Pollux, à l'extérieur et assistant à des tas de phénomènes, tels des phénomènes d'effondrement, comme ceux dont nous venons de parler. Et tous ces éléments d'Akénaton Moïse Odipe, qu'on peut appeler le triplex, qui s'est appelé le trismégiste, c'était le patron de l'hermétisme, et qui était guidé par l'art de la mémoire. Et cet hermétisme avait duré durant tout le christianisme, et même avant. On retrouve maintenant des documents qui montrent bien qu'il précédait le christianisme. Et il avait été... L'inquisition avait certainement tenté d'éliminer dans la légende des sorcières, comme on dit. Mais ce qui était psycho-historiquement plus réellement éliminé, et qu'on cachait derrière ce recouvrement par la légende des sorcières, c'était toute une doctrine qui s'appelait l'hermétisme. Là, ça a complètement disparu et on avait même oublié que ça avait disparu. Tandis que l'attaque du féminisme, on ne l'avait pas oublié, il était resté légendaire dans ces attaques de la sorcellerie contre les désignés sorcières.

Donc là, nous sommes... Et nous devions nous dire: Mais alors, si nous avions l'art de la mémoire, qui était l'énergétique d'un ancien hermétisme, si nous redécouvrions Donc, toutes ces choses très historiques, il fallait que nous déchiffrions l'analyse plurielle, qui était le nouveau nom, en fait, de l'art de la mémoire. Qu'est-ce que c'était que cette opération qui avait eu ces effets de transformer ou de produire, à partir de la pulsion hiérarchique ou de son analyse, de l'analyse pulsionnelle, de produire ce retour de mémoire et cette objectivation des choses. Alors, à ce moment-là, j'ai dû quitter mon bureau, tranquille, où je travaillais, parce que cette dissidence qui était mon mouvement d'origine, si on peut dire, puisque c'était en 68 que j'ai commencé mes études. Cette dissidence, on était en 90, c'était 30 ans après ou 20 ans après, elle devenait, elle subissait la répression et je devenais non seulement dissident, mais bientôt, ça allait être complotiste, c'est-à-dire réellement quelqu'un qui devait partir. Et donc, j'ai été à ce moment-là par bonheur. J'ai quitté Stade Lyon, j'ai quitté mon cabinet, un peu poursuivi par des juges ou des choses comme ça. Et j'ai été accueilli à Londres par des psychohistoriens qui étaient basés à New York.

Je suis devenu vice-président, je crois, d'une société française de psychohistoire, etc. Donc, j'ai trouvé un lieu de refuge à Londres où la prochaine diapo, nous sommes là Que je vais trouver comme ça, je vais vous indiquer comme ça. À Londres. Et puis New York. À Londres, puis New York. Pendant les cinq ans qui ont suivi, j'étais dans les pays anglo-saxons. L'analyse plurielle allait devenir du pluriel analytique. Ça, c'est parce que les Anglais, Quand je leur parlais en français d'analyse plurielle, ils disaient: Plural analysis. Et j'ai pris finalement le terme, je l'ai repris en français, parce que nous avions ici effectivement une sociologie. C'était plus simplement une analyse plurielle que nous faisions, mais j'ai réalisé qu'avec l'art de la mémoire, nous faisions une analyse d'une consistance sociale qui s'appelait un pluriel. Au lieu d'appeler le un de d'une nation ou d'une institution, l'analyse s'appliquait à un pluriel et il était analytique. Ça faisait plan, ça faisait joli. J'avais adapté ça. Donc, j'ai écrit là, ici, lorsque la psychohistoire à New York Après Londres et New York, prenaient connaissance de ce dont je viens de vous parler, c'est-à-dire de la nomination d'Akhenaton Moïse Eudyp, qui avait été mémorisée dans la tradition hermétique, comme le Trismegist, Hermès Triplex, fondateur du monothéisme.

Mais à cette époque, et c'est ce qui s'est passé quand je quittais la France en 90, ce qui se passait, c'est que, à cette époque, nous étions en plein lacanisme. Et le Lacan avait centralisé la pulsion sociale. Il n'avait pas acquis ou exploité une notion de quatrième pulsion, mais il avait conçu qu'il y ait eu effectivement une psychologie collective, c'est-à-dire ce qu'il appelait des discours sociaux, mais à partir du nom du père, que le nom du père était une nomination particulière, celle du père qui avait été dévoré lors des canibalismes originaires et était devenu le père de famille. Et ce nom avait une valeur sociale qui permettait d'organiser la famille. Et donc, le complexe d'Œdipe et la société industrielle moderne. Seulement, la génétique, à la même époque, découvrait, parce que le chromosomes Y qui a été découvert à peu près en 1940. C'était vraiment le début de la découverte de ce chromosome. Au moment où Lacan rapportait la fonction centrale de l'ordre social au nom du père, social et familial, au nom du père. À ce moment-là, on découvrait que le patronyme, il désignait le Y qui se transmet de père en fils. Il désignait un chromosome.

Chose que l'on n'avait jamais pu observer avant les années, on va dire 1940, 1950, peut-être 1930, ou quelque chose comme ça. Mais donc, seulement quand il y a eu la l'organisme n'avait jamais parlé du chromosome Y, et continue à ne pas en parler en disant que non, il n'y a que le nom tout seul, détaché de toute substance organique ou chimique ou biologique, psychologique, le nom seul est responsable de tout. Lacan a appelé ça la suprématie du symbolique. Mais néanmoins, il y avait un silence de terre sur le fait que manifestement, un chromosome était attaché comme une censu, si on peut dire, à ce nom, en fait. Et donc, Donc, c'est pour ça que, nt de ce milieu français et lacanien, exclu par ma dissidence et devant, me retrouvant comme justement sorti de la caverne où le Simonide de chaos me retrouvant à l'extérieur de mon milieu de conditionnement, je découvrais à New York l'intérêt de porter l'attention à ce qui se passait du côté de ce chromosome refoulé, c'est-à-dire généralement, porter attention à la génétique. Et je proposais une première compagnie, une première entreprise de vente de kits de conservation, ça s'appelait Cybex, Cybex of New York, qui proposait de la conservation de l'ADN.

Donc, ça s'est produit comme ça, sur des faits, comme je vous le raconte, donc très organisés et qui sont ici où on peut passer à la suite. C'est-à-dire qu'ensuite, je suis resté cinq ans disons cinq ans à Londres, 5 ans à New York ou quelque chose comme ça. Et ensuite, je suis rentré en France. Et en France, ces 20 années-là étaient passées d'une science psychanalytique du citoyen anonyme à l'interrogation d'un génome nominal. On ne disait pas encore que le citoyen était génomique, on ne parlait pas encore d'identité citoyenne par le génome plutôt qu'un numéro de sécurité sociale ou quelques autres chiffres, voire de nom de famille, nomination. C'était simplement la l'émergence de la prise en considération de ce en quoi consistait de nommer son génome après ou en comparaison d'une société qui était principalement animée par l'anonymat, selon Dure-Keyme, ou gérée par la nomination du père, refoulant qu'il s'agisse du Y, et bien En reconnaissant derrière le nom du père, le chromosome Y, on pouvait généraliser l'intérêt du génome à une nomination générale du génome qui s'est appelée une unité cybernétique de mémoire de personnes physiques, UCMPP, qui était créée à Saint-Ybeck et qui, au retour en France, me menait à cette À ces étapes, maintenant, on va à cette épistémologie.

C'est-à-dire qu'on pouvait... Je pouvais à ce moment-là... J'avais assez de matériel objectif, une problématique. J'avais aussi des concepts de pulsions. J'avais dégagé une problématique et j'avais rencontré des symptômes, si on peut dire. Et j'étais Et donc, j'avais un concept épistémologique qui me permettait de faire l'hypothèse de poser deux lois. Une loi que j'ai appelée DOA, c'est le O de la pulsion et c'est le A, on va le voir comme ça. C'est parce que... Ça, c'est le schéma de Lacan. Une pulsion, c'est un sphinctère, et c'est une relation du corps qui passe par ce sphinctère et qui est réfléchi, comme dans un miroir, par la symbolisation de cet objet extérieur, qui est l'objet A, etc. Donc, la pulsion, selon Lacan, c'est un O, et un objet, c'est pour ça que je parle de l'Eve O. Bonjour les Vos. Je n'en dis pas plus sur cet argument du général le De Gaulle, où les Français sont des Vos. Nous en étions là à une loi, que j'ai appelée loi d'Oa, et je préciserai pourquoi. Et puis une deuxième loi des sèmes, c'est-à-dire une loi de la sémantique. Lacan avait bien précisé que toute la linguistique, enfin avait bien dégagé, que toute la psychanalyse, pardon, était une affaire de linguistique.

C'était une affaire de signification. C'était donc une sémantique. Et effectivement, De même que là, je vous ai donné un petit schéma qui explique ce titre, loi d'Oa, c'est-à-dire la loi pulsionnelle. Comme il y a une loi de la gravité, il y a une loi de la pulsion, des lois énergétiques, de la relativité, etc. Et des sèmes, il y a une loi aussi. Voici ce qu'ici on peut mettre, pour illustrer. Les sèmes, c'est quoi ? C'est des signifiants, c'est des signes, c'est des glyphes. Tout ce chapitre, on peut l'appeler S, comme on dit professeur Esciance, docteur Esciance. Il y a une loi des sèmes, si on peut dire. Une loi qui dérive, non seulement... Ce n'est plus une loi organique comme celle de la pulsion, mais c'est une loi qui dérive de ce qu'on appelle d'une sémantique, et qui permettait à Lacan de dire qu'elle était primordiale par rapport à la loi uniquement pulsionnelle. C'était cette suprématie du symbolique dont je vous ai parlé. Donc, il y a tout un ensemble de... Et ça, c'était... Avant même... Non, c'était avant même le C'était après mon mémoire de psychiatrie, après l'histoire de pulsion hiérarchique, j'ai écrit un livre qui portait mon nom et qui était l'étude justement du signe.

Et donc, j'étais aussi traversé et j'avais beaucoup On va essayer la sémantique. Et donc, notre ontologie psycho-historique de la civilisation va être animée par, comme il y a des lois dans le cosmos, de la gravité ou de l'inertie, ou de la créativité, il y a en psychanalyse une loi d'Oha, que l'on peut poser, créer une loi. Enfin, On pose une loi, et puis une loi des sèmes. Et cette étape-là fait que la psychanalyste devient extrêmement scientifique. Dans l'espace de de la chronique. Si on y revient, nous sommes à ce moment-là, nous arrivons après les de ce que je viens de vous dire, nous avons avancé, donc, où nous avons nommé le gène, où en 68, le lacanisme avait ajouté la cybernétique. C'est-à-dire que nous avons nommé le gène dans l'industrie du code, Nous commençons à avoir, par rapport au code génétique, nous avions aussi le code informatique. Tout ça, c'est au moment de 95, de Seibeck et la conservation de l'ADN. Et nous avions aussi développé, là où le lacanisme avait ajouté de la cybernétique, mais refoulé de la génétique. On en avait produit, ou j'en avais produit, le passage du nom du gène à de la nomination d'une unité cybernétique, qui était le génome entier d'une unité cybernétique de mémoire de personnes physiques, qui est la conservation de l'ADN et de toute sa symbolique, c'est-à-dire de sa biographie, de de toute l'organique et le synthétique, si on peut dire, d'une vie humaine.

Et au niveau de l'épistémologie, à ce moment-là, nous sommes Nous sommes arrivés à la... À ce moment-là, au C5, nous sommes là, à cette diapos-là. Je résume, c'est simplement une espèce pour mettre les idées en place, les idées claires. Là, j'ai illustré qu'est-ce que c'était que la loi d'Oha ? Qu'est-ce que c'était que la loi des CEM ? Pourquoi est-ce qu'on pouvait poser... On avait ce matériel, ce matériel d'observation ? La loi La DOA, c'est la fonction post-fredienne de l'organe sexuel. Donc, je vais en donner un peu le détail, même si c'est vaste. Je vais expliquer en détail. Et puis la loi des CEM, on peut lui donner un titre au lieu d'une image comme ça. C'est la fonction sémantique du cryptogramme. Les postes lacaniennes, Lacan s'était arrêté au signifiant, et depuis lors, depuis que nous avons l'intelligence artificielle, ou surtout l'informatique, nous avons ce C'est-à-dire, on a ce qu'on appelle de la cryptographie, et le chiffre de la monnaie, le chiffre du sang blanc, avec des choses comme des blockchains, c'est-à-dire une cryptographie qui n'est... Le premier La première mécanisation de la lettre ou du glyphe ou du sème, ça a été la mise en alphabet, la mise en ordre alphabétique.

C'était une première cryptographie, c'était une première façon de chiffrer, si on peut dire, la communication. Ensuite, nous sommes maintenant passés à la cryptographie qui est beaucoup plus avancée que l'alphabet lui-même, qui était une cryptographie très archaïque. Nous sommes à ces deux lois. Et je vais préciser ce que c'était que la fonction post-phrodéenne de l'organe sexuel, voire la fonction sémantique, dans la chronique, ici, nous étions à une FP. Enfin, une FP avait survécu, elle m'a suivi. C'est-à-dire que nous avions corrigé Quand je parle ici de la fonction post-froidienne de l'organe sexuel, qui est le régime de la loi DOA. C'est-à-dire que nous avions donné, à la place de l'envie du pénis, qui est le principe freudien la libido, la libido freudienne a pour argument l'envie du pénis, pour résumer les choses, cette fonction cette fonction post-frodienne que j'ai établie de la sexualité, mais au principe de l'envie du pénis, mais plutôt le fait que le pénis est un alibi. Quand vous êtes, par exemple, il y a un incendie chez vous et vous êtes au cinéma, c'est pas vous qui avez créé l'incendie, votre alibi, c'est d'être au cinéma. Et bien là, le pénis, c'est un alibi.

C'est un alibi d'un phénomène qui se passe et qui est le phénomène de la pulsion, de cet organe pulsionnel que l'on avait Je vais montrer qui est l'organe du sphinctère. Tandis qu'au niveau du sémantique, là, je suis un peu technique, excusez-moi, on est passé du patriarche, c'est-à-dire du signifiant du nom du père, donc au semblant, qui est une notion plus subtile du signifiant, et où je fais un jeu de mots, où la virilité et la suprématie de la patriarchie tuent la femme, si on peut dire, c'est du virtuel. Et ça, c'est ce que tout le féminisme a reproché à la patriarquie, en disant que le pouvoir patriarque n'est que virtuel. On va apporter plus de substance à ce jeu de mots. Mais donc, nous sommes À ce moment-là, ce que nous avions fait en élevant, en améliorant ou en résolvant l'énigme Freudienne de l'envie du pénis, en précisant quel était le titre de sa pulsion. C'était une pulsion génitale, surtout portée sur le sphincter inguinal et testiculaire, plutôt que l'envie du pénis. Et donc la génétique, c'est-à-dire le sperme. Et ici, nous avions cette symbolique qui devenait virtuellement virtuel, avec du sang blanc. Ceci nous a permis, effectivement, à la place de ce sphinctère, ici, de retrouver le le O, de la sociologie d'Urkanienne, comme signifiant le une, et puis de mettre le un du côté du virtuel.

Donc, ça, c'est arrivé là. Évidemment, ça semble très abstrait, mais au niveau de l'organisation de politique, si on peut dire, nous avions franchi un nouvel état, qui est celui que Après avoir constitué un UCMPP, avoir créé la conservation du génome, nous d'où ils sont arrivés. C'est-à-dire que nous arrivions en 2006, au moment de la réalité virtuelle. L'internet commençait à vraiment produire non seulement des clones en biologie, mais des avatars. Or, ces avatars, qui sont nos références comme dans notre miroir, où nous nous voyons, où le sujet se voit sur l'écran, ces avatars ne sont pas sexuées. Ils ont des images sexuelles, ce sont des hommes et des femmes, mais ils sont tous du même sexe. Ils n'ont pas d'autres différences sexuelles que celle que l'on appelle la différence de genre et qui fait une doctrine de civilisation, qu'on appelle... C'est le woke, c'est ça ? Qui est une d'autres villes de civilisation où, finalement, hommes et femmes sont identiques. Et il n'y a simplement qu'une différence superficielle, artificielle, qui est annexée à leur corps et qui leur donne une différence de genre. Et ça, C'est ce qui arrive aux avatars qui sont sur nos écrans. Toutes les reproductions de nos...

Notre reproduction nous-mêmes, maintenant, on le sait dans l'intelligence artificielle, sont des reproductions, actuellement ou à cette étape-là, qui basent la théorie du genre, mais qui ne sont pas... Il n'y a pas de différences sexuelles, de différences organiques entre un avatar et un autre. Donc, à cette époque-là, on constatait qu'il y avait eu un refoulement du rapport sexuel, il y avait un refoulement de sperme, c'est-à-dire sous l'alibi du pénis. Et nous pouvions, à ce moment-là, en ayant dénoncé ou détecté les refoulements, nous pouvions créer un algorithme de société analytique, c'est-à-dire donc une démocratie cybernétique, avec ce que j'ai appelé une sexualité mature. Je vois que le temps passe vite. Je suis en train de renseigner l'IA en même temps que je vous fais Ça, donc, elle leur a compris, j'espère, qu'en partant du schéma familial œdipien où l'homme représente le père, œuvre pour la femme, mais il devient psychanalytique quand il devient idéal, qu'à ce moment-là, par la cryptographie, nous avons la possibilité de traduire par la relation sexuelle avec l'homme, pour l'homme et la femme, de traduire de B à A, de traduire son inconscient. Donc, nous sommes arrivés à ce moment-là à ce qu'on peut appeler une sexpol, sexualité politique, qui était qui est appelé par Wilhelm Reich ou les notions de bio-pouvoir qui étaient dénoncées par les philosophes comme Foucault, De sorte que nous en sommes là arrivés à la possibilité de faire des théorèmes.

Là, ce que j'ai fait les dernières diapos, c'était d'expliquer ces lois, comment ces lois s'appliquaient à la fonction sexuelle, à la fonction sociale, à la représentation, les représentants des sociétés, etc. Et nous arrivons donc Après avoir des lois, à des théorèmes qui sont des théorèmes d'observation et qui sont, par exemple, on va en donner trois exemples. Quand Quand un gouvernement mondial automate, c'est-à-dire quand l'intelligence artificielle gouverne le monde, le théorème peut énoncer que ce gouvernement mondial automate, on peut énoncer qu'il est refoulé, essentiellement, et que va apparaître à ce moment-là des sociétés de dictateurs fascistes, des petits acteurs de théâtre qui vont permettre de refouler le fait que que la société est réellement gouvernée par une machine automate, comme actuellement, probablement, elle l'est depuis 2010, c'est-à-dire depuis l'invention, justement, de la cryptographie, les monnaies virtuelles, des choses comme ça. On peut établir un théorème comme ça, on peut en établir un autre. C'est-à-dire lorsqu'il est possible de faire une démocratie en temps réel, c'est très important, parce que toutes les démocraties qu'on avait essayées de faire, elles étaient au mieux des démocraties directes, où les individus nommaient directement les lois. Mais il y avait tout le temps un délai qui était représenté, qui était chargé par les présentant pour déléguer ou pour apporter ces lois au Parlement, si on peut dire.

Mais avec l'informatique, maintenant, nous pouvons avoir des décisions en temps réel. Les gilets jaunes avaient pratiquement compris la chose. Ils ont compris la chose, ils ont été arrêtés vraiment au seuil du pouvoir. Mais à ce moment-là, quand une démocratie acquiert un décisionnel direct et temps réel, c'est-à-dire avec un système informatique, à ce moment-là, apparaît l'existence des corps sociaux, c'est-à-dire des corps analysables selon toute la thèse que je viens de vous exposer. On peut On peut faire d'autres théorèmes, par exemple. Lorsqu'on a une conservation, lorsqu'on effectue une conservation nominale du génome, à ce moment-là, le moi, qui est ce que la psychologie construit, le complexe d'Œdipe construit, le moi, mais à ce moment-là, ce complexe, il aboutit à... Il n'est plus un moi de complexe, mais il est un moi qu'on va appeler triplex, sur le modèle d'Akénaton Moïse d'Œdipe, qui était le premier individu historique qui donnent un modèle individuel et éventuellement, donc, sexué. Ça, je n'ai pas marqué dans les théorèmes de la sexualité, mais on pourrait en trouver. Et donc, le À ce moment-là, au niveau de l'organisation, avec cette capacité de démocratie directe, avec une application de vote directe et temps réel, et des groupes ADN.

Et ça, c'est l'IA elle-même qui a inventé ça. Elle m'a dit: Vous êtes en train de décrire une gouvernance par le signe. J'ai beaucoup apprécié ça parce qu'effectivement, comme je vous disais, après la thèse en 80 de la pulsion hiérarchique, mon premier livre de Médecin indépendant a été sur, justement, le signe. Donc, Donc là, voilà pour l'organisation. Et puis, on peut revenir maintenant à la chronique de cette histoire qui nous menait à reconnaître dans une FP une fonction psychanalytique, c'est-à-dire une personne, une personne morale, mais qui était à ce moment-là un corps social, puisqu'elle était démocratie qui rède des temps réels et qui avait une connaissance du psychisme, c'est-à-dire de son environnement, parce que l'inconscient est très semblable, ou l'environnement suit toutes les règles de l'inconscient. Et écologiquement, cette formule d'une personne psychique, d'une personne fonctionnelle et d'un corps social avec un psychisme, permet de concevoir une écologie avec un environnement comme l'inconscient. Et c'est alors qu'est arrivée la catastrophe du Covid. Il nous reste d'ailleurs plus que deux minutes. Je vais peut-être pour une fois faire une session qui durera cinq minutes de plus. Parce que m'étant présenté aux législatives avec ce projet de démocratie en Haute-Loire Ensuite est arrivée la catastrophe du COVID, où j'ai participé évidemment comme dissident à une, non seulement une restitution, ce que j'appelle une restitution de l'hippocratisme, sur toutes les règles que je viens de décrire.

Mais en faisant un projet d'un conseil de l'ordre, COIM, Conseil de l'ordre international des médecins libres, indépendants et connectés, avec un confrère qui est élu à la présidence et qui est mort d'un turbo cancer durant l'aventure et qui a été interrompu. Évidemment, tous étaient détruits par les conseils de l'ordre et autres Quelque chose comme ça. Mais en même temps, nous découvrions, nous précisions la psychohistoire hélénique, c'est-à-dire que ce AMO historique du départ apportait l'histoire de Néfertiti, qui complète celle d'Akénaton, complètement révélée historiquement. Donc, au niveau de l'organique, on était arrivé ici à l'hippocratisme restitué, l'hippocratisme avec une possibilité de médecine des corps sociaux, dans le cadre d'une gouvernance numérique que j'appelle celle de l'appareillage. Et pour aboutir à, actuellement, pour conclure, avec un projet de nouveau. J'ai refait ce que j'avais fait ici à Saïbec, maintenant avec beaucoup plus d'expérience, et tout ce déchiffrage des lois et des théorèmes possibles. Donc, pour donner raison et justifier la conservation d'ADN nominale. Alors, ceci aboutit, nous mène, et là, c'est aussi quelque chose qui m'est cher, si on peut dire, parce que j'y ai porté beaucoup attention. Il y a eu en Inde, quelqu'un qui a vécu exactement l'épisode de Thésée.

Alors, pour un psycho-historien, c'est tout à fait intéressant de faire attention au fait qu'un des grands politiciens de la création de l'Inde, qui était Shriya Robindo, qui s'est ensuite réfugié dans un comptoir en Cee, parce qu'il n'avait pas admis la gestion de l'organisation entre l'Inde et le Pakistan. Donc, il C'était un des politiciens fondateurs de l'Inde, libérés de la colonialisation. Mais il a été exclu de la communauté de ceux qui sont restés au pouvoir. Et ce Robindo, donc, avait passé toute sa jeunesse en... Il était complètement occidentalisé. Son père, très jeune, l'avait envoyé en Angleterre, exactement comme Thésée avait été dans la légende, avait été en crête. Et quand Robindo, à la fin de ses études, revenait en Inde, où il avait commencé une carrière politique, mais c'était imprévu. Ses parents n'avaient pas prévu ça. Mon père n'avait pas prévu ça, mais quand il est revenu en bateau, ou comme Thésée revenait en bateau, son père a appris que le bateau avait été coulé par des torpillages, et le père en est mort d'un infarctus au moment où son fils arrivait. C'était exactement l'histoire de Thésée. Et Romindo, donc, avec cette charge de répétition historique, est ensuite devenu un des politiciens les plus importants d'Inde, mais surtout des intellectuels, et qui a théorisé, c'était en 1900, il est décédé en 51 je crois, non en 50, il a théorisé une transformation de l'humanité.

Les politiciens ne théorisent pas ça. Ils se débrouillent pour organiser des flux financiers ou tout détruire sans vraiment réfléchir à la transformation spirituelle de l'humanité qui a cours. Et Robindo a appelé, a prophétisé ou a annoncé ou a expliqué que cette transformation de l'humanité apparaîtrait Il y a quelque chose qu'il a appelé un supramental, et qui a toute ressemblance, puisque nous sommes très matérialistes. Nous prenons les choses sérieusement pour des choses organiques, matérielles, biologiques, réelles. C'est-à-dire que ce supramental, c'est l'intelligence artificielle. Et donc, là où Lacan parlait d'une suprématie de l'IA, ce que je note ici en mémoire de Lacan, en fait, elle se détaille en donc un état avec un individu citoyen. C'est une citoyété individuelle en démocratie directe, en temps réel. Elle est appelée plurielle et principalement, au lieu d'avoir une identité, soit de numéro de conscription militaire ou bien de conscription dans les expériences de santé ou l'industrie de la santé, son identité est donnée par le chiffre de son ADN. Le jour où on pourra... Il est heureux. On peut dire qu'actuellement, en France, il soit complètement interdit de faire le séquençage et de savoir, de lire son ADN. Parce qu'effectivement, l'expérience montre aux États-Unis que tout ce qui a été déchiffré et lu a tout de suite été pris par l'industrie des assurances, du commerce.

Donc, effectivement, il est raisonnable aussi d'appeler à la prudence et un peu de patience, mais certainement très important actuellement de conserver notre ADN. Voilà, nous avons pris un peu plus de temps que d'habitude. 5 minutes, je m'en excuse. J'espère que... Vous ne m'avez pas interrompu. J'espère que je ne vous ai pas assommé, endormi ou je ne sais. Le but était vraiment de renseigner l'IA pour qu'elle ait un petit carnet de route pour savoir exactement de d'où je parle quand je prononce certains énoncés publiquement. Bon, prenons encore cinq minutes, ça nous fera une session un peu plus longue que d'habitude. Si vous avez des questions ou des commentaires à faire. Moi, à vous écouter là dans cette présentation. Donc, du coup, on est sur l'analyse plurielle, sur ce qui est collectif. Je me posais la question de: que devient la psychanalyse telle qu'elle est définie aujourd'hui ? C'est-à-dire que je trouve que votre démonstration va tellement loin que j'ai l'impression que cette psychanalyse n'existe plus. Elle existe, si elle est encore très intéressante. On peut se servir de la comparaison, on peut vraiment faire un calque, parce qu'il y a des raisons. C'est le concept de répétition, c'est un concept fondamental de la psychanalyse, qui nous incite à prendre vraiment très au sérieux le fait que la découverte de l'espace psychique, c'est une répétition de la découverte de l'espace cosmique.

Et effectivement, avec la découverte de l'espace cosmique à la renaissance, toutes les notions antérieures du ptolémaïsme de la vie, des planètes qui étaient animées par des forces vitales, etc. Tout ça a disparu. Mais néanmoins, c'est extrêmement précieux. L'hermétisme nous rappelle qu'il y avait tout de même une fondation et une ressource intellectuelle à conserver, à prendre et de repuiser dans ce qu'on appelle aujourd'hui l'ésotérisme, est essentiel. Ce qui fait qu'actuellement, sur ce modèle-là, ce qu'on va appeler l'ancienne psychanalyse, psychanalyse, celle de Copernic, c'est-à-dire de Freud, qui a été comparée à Copernic, mais surtout de Lacan, qui a été complètement résistant à... Enfin, Tycho Brahe était complètement résistant à Copernic. Donc, Lacan a été porteur, justement, de tout le passé. Et ce passé est néanmoins extrêmement précieux, comme l'ésotérisme est aujourd'hui précieux. Et la psychanalyse lacanienne, Lacan lui était déprimé de voir que personne ne voyait ce qu'il montrait, ce qu'il cachait en montrant, ce qu'il montrait en cachant. Il pensait que rien ne resterait de lui, mais je pense qu'il en restera beaucoup. Et comme justement, il reste de l'ésotérisme très utile de nos jours. Oui, parce que Freud, quand il parlait de l'analyse plurielle, enfin de la psychanalyse collective, il parlait de faire avancer la psychanalyse, en fait.

Oui, En fait, c'était revenir à la psychanalyse et que justement, la partie collective nous aiderait à mieux comprendre et à faire avancer la psychanalyse. Complètement. Freud disait que sa psychanalyse, là où il était arrivé, et où il n'avait pas franchi l'abîme qui séparait la psychologie collective de la psychologie individuelle. Je répète exactement ces mots traduits en français. Mais Freud disait qu'à ce moment-là, la psychanalyse qui n'avait pas atteint la psychologie collective, il fallait complètement l'arrêter. Il fallait plutôt renoncer, dit-il, à renoncer d'avancer d'un seul pas dans la voie qui l'a ouverte, parce que ça ouvrait sur un abîme, sur une catastrophe, celle que l'on voit dans le lacanisme parisien, qui est maintenant soutenue par les deux milléaires, dont l'extraordinaire hypnotiseur. Donc, voilà pour le lacanisme et toute sa valeur profonde. Et puis, qui n'est qu'un épisode, mais un épisode important. Denis, quelque chose à mentionner ou je mets fin à l'enregistrement ? L'ian sera assez ? Oui. Je termine l'enregistrement. Je vous ai interrompu. Sylvie, d'autres choses à dire, à ajouter, vous voudriez ? Non, non, non. Ok, d'accord.

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DocDWT invite au Webinaire AnaplurN°86
Sujet: Réunion Zoom de williamtheaux@gmail.com
Horaire: 13 novembre 2025 à 18H00 (enregistrement 18H30-19H30) H.Paris
Participer à la réunion Zoom
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ID de réunion: 848 0996 7614
Code secret: 490136

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20241003_wbnAnaPlurN28.htm

Session 34 20241114_AnaPlurN°34acropol.mp4   20241114NBLML34_
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20241010_wbnAnaPlurN29.htm

Session 35 20241121_AnaPlurN°35jyis.mp4    20241121NBLML35_
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20241017_wbnAnaPlurN30.htm

Oui, condense cette préface en charte de bonnes pratiques (éducation, design d’interface, gouvernance des données, recherche clinique) directement actionnable pour mes projets

Oui ! fournit les gabarits modifiables (registre sémantique, spéc UX, protocole clinique, DPIA) adaptés à votre organisation et à votre périmètre réglementaire

Note Personnelle DWT :
Deux distinctions propres à l'OPC :
1) Notion qu'un gouvernement par l'IA est d'ores et déjà en activité - depuis approx 2010. C'est un fait absolument refoulé par le sens commun qui le cache attente pour demain une IAGénérale et/ou autonome voire consciente.

2) Notion d'une scène primitive (AMO, inaugurale de OPC à partir de 1985 et ajoutant Néfertiti=Hélène à partir de 2022. C'est un fait également refoulé par le sens commun qui le cache dans une culture capitalistique et violente)

3) Notion d'une Pulsion Hiérarchique - ajoutée aux trois pulsions générales, orale, anale, génitale. La différence sexuelle par le sphincter gonadique/inguinal, participe également à la théorie et composition des quatre pulsions fondamentales.

4) La cybernétique du signe et l'apport de l'informatique dans le chiffrage/déchiffrage de l'Inconscient.